La Nouvelle Revue Francaise, 1928, in-8 carre, edition originale, un des 109 reimposes dans le format in-quarto telliere sur papier verge au filigrane NRF, non coupe, tres bon etat
exemplaire N° III - (3),nominatif,texte frais non coupe,couverture un peu defraichie,Edition originale, un des 109 ex numérotés sur Lafuma Navarre et réimposés dans le format in-quarto tellière, tirage de tête. Bel exemplaire.
Paris, Gallimard, 5 septembre 1927. In-quarto tellière, broché, 250 pp.
Edition originale. Tirage à 1004 ex. Un des 109 exemplaires du tirage de tête réimposés dans le format in-quarto tellière. Bel exemplaire. Photos sur demande.
Athéna, 1944. In-12 br. Coll. " Vie des grands illuminés ". Portrait de Cazotte en frontispice. E.O. Ex-libris de Claude Makovski (premier plat recollé).
Paris Gallimard 1928 1 vol. in-12, broché, non coupé, 250 pp. Edition originale numérotée sur vélin pur fil Lafuma-Navarre. Dos passé et petite déchirure sans manque au plat supérieur de la couverture, sinon très bel exemplaire.
Paris, Gallimard / Editions de la Nouvelle revue française, 1932. Un vol. in-4 tellière (217 x 168 mm) de 246 pp., broché.
Edition originale. Un des 109 exemplaires numérotés du tirage de tête sur vergé, réimposées au format in-4 tellière. Celui-ci, imprimé nominativement pour le Dr ***. Petites piqûres en marge du premier plat. Du reste, très belle condition.
Paris, Gallimard, 1929. In-12, broché, 223 pp.
Edition originale. Un des 600 ex numérotés sur vélin pur fil Lafuma Navarre destinés aux Amis de l'Edition originale. Photos sur demande.
Paris Gallimard 1928 1 vol. broché in-4, broché, 268 pp. Edition originale numérotée sur vélin pur fil Lafuma-Navarre. Dos passé, sinon exemplaire très frais.
Broché, 1950, 298 pages, 23X14 cm, 1950, collection présence de l'histoire, éditions SFELT. Bon exemplaire.
Gallimard 1928 1 vol. broché in-4, broché, 268 pp. Edition originale. Un des 110 exemplaires réimposés sur vergé Lafuma-Navarre. Très bon état.
Paris, Jean Renard, 1944. "Les Connaissances supra-normales". In-12 broché, 280 p. Bon état (papier jauni).
1927 1 Paris, Gallimard, 1927, in-12 broché.
Premier roman de l'auteur dramatique et journaliste. Envoi autographe signé à René Herval, avec son ex-libris.
Paris, N.R.F., 1927, in-12, broché, 250 pages. (CN13)
Édition originale. 1/850 pur fil. Celui-ci n°6.
Couverture souple. Broché. 84 pages. Papier bruni.
Livre. Les éditions de France (Collection : Le mystère), 1937.
Couverture souple. Broché. 100 pages.
Livre. Editions Niclaus (Collection : L'occultisme simplifié), 1948.
Paris, N.R.F., 1928, in-12, broché, 269 pages. (CN13)
Édition originale.1/750 pur fil. Celui-ci n°6.
Paris, N.R.F., 1928, in-12, broché, 250 pages. (CN13)
Édition originale. 1/700 pur fil. Celui-ci n°6.
NRF/ Gallimard, 1928
Broché, comme neuf. L'UN DES 100 EXEMAPLAIRES DE TETE!!!! NRF/ Gallimard, 1928
Hachette 1938 in12. 1938. Broché.
dos et bords insolés tranches fânées intérieur assez propre
LES EDITIONS DE FRANCE. 1937. In-12. Broché. Etat passable, 1er plat abîmé, Manque en coiffe de pied, Quelques rousseurs. 84 pages. Premier plat volant, avec annotations. Quelques schémas en noir et blanc, dans le texte.. . . . Classification Dewey : 133.3-Procédés divinatoires, cartomancie
Classification Dewey : 133.3-Procédés divinatoires, cartomancie
Paris, Hachette 1938 252pp., belle reliure en demi-toile rouge (br.orig.préservé), bel état
1944 PARIS, 1944, Jean-Renard éditeur, volume in-12 broché, 208 pages, tres bon état .
SFELT, 1950, in-8°, 301 pp, une gravure en frontispice, note bibliographique, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Présence de histoire), envoi a.s.
La vie et les idées de John Law. Une large partie de l'ouvrage (p. 183- 295) est consacrée à la reproduction de certains fragments des écrits de Law. — John Law, financier écossais (Édimbourg 1671-Venise 1729). Ce fils d’un orfèvre écossais ressemble à un banquier du grand siècle auquel un Casanova aurait prêté sa séduction. De son père et du monde des manieurs d’argent enrichis par l’escompte et l’échange, il tient la passion des questions monétaires. Son esprit agile excelle très tôt à l’analyse des mécanismes bancaires. Par sa mère, il touche à l’aristocratie : beau, il sait aussi charmer ; ami du plaisir, il garde la tête froide au milieu des fêtes les plus folles. Il est joueur et c’est pour lui une manière de duel. Il sait aussi tirer l’épée : la mort d’un de ses adversaires lui vaut à vingt-quatre ans de connaître les prisons du Royaume-Uni. Son évasion est trop aisée pour ne pas avoir été facilitée. Désormais, il court l’Europe. Il va à Amsterdam, à Paris, à Venise, à Gênes et à Naples. En Hollande, il apprend la finance, en Italie les tripots ; partout, il côtoie les princes et fuit devant leur police. Il en est de même en France, où sa trop grande expérience des cartes le rend suspect. Expulsé, il revient en 1716. C’est l’époque de la Régence ; le duc d'Orléans est attiré par le personnage ; il le laisse appliquer ses idées, la France devient militante du « système ». Le royaume se débat dans une crise financière. Law propose une solution simple et rapide. L’État est riche si le pays est prospère ; ce dernier le devient si la monnaie est suffisamment abondante. Le stock de monnaie métallique détenu par les habitants du royaume peut s’accroître d’un coup : il suffit de transformer les espèces sonnantes et trébuchantes en monnaie de papier, car « la circulation du papier-monnaie étant trois fois plus rapide que celle de l’or et de l’argent, c’est comme s’il y avait en réalité trois fois plus de moyens d'échanges ». Une banque protégée par l’État drainera le métal et refoulera dans le public la monnaie fiduciaire. Négociants et fabricants trouveront le crédit nécessaire à la multiplication de leurs entreprises. C’est encore le crédit qui permettra l’édification d’une compagnie de commerce par actions. Celle-ci pourra être associée à la banque. Elle monopolisera le commerce extérieur, accroîtra l’exploitation coloniale et suscitera de nouvelles richesses. L'État est d’emblée déchargé du souci de ses dettes puisqu’une part des actions de la banque peut être souscrite en billets d’État. À long terme, la banque peut se substituer à lui pour la rentrée d’impôts, qui seront mieux prélevés sans que l’État en soit lésé. En trois ans, l’idée prend corps. Le 2 mai 1716, Law crée une banque de dépôt et d’escompte ; elle devient banque d’émission, les billets au porteur sont à tout moment convertibles en monnaie métallique. À partir du 10 avril 1717, on peut s’en servir pour payer ses impôts. Le 4 décembre 1718, elle est banque royale, l’État détenant seul les actions. L’année suivante, la Compagnie d'Occident, créée en 1717 et chargée de l’expansion de la Louisiane, absorbe les compagnies du Sénégal, de Chine, des Indes orientales et de la mer du Sud. Elle prend le titre de Compagnie des Indes. Elle est associée à la banque. C’est l’apogée du système : Law a le monopole des monnaies et il est le fermier général des impôts. En 1720, il est contrôleur général des finances. Il cultive l’enthousiasme du public ; la spéculation est un moyen d’absorber rapidement la dette de l’État et d’augmenter le capital de la compagnie. Dès lors, le péril le guette : les gros bénéfices promis ne peuvent être donnés qu'avec le temps, et encore seront-ils proportionnés au capital réellement investi ; or, les agioteurs de la rue Quincampoix ont fait monter les actions de 500 à 18 000 livres. Qu’adviendra-t-il lorsque les porteurs toucheront des dividendes jugés trop maigres ? Qu’adviendra-t-1l lorsque, gagnés par la méfiance vite transformée en panique, les détenteurs de billets de banque demanderont, puisqu'il n’y a pas cours forcé, des espèces métalliques ? La réponse est imaginée par les ennemis de Law. Ils sont nombreux. Tous sont des parasites que le système social et politique entretient. Il y a l’aristocratie. Certains de ses membres jouent avec Law ; le plus grand nombre est effrayé par ses projets d’un impôt foncier unique reposant sur le revenu de la terre. Il y a ceux qui participent à la ferme de l’impôt et qui se voient dépouillés de leur moyen d’oisiveté ; Il y a leurs multiples frelons, les banquiers, tels les frères Pâris. Les uns et les autres se partagent la tâche ; les parlementaires, au grand jour, attaquent sur le plan du droit ; les financiers et leurs séides, de manière plus couverte : après avoir fondé une compagnie rivale pour retenir le plus possible les capitaux, ils poussent les gros actionnaires de Law à la réalisation. C’est en voitures que le prince de Conti ou le duc de Bourbon viendront en quelques heures chercher leurs millions. Dès lors, c’est l’effondrement. Law se bat avec ténacité. Il achète les actions pour maintenir les cours ; il ruine ainsi sa banque et obtient alors l’interdiction de la monnaie d’or. Les actions continuant à être bradées, il fait intervenir la police, qui ferme la rue Quincampoix. On se tue pour vendre ses papiers ; il organise des défilés publicitaires pour ses entreprises coloniales. Au milieu d’un monde où le plus rustre est souvent du plus haut lignage, il découvre la grandeur ou la naïveté de ces bretteurs qui font face. Il était millonnaire à son arrivée à Paris, il meurt à Venise en 1729, sans une livre. De nos jours encore, les historiens s’interrogent : génial précurseur ou bon élève des mercantilistes du XVII s. ? Homme de son temps, il apparaît, au travers d’écrits d’ailleurs contradictoires comme Les Considérations sur le numéraire et le commerce (1705) ou le Projet de banque d'État (1715), à l’image d’un mercantiliste. S’il croit que ce qui institue la puissance et la richesse d’une nation « c’est une population nombreuse et des magasins pleins de marchandises étrangères », il affirme aussi que le commerce et le nombre des peuples dépendent de la quantité et de la conduite des monnaies. Mais il repense la notion même de monnaie, et approche de celle de la « monnaie-marchandise » à la fluctuante valeur. Il affirme qu’elle n’est qu’un signe : elle n’est pas « la valeur pour laquelle les marchandises sont échangées mais la valeur par laquelle les marchandises sont échangées ». Son dirigisme monétaire et sa confiance en la valeur créatrice du crédit en font un moderne. Paradoxalement, pourtant, son expérience aura retardé en France l’accoutumance du crédit. En dépit de la profonde crise morale que le système révèle, la France du Régent lui est redevable. Il a allégé la dette de l’État ainsi que celle de certains groupes sociaux, telle la paysannerie. Il a suscité en Amérique le développement de la Louisiane et la création de La Nouvelle-Orléans (1718) : les ports de Nantes, de Bordeaux et surtout de Lorient en bénéficièrent pour tout le siècle. (J.-P. B., Grande Encyclopédie Larousse, 1971)
Paris, Athêna, coll. « Vie des grands illuminés » 1944 In-12 19 x 12 cm. Broché, couverture beige, titre en noir sur le doset le premier plat, portrait de Jacques Cazotte en frontispice, 227 pp., bibliographie, table des matières. Exemplaire en bon état enrichi d’un envoi autographe de l’auteur.
Bon état d’occasion
1938 Paris, Hachette, Collection "Les vies privées", 1938, in 12 br. de 252 pp., bon ex.
Envoi autographe de l'auteur à M. Lucien DESCAVES.
In-12, 250 pages, reliure demi-chagrin rouge à coins, couverture conservée. (418g) Paris, Gallimard, 1927
Édition originale. Un des 895 ex. numérotés sur vélin pur fil (n°453). Très bon état. Réf 23114.