[RÉGIONALISME - LE LUDE (SARTHE)] Joseph-Jérome LE ROYER, Écuyer , Seigneur de La Dauversière, Seigneur de La Motte Lubin (9e), Seigneur d'Êvaillé et de La Douetière - Conseiller du Roy, Juge, lieutenant Général de la Sénéchaussée d'Anjou au siège de LA FLÈCHE + LEPROUX Greffierde la Sénéchaussée d'Anjou au siège de LA FLÈCHE + Estienne CHAPELET, Bourgeois de Paris, chargé par sa Majesté du Recouvrement + LOUIS XIV ROY DE FRANCE + SOUFFLOT (Michel) secrétaire du Roi , greffier des requêtes de l'Hôtel du Roy
Reference : 25672
(1694)
paris le lude la flècherouen 1694 I - un document de 2 pages, manuscrites à l'encre brune, sur parchemin velin de format : 34,5 x 24 cm, velin avec 2 timbres fiscaux fixe en noir : "Généralité de Tours - 10 SOLS" + "AVG 3S4D", signature manuscrite : Leproux de la Sénéchaussée d'Anjou au siège de LA FLÈCHE , fait à La Flèche, LE 21 MARS 1694 + II- une quittance d'enregistrement (de 2 pages) du Trésorier des Revenus Casuels au ROLLE du 29 Avril 1694 et au dos de l'enregistrement au Controlle Général des Finances du roy, fait à Paris, le 30 Juillet 1698, signature manuscrite à l'encre brune De Bannond (Document pré-imprimé en noir et manuscrit à l'encre brune sur papier crème) format : 33,5 x 25,5 cm + III - lettre du Notaire HARAN que Florent BRANCHU doit remplacer, fait à Rouen le 2 Novembre 1693, signature Manuscrite du Notaire : HARAN (document manuscrit à l'encre brune sur papier ligné et filigrané de 2 pages, format : 18,5 x 25 cm, avec 2 timbres fiscaux fixe en noir : "Généralité de Rouen - VII DEN." + "AVG 2D" + IV - certificat de baptême (Baptistaire le 10 Novembre 1668) signé, visé et authentifié par Joseph-Jérome LE ROYER, Écuyer , Seigneur de La Dauversière, Seigneur de La Motte Lubin (9e), Seigneur d'Êvaillé et de La Douetière - Conseiller du Roy, Juge, lieutenant Général de la Sénéchaussée d'Anjou au siège de LA FLÈCHE avec signature manuscrite : LE ROYER et sceau sur cachet de cire du seigneur Joseph-Jérome LE ROYER (document original manuscrit à l'encre brune sur papier ligné et filigrané , format : 18 x 24 cm, écrit d'un seul côté, avec 2 timbres fiscaux fixe en noir : "Généralité de Tours - VII DEN"+ "AVG 2D" + V - un document pré imprimé et manuscrit à l'encre brune sur papier crème ligné, format : 25 x 19,5 cm, Reçu de Paiement écrit d'un seul côté, donné par Estienne CHAPELET, Bourgeois de Paris, chargé par sa Majesté du Recouvrement, à Florent BRANCHU Notaire Royal au Lude, fait à Paris, le 10 juin 1698, signature manuscrite à l'encre brune : CHAPELET + VI - un document manuscrit à l'encre brune sur parchemin velin , format : 47,5 x 27 cm, avec 1 timbre fiscal fixe en noir : "LETTRE DE LA CHANCELLERIE - VINGT SOLS" - LETTRE DE LOUIS XIV NOMMANT FLORENT BRANCHU COMME GARDE NOTE, NOTAIRE & TABELLION EN LA RÉSIDENCE DE LA VILLE DU LUDE, fait à Paris le 20 Février 1694, LETTRE signée par SOUFFLOT (Michel) secrétaire du Roi , greffier des requêtes de l'Hôtel du Roy,
Liasse de 6 Documents Originaux concernant la Nomination d'Un Notaire du Lude en 1694 par le Roi Louis XIV ........ RARES DOCUMENTS ..... EN TRÉS BON ÉTAT (very good condition). en bon état
Paris Henri Jonquières 1929 In-12, bradel papier jaune, titre de l'ouvrage poussé en vert sur le dos; doublures et gardes de papier marbré, tranches lisses.Le Journal d'un bourgeois de Paris s'étend de 1405 à 1449. Il commence peu avant le meurtre de Louis d'Orléans, embrasse le temps marqué par l'accession de Jean sans Peur au duché de Bourgogne, l'alliance matrimoniale et politique entre les Orléans et le puissant baron de Gascogne Bernard d'Armagnac, et tout ce qui s'en suivit: la guerre civile, le règne des Cabochiens, la bataille d'Azincourt, l'occupation de Paris... Ce journal est une relation d'un mouvement et d'une intensité de vie extraordinaires, et donne une fidèle image du vieux Paris.
Paris Imprimerie de Plassan et Cie 1831 in 8 (21x13,5) 1 fascicule broché, sous couverture muette de papier marbré ancien, 51 pages. Arnault, Antoine Vincent 1766-1834. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Broché
Jacques Pontien Viée (1721-1791), négociant, bourgeois de Paris, receveur syndic en charge (en 1763), receveur des rentes (selon un des documents).
Reference : 013979
Jacques Pontien Viée (1721-1791), négociant, bourgeois de Paris, receveur syndic en charge (en 1763), receveur des rentes (selon un des documents). L.A.S., Paris, 18 novembre 1769, 1p in-4. A Pierre-Emmanuel de Casaux (1716-1778), président à mortier au Parlement de Bordeaux. Il a réussi à obtenir le paiement de la rente de Casaux sur la Compagnie des Indes. On joint une sorte de mémoire sur les rentes de Casaux, daté de 1775, et qui fut adressé à Viée (3p in-4). Il montre les difficultés à toucher les rentes de Casaux, notamment car il ne fournissait pas de certificat de vie. Notons qu'il est fait mention du marquis de Marigny dans ce document. [217]
Paris, 1961, in-8, 56 & 83pp, broché, Très bel exemplaire dans un emboitage de tissu, tenu aujourd'hui comme un document capital sur la vie et les moeurs parisiens à la fin du XVI° siècle. Ouvrage hors commerce réservé aux amis du Crédit Lyonnais. Bien complet de la carte dépliante! 56 & 83pp
,Paris, Henri Jonquieres Coll. 'Jadis et Naguère' 1929, 359 pp., 1 vol. in 8 br. quelques pliures au plat inférieur.
Docteur Louis Veron ( directeur du Constitutionnel et auteur des Mémoires d'un Bourgeois de Paris).
Reference : CZC-977
LAS datée du 16 avril 1855, adressée au Duc de Morny, dimensions 27 x 21 cm Correspondance de deux figures majeures du Second Empire, deux noctambules qui alimentèrent les chroniques de cette époque. " Mon cher Morny, voulez vous que j'aille vous trouver demain à midi ? si le jour et l'heure vous convenaient, ne faites rien d'ici ce mardi. 16 avril 1855 Tout à vous Véron " Reçu docteur en médecine en 1823, Louis Véron fait fortune en exploitant la pâte pectorale du pharmacien Regnauld, après la mort de celui-ci. Il se désintéresse dès lors de la médecine et commence une carrière de journaliste, publiant des articles politiques dans le journal La Quotidienne et en tenant la rubrique théâtrale dans Le Messager des ChambresEn 1829, il fonde la Revue de Paris dans laquelle il inaugure la formule « la suite au prochain numéro » en publiant des romans-feuilletonsLe 28 février 1831, il est nommé directeur de l'Opéra de Paris1, y restant jusqu'au 1er septembre 1835. Il inaugure la situation de directeur-entrepreneur de l'Opéra, l'exploitant à son propre compte sous le contrôle du Gouvernement et avec l'aide de ce dernier. Il y réussit d'ailleurs très bien et est un des rares directeurs de l'institution à faire des bénéfices.Il devient aussi copropriétaire et directeur du Constitutionnel en 1838. Il en devient le seul propriétaire en 1844 et n'hésite pas à payer 100 000 francs, somme énorme pour l'époque, pour y faire paraître en feuilleton Le Juif errant d'Eugène Sue. Sous sa direction, Le Constitutionnel soutient la politique de Thiers.Sous le Second Empire, il est élu député au Corps législatif en 1852 et 1857.
1854 / 350 + 323 + 312 pages. Reliés. Editions Librairie Nouvelle.
Reliures présentant des frottements d'usage, intérieurs frais, malgré la présence d'une mouillure globale sur le tome 3.