Paris, Club Français du Livre, 1953, 1 volume, in-8 (21 cm), relié, XLIV-1276 p.. Volume 21 de la collection "Les Portiques". Reliure éditeur, pleine basane grenat maroquinée, dos lisse avec titre doré, titre doré sur le premier plat, dos très légèrement décoloré, sans rhodoïd, coiffe supérieure frottée.
Bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Paris, Club Français du Livre, 1953, 1 volume, in-8, relié, XLIV-1276 p.. Volume 21 de la collection "Les Portiques". Reliure éditeur, plein chagrin grenat maroquiné, dos lisse avec titre doré, titre doré sur le premier plat, sans le rhodoïd, petits frottements aux coiffes, ex-libris (cachet) du domaine de la Basiliade sur la première garde blanche et la page de titre.
Bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Paris, Charpentier 1881, 1 volume, in-12, relié, 434 p.. Quatrième édition. Reliure d'époque, demi chagrin rouge, dos à nerfs avec filets dorés formant caissons, fleurons dorés, marges extérieures légèrement jaunies, quelques rousseurs.
Très bon état. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Paris, Extrait du Mercure de France, 1938. Plaquette in-8, agrafée.
Tirage à part. Envoi autographe signé. [7985]
, , 1884. 2 feuillets manuscrits in-8.
Émouvant document autographe du directeur du Cri du Peuple affaibli par la maladie. Son destinataire est resté anonyme. Jules Vallès est mort à Paris le 14 février 1885.« Paris 16 avril 1884. Madame, Veuillez me faire savoir l'objet de votre visite et je vous répondrai si je puis avoir l'honneur de vous recevoir. Dans l'état de santé où je suis et surtout avec les nombreuses occupations que m'impose la direction d'un journal, j'ai besoin d'être renseigné sur la nature des entretiens qu'on veut bien me demander, afin de ne pas faire perdre et de ne pas perdre moi-même inutilement un temps dû aux choses précises. Veuillez me rappeler si nous nous sommes déjà vus. Votre nom ne réveille en moi aucun souvenir. Recevez mes salutations Jules Vallès ».
, , 1878 ca. 2 pp. in-8 manuscrites à l'encre brune.
« Pascal, 10 Upper Woburn place (Euston Road). Mon cher ami, Je n'ai pas compris votre lettre. Vous me dites que Magnier (rédacteur en chef de l'Événement ndlr) ne revient guère sur ses premières décisions. Quelle décision a-t-il jamais prise à mon endroit ? Ai-je mal lu ou oublié vos explications à propos de (…) Mois anglais ? Toujours est-il que je ne suis nullement (…) Magnier est prêt à me faire commencer. Votre mot ne me dit pas d'autre part si son départ rend absolument irréalisable son projet… il aurait voulu le voir… dans l'Evénement tel que je vous l'avais expliqué. Oui il s'agit du Plan du Mois anglais et je répète que l'arrivée de la Comédie Française à Londres … fin de ce mois, le Congrès 9 juin prochain sont des … merveilleux d'accrocher mon journal de Londres… dans votre journal… Un paye avec un titre spécial. La 2e paye on arriverait bien… sûrement tôt ou tard… Veuillez donc me faire l'amitié de me répondre sur ces deux points. Est-ce pourquoi Magnier est absent que la chose ne peut se faire. S'il était à Paris, le ferait-il ? Y-a-t-il parole en l'air ou décision arrêtée puisque vous parlez de la netteté de ses décisions. Autre chose - les chroniques de Londres ne pourraient-elles représenter (en dehors et en avance de mon projet plus vaste )…A vous cordialement avec le désir de vous être utile. Jules Vallès. Remarquez que j'ai changé de domicile. Voir en haut. Veuillez me réadresser votre adresse ».Gaston Gille (Jules Vallès Bibliographie, p. 64) : « Vallès vivait incognito durant son exil en Angleterre et en Belgique (1871-1880) sous le nom de Pascal, nom patronymique de sa mère ».
Paris, Imprimerie Kugelmann, 1867-1868. 33 livraisons reliées en 1 vol. petit in-folio, demi-percaline rouille (reliure de l'époque).
Collection complète de ce journal politique et littéraire fondé par Jules Vallès. Principaux collaborateurs: A. Ranc, Duranty, E. Zola, L. Cladel, A. Gill, G. Maroteau, P. Arène, J. Claretie, E. et J. Goncourt. Sur les conseils de Villemessant, Vallès créait son propre journal. « La Rue : celle qui mène au boulevard et celle qui aboutit au faubourg. Nous voulons être le journal pittoresque de la vie des rues, la mémoire du peuple ». Une place importante était réservée à la caricature ; tour à tour P. d'Aube, Pépin, Gilbert-Martin, Burino, Montbard, A. Lévy et surtout André Gill illustrèrent cette publication. Le 6 juillet, la vente du journal fut interdite sur la voie publique. Le numéro 27 fut saisi pour un article intitulé Cochons vendus. Le dernier numéro (n°33) qui fut saisi, est très rare.Bel exemplaire sans rousseur, provenant de la bibliothèque Arsène Houssaye (ex-libris).Grand-Carteret 599 : « La Rue fut avec le Boulevard de Carjat, le plus typique des journaux illustrés de la fin du Second Empire ».
, , 1873 ca. 1 feuillet in-8 manuscrit (11 x 18 cm).
Lettre autographe non datée durant son exil anglais (1871-1880) dont nous n'avons pu identifier le destinataire ; l'adresse en revanche mentionnée dans la lettre 2 Bedford Street renseigne sur sa date approximative (1873) : « Cher Monsieur Jalnay, Puis-je vous voir demain, assez à temps pour prévenir toutes personnes de mes amis que je les … à Princess Theatre ? A quelle heure a-ton chance de vous rencontrer sans vous déranger ? Si vous ne pouvez ni me donner de rendez-vous, ni m'envoyer des places, écrivez-moi tout de même un mot je vous prie à cette adresse : 2 Bedford Street, Bedford Square W.C. … je voudrais pourtant vous voir et vous demander mieux qu'une complaisance, quelque chose de plus grave : un conseil. Je compte sur un bout de réponse pour demain à la première heure. Jules Vallès ».
, , 1865. 2 pp. in-8 manuscrites recto verso à l'encre brune.
« Juillet 1865. Lundi matin. Cher Monsieur Perroud, Je cours depuis des jours après les numéros de journaux où l'on parle des tableaux de M. Victor Robut que je n'ai pas vus dans l'unique visite que j'ai faite au Salon. Croyez croyez bien que je suis tout, tout entier à votre service et je signerai pour vous être agréable, contrairement à mon parti pris d'envoyer pour les réclames. Mais M. Victor Robert mérite mieux sans doute. Comment faire pourtant ? Indiquez-moi un moyen de dresser ce compte-rendu et de rédiger cet éloge. Je vous enverrai courrier par courrier l'article que vous n'aviez qu'à bâtir vous-même ; j'effacerai votre marque puisque vous y tenez et tacherai d'y mettre la mienne. J'ai parfaitement vu le numéro où vous parlez de mon Merus merci. Et encore une fois à votre disposition. Avisez ! C. à V. Vallès rue de Bréa 5. PS M. Botrou Moru m'a écrit à ce sujet, je lui répond en adressant cette lettre ».
Paris 1884, 13,5x21cm, une page et quart sur un double feuillet.
Lettre autographe datée et signée de Jules Vallès, à en-tête de son journal "Le cri du peuple", adressée à un journaliste, 16 lignes à l'encre noire sur un double feuillet. Une pliure centrale inhérente à l'envoi postal ayant provoqué une déchirure en marge gauche. Jules Vallès a bien reçu la demande d'un journaliste d'insérer son article dans le prochain numéro du "Cri du peuple", mais il ne pourra l'honorer favorablement : "J'ai vu la direction du journal, et malheureusement, il sera de toute impossibilité de vous faire même la plus petite place dans le Cri." Son article lui sera cependant compté : "... nous dira ce que vous avez donné de copie, et cette copie vous sera réglée." "Le Cri du Peuple", fondé par Jules Vallès, en février 1871 sera pendant la Commune de Paris le quotidien le plus lu, tirant à 100 000 exemplaires jusqu'à l'écrasement de la Commune de Paris. Il reparaîtra au retour d'exil de Jules Vallès avec la collaboration de Séverine. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
, , 1880 ca. 3 feuillets in-8 manuscrits (11 x 18 cm).
Ébauche inédite non signée, vraisemblablement le canevas d'un article à venir composé et disposé comme un poème en vers libres. 1. Il nous faut la liberté de discuter / L'Armée / Avoir raison trop tôt /Loi d'airain du salaire / des enfants dans les manufactures / Système de banque le peuple s'en fiche bien / Ils étaient la morale et la - depuis 3000 ans. / L'an 2000 ! Et bien après / Le monopole, le privilège. Bastiat même / se fâche. M. Molineau demande la liberté / Libre échange / Haine de l'Internationale et du peuple qui n'est qu'une idéd / Charité / Lyon, le drapeau noir sans parti / Mariage et collage d'idées bizarres / Leurs idées sont des faits non des préjugés. 2. Sans la Guerre nous serions plus avancés / association de grands capitaux/ Tolain / Ecole de Manchester / La bourgeoisie ruinée accepterait nos théories / Question d'argent est tout. C'est pourquoi on regrette tant de n'avoir pas pris la banque / Discuter la théologie / Peuple et déclassés / Le travail / C'est eux les chimériques ! La liberté ce qu'elle produit sans contradictions /Justice et justesse / Compas balance / On vient la facasser dans nos mains / Ils devraient nous protéger eux-mêmes. 3. Ce qui. [Fin du manuscrit].
, , 1865 ca. 1 feuillet manuscrit in-16 à l'encre brune.
Ébauche d'article autographe largement biffée et crayonnée. « Amagat prenant trompette pour faire des articles… Amagat pensant à Neubourg comme à Cahors, à Cherbourg comme à Romans, devant tout d'un… phénomène… ou plutôt faisons appel à sa bonne foi Auverpine et ne nous… plus de lui surtout. Pas de blagues ! »…
Paris, Eugène Fasquelle, Bibliothèque-Charpentier, 1900. In-12 de 244 pages, demi-percaline rouge à coins, dos avec titre, fleuron et filets dorés, étiquette de titre bordeaux avec minime tache blanche, tache noire au second plat.
Premier volet de la trilogie des Mémoires d'un révolté, qui s'ouvre sur ces mots : «A tous ceux qui crevèrent d'ennui au collège ou qu'on fit pleurer dans la famille, qui, pendant leur enfance, furent tyrannisés par leurs maîtres ou rossés par leurs parents, je dédie ce livre».
Paris, G. Charpentier et Cie, 1886. In-12 de [6]-376 pages, demi-percaline marron, dos orné de filets, encadrement, 1 fleuron et titre dorés, tranches mouchetées. Rousseurs et auréoles éparses.
Portait par Guyot en frontispice. Edition originale, sans mention de tirage. Ex-libris du banquier genevois Henri Lienme, orné de vers adressés à ses livres: "Chères délices de mon âme - Gardez-vous bien de me quitter; quoiqu'on vienne vous emprunter, Chacun de vous m'est une femme - Qui peut se faire voir sans blâme Et ne se doit jamais prêter".
Paris, A. Quantin, 1884. In-8 broché de [8]-380-[4] pages, couvertures rempliées. Exemplaire sans défaut.
Illustré de 12 eaux-fortes par Renouard. Il à été tiré de cette édition 100 exemplaires numérotés sur papier japon, dont celui-ci (n°61). Toutes les gravures s'y trouvent en deux états, l'un avant la lettre sur japon, l'autre définitif sur vélin d'Arches.
Paris, Librairie Gallimard, 1932. Petit in-8 broché de 220-[4] pages, couverture imprimée en deux tons. Dos un peu gauchi.
Edition originale au tirage limité à 289 exemplaires, celui-ci, parmi les 109 sur vélin pur fil Lafuma-Navarre, un des 133 destinés aux Amis de l'Edition Originale (35).
Garnier flammarion 1968 1968. Jules Vallès: L'enfant/ Garnier-Flammarion 1968 . Jules Vallès: L'enfant/ Garnier-Flammarion 1968
Très bon état
Mercure de France, 1938. Plaquette in-8 agrafée de 42 p. Tiré à part de la revue MERCURE DE FRANCE. E.O. Sympathique envoi autographe de Jules Thiercelin à l'écrivain Pierre Labracherie, dit Pierre Bathille. Plats légèrement salis.
ÉDITION ORIGINALE EN VOLUME Librairie Achille Faure, Paris, 1866. In-8 ( 18 X 12 cm) , 1/2 reliure de cuir vert, dos à 4 nerfs , mentions de titre, d’auteur et d’initiales dorées. 328 p. Recueil des principaux articles parus dans Le Figaro: Les Réfractaires. Les Irréguliers de Paris. Les Morts. Un Réfractaire illustré. Deux autres. Les Victimes du Livre. Le Dimanche d’un jeune homme pauvre ou le septième jour d’un condamné. Le Bachelier géant. L’habit vert. Contient aussi au dos de la page de titre l’annonce de la mort de J. Vallès découpée sur un journal. Et sur 3 pages de garde et la page d’avant titre un article intitulé JULES VALLÈS rédigé à l’annonce de sa mort et retraçant les étapes de sa vie et ses publications dont celle Le dimanche d’un jeune homme pauvre parue dans Le Figaro en 1860 et L’ENTERREMENT DE JULES VALLÈS : Les groupes se forment. La foule s’amuse. Mise en marche du convoi. On ne s’amuse plus , on se cogne. Batailles et incidents. Entrée au Père Lachaise. Mesures d’ordre. Les discours sur la tombe. Retraite. Les discours de Jules GUESDE, de VAILLANT sont mentionnés . Celui de ROCHEFORT transcrit. L’article se termine par : Vive La Commune! Vive La Sociale !
Des rousseurs . Trace de mouillures dans un coin supérieur sur 14 pages.
Paris, La Rue, Bureau 1 rue du Jardinet, Vente 5 rue du Croissant, du 17 mars au 12 avril 1870, 26 numéros dont 25 de 4 pages (27,5 x 37 cm) imprimées sur 3 colonnes et un n° sous forme de placard (36,2 x 55,9, imprimé au seul recto) ; états variables, de médiocre à correct, les exemplaires ont été conservés pliés en deux, verticalement.
Fort rare collection complète des 26 numéros parus (27,5 x 37 cm) du quotidien "La Rue", dont le numéro double 23-24, "Notre plébiscite", sous forme de placard. Le premier numéro, du 17 mars, n'est pas numéroté ; le dernier, du 12 avril, porte le n° 27. Vallès reprend ainsi le nom de son premier journal, hebdomadaire qu'il avait créé et dirigé en 1867-1868. Articles de Vallès (sous son nom ou sous pseudonymes), Henri Bellenger, Jules Beaudoin, Henri Marchegay, Dr Bonhomme, Emmanuel Delorme, Jules Beaujoint, Nestor Leroy, Charles Dacosta (sur la "Claudie" de Geroge Sand), E. Lux, Maxime Vuillaume, E. Magé, Maurice Varennes, Pierre Lenoir, Jean Plébéiot, Jacques Daraut, A. Macé, D. Decamp, Charles Mertel, Delben, Pépiniaud, Jean de La Rue, Gaetan Delaunay, Charles Hurel, Laurendeau, Dr E. Galitaire. Le procès de Tours de Pierre Bonaparte, acquitté pour l'assassinat de Victor Noir, occupe largement les numéros 4 à 14. Le n° 16 du 2 avril reproduit 16 vers de Victor Hugo, datés "H.H. [Hauteville House], 24 mars 1870".
Le Livre de Poche 1992 348 pages 11 1cm x 17 8cm x 1 5cm. 1992. Broché. 348 pages. Fils d'un professeur de collège méprisé et d'une paysanne bornée Jules Vallès raconte : "Ma mère dit qu'il ne faut pas gâter les enfants et elle me fouette tous les matins. Quand elle n'a pas le temps le matin c'est pour midi et rarement plus tard que quatre heures". Cette enfance ratée son engagement politique pour créer un monde meilleur l'insurrection de la Commune Jules Vallès les évoqua à la fin de sa vie dans une trilogie : L'Enfant Le Bachelier et L'Insurgé. La langue de Jules Vallès est extrêmement moderne. Pourtant l'histoire de Jacques Vingtras fut écrite en 1875 et c'est celle des mal-aimés de tous les temps
Bon Etat
Tiré à part de la revue MERCURE DE FRANCE, 1938. Plaquette in-8 agrafée de 16 p. E.O.
Revue d'études vallésiennes Broché D'occasion bon état 01/01/1985 285 pages
1 volume in-8° broché, 277 p. + illustrations. Très bel état.
Phone number : 06.31.29.75.65