P., Rollin, 1725, un volume in 4 (23,5 cm X 18,5 cm), relié en pleine basane, dos orné de fers dorés (reliure de l'époque), (habiles restaurations à un mors), (4), 118pp., (1), 6 PLANCHES dépliantes
---- EDITION ORIGINALE ---- TRES RARE ---- BEL EXEMPLAIRE ---- "Fully occupied by his teaching duties and his responsibilities as an academician, Varignon had no leisure to prepare works for publication... From the papers he left at his death, most of which are now lost, his disciples assembled several posthumous works : Nouvelle mécanique, Eclaircissements sur l'analyse des infiniment petits (1725) and Elémens de mathématiques (1731). His intense pedagogical activity, extending over more than thirty years, constituted his chief contribution to the progress of science and was the source of his fame. By inaugurating a chair devoted specifically to mathematics at the Collège Mazarin, he joined the handful of men who were then teaching advanced mathematics... In working with the model of falling bodies, Varignon encountered difficulties in obtaining acceleration as a second derivative. This problem had the advantage, however, of obliging him to reassess calculus. His acceptance of the new procedures occurred between 1692 and 1695, and he was among those who gave the most favorable reception to the publication of L'Hospital's Analyse des infiniment petits. The Eclaircissemens is composed of critical notes that Varignon, as professor, considered necessary in presenting L'Hospital's pioneering work to young mathematicians - further evidence of his constructive role in the movement to transform the operations used in mathematics. But Varignon accomplished even more : in 1700-1701 he refuted Rolle's arguments against the new calculus, challenged the cabal that had formed within the Academy, and obliged Leibniz to furnish a more precise account of his ideas. Leibniz, to be sure, did not give him all the aid desired. Nevertheless, he encouraged Varignon to cease debating principles and to start developing mechanical applications of the new mathematics. The questions that Varignon subsequently treated show how faithfully he followed Leibniz' advice. In his course at the Collège Royal for 1722-1723, Varignon planned to discuss the foundations of infinitesimal calculus but was able to do no more than outline his ideas. Although he died before he could present what was undoubtedly the core of a lifetime's experience, that experience had already borne fruit". (DSB XIII)**5158/ARM3-5159/ARB3
À Paris, chez Pissot, 1725, in-4, (16)-128 pages, 5 planches repliées gravées sur cuivre, vélin souple de l'époque, titre à l'encre en tête du dos, Édition originale posthume de l'un des principaux traités de Pierre Varignon, édité à partir de ses manuscrits. Mathématicien originaire de Caen, Pierre Varignon (1654-1722) oeuvra en France, après l'Hospital, à la propagation du calcul différentiel et s'attela à la simplification des démonstrations des principales propositions de la mécanique. Le traité sur les eaux jaillissantes expose les principes de l'hydrodynamique, nécessaires notamment à la conception des fontaines d'agrément des jardins. DSB XIII, 586. Ball II, p. 56. Bibliotheca mechanica, p. 339. Coupes usées, manque de vélin en queue du dos. Auréole pâle en tête du volume. Couverture rigide
Bon (16)-128 pages, 5 planches
Paris, Jombert, 1725. Deux volumes in-4 de (14)ff., 387-(1)pp. ; (2)ff., 478pp., (1)f., illustré d'un portrait de l'auteur par George Vertue et de 65 planches dépliantes (y compris la planche n°49 bis). 3 planches uniformément brunies. Plein veau marbré, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, pièce de titre et tomaison de maroquin rouge et vert, tranches rouges. Minimes frottements à quelques coins, petit manque à une encoche de coiffe. Jolie re liure de l'époque.
Édition originale, publiée à titre posthume par les soins de M. de Beaufort et de labbé Camus, à qui Fontenelle avait confié les papiers de Varignon. Le père jésuite Pierre Varignon (1654-1722) est un mathématicien français auteur d'importantes contributions à la statique, notamment par la formalisation du triangle des forces et des conditions d'équilibre en trois dimensions. Dans la "Nouvelle Mécanique ou Statique, dont le projet fut donné en 1687", il expose toute la statique à partir de la loi de la composition des forces et donne, en particulier, pour la première fois dans toute sa généralité, le théorème des moments « Posthumous publication of Varignon's major contribution to physics, a complete treatise on the foundations of mechanics. This work was announced in his Projet d'une nouvelle méchanique, which appeared in 1687, but had been left unfinished at the time of his death... A key work in the foundations of classical mechanics, the Nouvelle mécanique contains the first statement of Bernoulli's principle of virtual velocities. » (Roberts & Trent). Très bel exemplaire de la bibliothèque du marquis de Monteynard, avec son ex-libris gravé par Lemire d'après Eisen. Après une longue carrière militaire sur les champs de bataille des guerres de Sucession de Pologne, de Sucession d'Autriche et de Sept Ans, Louis-François de Monteynard (1713-1791) fut secrétaire d'État à la guerre de 1771 à 1774, premier gouverneur général de la Corse et le créateur de l'école de cavalerie de Saumur. Honeyman, 3033
(Paris, Jean Boudot, 1702). 4to. Without wrappers. Extracted from ""Mémoires de l'Academie des Sciences. Année 1699"". Pp. 1-13 and 1 folded engravedplate.
First printing of a major paper in mathematical physics by Varignon which describes falling bodies by help of the new calculus. ""Nevertheless, he (Leibnitz) encouraged Varignon to ceae de bating principles and to start developing mechanical applications of the new mathematics. The questions that Varignon subsequently treated show how faithfully he followed Leibniz's advice.""(DSB XIII, p. 586).""In working with the model of falling bodies, Varignon encountered difficulties in obtaining acceleration as a second derivative. This problem had the advantage, however, of obliging him to reassess the importance of the new differential and integral calculus. His acceptance of the new procedures occurred between 1692 and 1695, and he was among those who gave the most favorable reception to the publication of L’Hospital’s Analyse des infiniment petits in 1696.""(DSB).
"VARIGNON, (PIERRE). - VARIGNON'S MANOMETER COINING THE WORD 'MANOMÉTRE'
Reference : 46059
(1706)
(Paris, Jean Boudot, 1706). 4to. Without wrappers. Extracted from ""Mémoires de l'Academie des Sciences"". Année 1705. Pp. 300-331, textillustrations.
First apperance of this importent paper in which Varignon describes the function and theory behing his invention of the manometer, a term which he coined in this paper. 'Manometre' from Greek (manos + metron) = sparce measure.Stitched together is another importent paper JOSEPH TOURNEFORT ""Observations sur les Maladies des Plantes"", pp. 332-345 in which he made the first classification of plant diseases.
Paris, Pierre-Michel Brunet, 1731, in-4, 2 part. en 1 vol, [8]-66-[4]pp, 155-[9] pp, 22 pl, Cartonnage de l'époque, dos à nerfs, pièce de titre papier manuscrite, Édition originale, posthume. Elle est illustrée de 22 planches de schémas et figures géométriques, la plupart dépliantes, gravées sur cuivre. L'ouvrage reprend l'enseignement de l'auteur au collège Mazarin, dont il fut le premier professeur de mathématiques en 1688. Il contient notamment la démonstration algébrique du théorème qui portera son nom : les quatre milieux des côtés d'un quadrilatère quelconque forment toujours un parallélogramme (pp. 62-63). Mathématicien originaire de Caen, Pierre Varignon (1654-1722) oeuvra en France, après l'Hospital, à la propagation du calcul différentiel et s'attela à la simplification des démonstrations des principales propositions de la mécanique. Étiquette ex-libris J[oseph] Laissus (1900-1969), directeur-fondateur de l'École technique supérieure du Laboratoire. Quelques annotations anciennes à l'encre. Titre et premiers feuillets roussis, avec des petites marques rongeure en marge. Charnières intérieures légèrement ouverte. Bon exemplaire autrement. DSB XIII, 586. Couverture rigide
Bon 2 part. en 1 vol.,
(Paris, Jean Boudot, 1712). 4to. Without wrappers. Extracted from ""Mémoires de l'Academie des Sciences. Année 1710"". Pp.(343)-374. and 1 engraved plate.
First appearance of one of Varignon's memoirs in mathematical physics dealing with accelerations treated with the calculus.
Paris : Imprimerie royale, 1722 In-4, pages 107 à 140 du volumes de (8)-463 pages et un frontispice. Veau marbré de l'époque, dos à nerfs orné.
Quelques galeries de vers en marge. Deuxième édition. Cette communication a été faite en 1720.En dépassant les méthodes géométriques de résolution des problèmes de mécanique du solide, Varignon a ouvert la voie à D'Alembert et Lagrange pour rédiger les énoncés de physique encore en usage aujourd'hui. À ce titre, il peut donc être considéré comme l'un des fondateurs de la mécanique analytique.
(Paris, Jean Boudot, 1711). 4to. Without wrappers. Extracted from ""Mémoires de l'Academie des Sciences. Année 1709"". Pp. 267-308 and 1 folded engraved plate.
An importent work in mechanical physics in whichhe used the mathematics of the new calculus.
(Paris, Jean Boudot, 1706). 4to. Without wrappers. Extracted from ""Mémoires de l'Academie des Sciences"". Année 1705. Pp. 347-361 and 1 folded engraved plate.
Importent paper in mathematical physics, daling with the inverse problem of central forces along Newtonian lines.
Revue d'Histoire des Sciences sur René-Just Haüy - Michel Blay et Nicole Hulin - Christine Blondel - André Guinier - Lydie Touret - Bénédicte Bilodeau-Guinamard - Ronald Gowing sur Pierre Varignon - Efthymios Nicolaidis sur Georges Goudaroulis
Reference : 100356
(1997)
Presses Universitaires de France - P.U.F. , Revue d'Histoire des Sciences Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1997 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, titre en bleu et noir grand In-8 1 vol. - 154 pages
quelques figures dans le texte en noir et blanc 1ere édition, 1997 "Contents, Chapitres : 1. Articles : Michel Blay et Nicole Hulin : René-Just Haüy, introduction - Nicole Hulin : René-Just Haüy : Des leçons de l'an II au Traité élémentaire de physique - Christine Blondel : Haüy et l'électricité : De la démonstration spectrale à la diffusion d'une science newtonienne - Michel Blay : Lumière et couleurs dans le Traité de Haüy, ou ""la véritable méthode pour parvenir à l'explication des sciences - André Guinier : La cristallographie de Haüy jusqu'aux Bragg et à leurs successeurs - Lydie Touret : Lettres et manuscrits, Relations parisiennes et internationales de R.-J. Haüy - Bénédicte Bilodeau-Guinamard : Les manuccrits de R.-J. Haüy conservés à la Bibliothèque centrale du Muséum national d'histoire naturelle de Paris, avec un fac-similé - Bibliographie complémentaire de R.-J. Haüy depuis 1944 - Ronald Gowing : Pierre Varignon and the Measurement of Time (8 pages) - Efthymios Nicolaidis : Georges Goudaroulis, 1945-1996 - Comptes rendus - L'abbé René Just Haüy (Haüy, né le 28 février 1743 à Saint-Just-en-Chaussée dans l'Oise et mort le 3 juin 1822 à Paris, est un minéralogiste français, fondateur, avec Jean-Baptiste Romé de L'Isle, de la cristallographie géométrique. - En 1781, il découvre la régularité des cristaux, notamment la structure rhomboïde des ""molécules constituantes"" des spaths calcaires. En 1793, il détermine, en collaboration avec Antoine Lavoisier, la valeur de la nouvelle unité de masse, connue sous le nom de kilogramme, pour la Commission des poids et mesures de l'Académie des sciences. Haüy montra que la forme des cristaux résultait de l'empilement de petits volumes de matière qu'il nommait molécules intégrantes, et dont son élève, Gabriel Delafosse déduira la notion de maille en 1840. Grâce à ces travaux, Haüy parvient à définir lespèce minérale. Partant du principe, découvert en 1817 avec le spath d'Islande, et d'autres données, que tous les minéraux peuvent acquérir la propriété électrique et afin d'établir des critères de détermination de chacun d'entre eux, R.J. Haüy se pencha sur la nature de l'électricité et sa quantité, développées par plusieurs moyens : la pression, en comprimant le minéral entre deux doigts ; le frottement (phénomène de triboélectricité) et la chaleur (phénomène de pyroélectricité). Pour ses recherches, R.J. Haüy a imaginé et décrit de petits appareils qu'il a nommés électroscopes permettant de définir l'électricité créée, vitrée ou résineuse, selon l'acception de l'époque (établie par Dufay et Nollet). (source : Wikipedia)" couverture à peine jaunie, sinon bel exemplaire, intérieur frais et propre - paginé 241 à 394
Revue d'Histoire des Sciences sur Descartes - Devillairs (Laurence) - Chevalley (Catherine) - Carraud (Vincent) - Moreau (Pierre-François) - Scribano (Emanuela) - Buzon (Frédéric de) - Belgioioso (Giulia) - Lyndia Roveda sur Lamarck - Santiago Aragon - Solange Gonzales sur Varignon - Thérèse Charmasson , Stéphanie Méchine et Marc Petit sur Wolfgang Doeblin
Reference : 100355
(2005)
Presses Universitaires de France - P.U.F. , Revue d'Histoire des Sciences Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 2005 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, titre en bleu et noir grand In-8 1 vol. - 264 pages
1ere édition, 2005 Contents, Chapitres : 1. Articles : Laurence Devillairs : La lecture des Principia philosophiae de Descartes - Catherine Chevalley : Ce que Pascal doit à la physique des Principia - Vincent Carraud : Approfondir trop et parler de tout : Les Principia philosophiae dans les Pensées, note complémentaire sur Disproportion de l'homme - Pierre-François Moreau : Les Principia de Spinoza - Emanuela Scribano : Invention et interprétation dans la réécriture spinozienne de la métaphysique des Principia philosophiae - Laurence Devillairs : Immutabilité de Dieu et mérites des hommes : A propos du scolie de la proposition XIII de la deuxième partie des Principes de la philosophie de Descartes - Frédéric de Buzon : Repos ou mouvement conspirant : Leibniz et les articles 54 et 55 de la partie II des Principia philosophiae - Giulia Belgioioso : Les racines suaréziennes de la métaphysique cartésienne : La lecture des Principia de Francesco Maria Spinelli (1733) - 2. Varia : Lyndia Roveda : Lamarck et l'art des distinctions - Santiago Aragon : Le rayonnement international de la Société Zoologique d'acclimatation, participation de l'Espagne entre 1854 et 1861 - 3. Etudes et travaux : Solange Gonzales : Varignon et la transsubstantiation - Thérèse Charmasson , Stéphanie Méchine et Marc Petit : Archives et manuscrits de Wolfgang Doeblin - 4. Analyse d'ouvrages - Les Principes de la philosophie est le titre d'un ouvrage philosophique écrit par René Descartes en 1644, dont le titre original en latin est Principia philosophiae. L'objectif poursuivi par Descartes est, selon lui, de « donner des fondements rigoureux à la philosophie ». (wikipedia) couverture à peine jaunie, sinon bel exemplaire, intérieur frais et propre - paginé 1 à 264