2 L.A.S., Genève, 10 & 13 novembre 1902, 3 in-8 (38 lignes). Il écrit à son correspondant, le beau-frère (?) de Francis de Croisset, qu'il ne lit plus de manuscrits pour « 820 raisons » et que « Croisset pourrait en indiquer 3 ou 400 » mais il fera une exception car « les beaux frères de nos amis sont nos amis ». Dans le second courrier, il dit avoir lu le manuscrit et en fait une critique.