1878 18 Années réunies en 14 volumes, reliure demi-chagrin noir in-quarto (binding half shagreen in-quarto), dos 5 nerfs ornés de filets or et de filets à froid (spine with 5 raised bands illuminated with a gilt line and encircled of blind-stamping decoration line), titre et Année frappés or (gilt title), roulettes en place des nerfs et en tête et en pied (fillets on the place of raised bands and top and at the foot of spine), papier marbré aux plats (cover with marbled paper), toutes tranches lisses, pages de garde peignées (painting endpapers), étiquettes Ex-libris du relieur aux volumes 1882 et 1883 : Mme De Monti de Rezé, orné de trés nombreuses illustrations in et hors-texte en noir et certaines en couleurs (N° 42 à 52 de la 12ème Année),Texte sur deux colonnes, Un grand nombre des illustrations sont l'oeuvre de J. BLASS, Chaque année comporte 52 numéros. 1. 1ère année et 2ème années : du n°1 (10 novembre 1878) au n°52 (28 décembre 1879) - 2. Troisième année : du n°1 (4 janvier 1880) au n°52 (26 décembre 1880) - 3. 4ème année : du n°1 (2 janvier 1881) au n°52 (25 décembre 1881) - 4. 5ème année : du n°1 (1er janvier 1882) au n°53 (31 décembre 1882) - 5. 6ème année : du n°1 (7 janvier 1883) au n°52 (30 décembre 1883) - 6. 7ème année : du n°1 (6 janvier 1884) au n°52 (28 décembre 1884) - 7. 8ème année : du n°1 (4 janvier 1885) au n°52 (27 Décembre 1885 ) - 8- 9ème année : du N°1 (03/ Janvier 1886) au N°52 (26 Décembre 1886), 9- 10 ème Année : du N° 1 (2 Janvier 1887) au N° 52 (25 Décembre 1887), 11ème Année : du N°1 (1 Janvier 1888) au N°41(7 Octobre 1888)...Cessation Temporaire de Parution...... reprise Du N°42 ( du 7 Octobre 1888 - Nouvelle Direction : Jean de BONNEFON) au N°5 Seconde Série (30 Décembre 1888), 12ème Année : du N°1 (6 Janvier 1889) au N°52 (29 Décembre 1889), 13ème Année : N°1Tablettes Héraldiques (Supplément N°1 et seul Supplément Paru au Triboulet) + Du N°1 (5 Janvier 1890) au N°52 (28 Décembre 1890), 14ème Année : du N°1 (4 Janvier 1891) au N°52 (27 Décembre 1891), 15ème Année : du N°1 (3 Janvier 1892) au N°52 (25 Décembre 1892)......Arrêt de la Publication....Reprise (17ème Année : DU Dimanche 8 Avril 1894 Sous un Autre Format (36 x 27,5 cm) au N°65 (30 Décembre 1894), 18ème Année : du N°1 (6 Janvier 1895) au N°9 (du 3 Mars 1895), 1878-1895 Paris Bureaux du journal "Le Triboulet" Editeur,
LE TRIBOULET :.. C'est ainsi que James Harden-Hickey, toujours sous le pseudonyme de Saint-Patrice, fait paraître, en tant que directeur, le 10 novembre 1878 le premier numéro du Triboulet, du nom du bouffon du roi Louis XII, que Rabelais met en scène dans Pantagruel (1532) et Victor Hugo dans Le roi s'amuse (1832). Le projet de l'éditeur est clairement annoncé : " Faire triompher les bons principes de la religion, de la famille, et de la tradition ". ...." Le programme du Triboulet, déclare-t-il, est très simple, mais aussi très complet : flétrir tout ce qui est ridicule, tant dans les choses politiques que dans les murs et les relations sociales, dévoiler l'hypocrisie partout où elle se trouve, en un mot encourager au bien par la critique du mal ". La rédaction et l'administration sont situées au 43, Boulevard Haussmann à Paris. Le numéro coûte 50 centimes. Le secrétaire de la rédaction est M. de Gastyne. Barbey d'Aurevilly en assurera la chronique théâtrale.L'apparition de cet organe satirique se transforme en véritable événement politique. Au bout de six mois, le journal tire à 30 000 exemplaires. Son succès tient d'ailleurs beaucoup du scandale, car ses satires violentes contre le Président de la République et les ministres retardent souvent l'apparition de ses numéros, interdits par la censure. Plusieurs fois, des pages blanches vont remplacer les dessins incriminés, qui parviennent néanmoins aux abonnés sous plis cachetés. Le gérant du journal, un certain Lampre, ne quitte guère la prison de Sainte-Pélagie. Les amendes, les condamnations en dommages-intérêts, pleuvent sur la direction et rendent ruineuse, pour Harden-Hickey, une publication qui s'annonçait comme une superbe opération financière. Au bout de dix-huit mois d'existence, le Trihoulet a déjà subi dix-neuf condamnations ! Deux députés, MM. Villiers et Robert Mitchell, interpellent le ministère, le 13 juin 1880, sur les abus de la censure préventive. Cette institution surannée ne survivra qu'un mois à ces débats. Mais, le 8 août 1880, le gouvernement prend sa revanche en expulsant de France Harden-Hickey, resté citoyen américain. Un dessin, signé de Blass, mettant en cause M. M. Grévy, Gambetta, et Fallières, sert de prétexte à cette mesure rigoureuse, que beaucoup jugent scandaleuse. Privé de son chef, le Triboulet déclinera vite. La suppression de la censure lui portera le dernier coup, car ses démêlés avec Anastasie constituaient, pour lui, la plus merveilleuse des réclames. L'hebdomadaire disparaîtra en 1893....puis réapparaitra sous une autre forme......RARE.......en trés bon état.
Revue hebdomadaire, 4 volumes in-4 - Couverture illustrée - Illustrations noir et blanc & armoiries in texte . Reliures demi basane rouge ornées de fleurs de lys.
Le Triboulet est un journal satirique monarchiste français fondé en 1878. Son titre fait référence au bouffon Triboulet, héros du Roi s'amuse de Victor Hugo, présent dans un grand nombre des caricatures et vignettes de cet hebdomadaire. Il commence à paraître le 10 novembre 1878 sous la direction du baron James Harden-Hickey, alias Saint-Patrice, un jeune écrivain américain d'origine irlandaise converti au légitimisme depuis son installation en France. Le journal, dont le secrétaire de rédaction est Jules de Gastyne et le gérant Georges Lampre, Dévoué à la cause royaliste du « comte de Chambord » et farouchement anti-républicain, Le Triboulet subit régulièrement la censure ainsi que de nombreuses condamnations qui lui coûtent très cher tout en contribuant à sa célébrité. En août 1880, alors que l'hebdomadaire a déjà perdu 21 procès, son directeur est expulsé du territoire par arrêté du ministre de l'Intérieur, Ernest Constans.
Plon, 1985, gr. in-8°, 352 pp, qqs fac-similés, index, broché, couv. illustrée, bon état, envoi a.s.
Premier volume des mémoires de l'auteur,jusqu'en 1958. — "Comment un homme de droite, catholique fervent, séduit par la monarchie, sensible aux sirènes de l'extrême droite des années trente, trouve son chemin de Damas après Munich et la débâcle de 1940 pour devenir, via la Résistance, sous-préfet de Bayeux et des arrondissements libérés en juin 1944. Tel est l'objet de la première partie des mémoires politiques de Raymond Triboulet. Gaulliste de stricte fidelité, l'auteur va ensuite, douze ans durant, appartenir aux trois Assemblées de la Quatrième République, dans lesquelles il se sent fort à l'aise et accomplit un consciencieux travail législatif. L'ouvrage révèle un homme engagé par conviction dans la vie publique, soucieux de servir à ce poste son pays et ses idées qui sont celles du conservatisme intégral. Limites qui expliquent sans doute que Raymond Triboulet soit demeuré en marge des événements fondamentaux, cantonné dans un rôle secondaire, aussi bien dans une Quatrième République où son gaullisme le marginalise qu'au sein du mouvement gaulliste où sa fonction essentielle semble avoir été de présider aux destinées du groupe des Républicains-sociaux, à l'époque de la décadence du RPF. (...) Raymond Triboulet insiste avec force sur les convictions européennes des gaullistes en s'indignant que les historiens ne considèrent comme Européens que les partisans de l'Europe des fonctions en oubliant les champions de l'Europe des institutions confédérales. Par ailleurs, Journal officiel a l'appui, il date de manière convaincante du 16 mai 1958 le ralliement de Guy Mollet à la candidature du général de Gaulle." (Serge Berstein, Vingtième Siècle. Revue d'histoire, 1985)
Couverture rigide. Reliure demi-basane à nerfs un peu frottée. Volume d'environ 600 pages. Rousseurs.
Livre. Directeur de la publication : Nicolas de la Casinière. Le Triboulet, 1884.
Bordas, 1951, in-12, 235 pp, broché, bon état
Par Raymond Triboulet (1906-2006), élu député républicain indépendant du Calvados en 1946, puis au Rassemblement du peuple français (RPF) en 1951 et républicain social en 1956, groupe qu'il préside. Il est ministre des Anciens combattants dans le gouvernement Edgar Faure du 23 février au 6 octobre 1955. Sous la Ve République, Raymond Triboulet est constamment réélu et siège au Palais-Bourbon de 1958 jusqu'en 1973 sous les étiquettes UNR, UNR-UDT, UD-Ve République et UDR. Dans “Sens dessus-dessous”, le talent du jeune journaliste éclate à chaque page tantôt de façon féroce, tantôt avec tendresse, mais toujours avec le mot juste...
Paris Plon 1986 Un volume in-8 dos collé, couverture grise illustrée, 364 pages. Bon état, envoi de l'auteur.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Paris Plon 1985 Un volume in-8 dos collé, couverture grise illustrée, 352 pages. Bon état, envoi de l'auteur.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Paris, Georges Carré et C. Naud, éditeurs, coll. « Bibliothèque de la Revue générale des Sciences » 1900 In-8 22 x 13,5 cm. Cartonnage souple éditeur percaline aubergine, auteurs & titre doré sur le dos et le premier plat, 248 pp., catalogue éditeur 48 pp. in fine, table des matières.
Contient : Notions générales _Toxicologie et physiologie - Pathologie - Thérapeutique - Prophylaxie. Bon état d’occasion
Paris Plon 1986 1 vol. broché in-8, broché, couverture illustrée, 364 pp., index. Envoi de l'auteur à Jean Mauriac.
Paris : Durand 1762 In-8, 158 pages. Veau de l'époque, dos lisse orné, triple filet doré autour des plats, tranche dorée.
Dos et coupes frottés, coins émoussés, charnière fendue au second plat. Un chef d'œuvre du théâtre comique médiéval. Réimpression améliorée de l'édition donnée par Coustelier en 1723, renfermant de nouvelles notes et une autre préface.La Farce de Maître Pathelin fut composée vers 1460 et imprimée pour la première fois en 1485. Anonyme, cette œuvre est parfois attribuée à Guillaume Alécis, voire à François Villon. D’après les récents travaux de Bruno Roy, l’auteur le plus probable serait Triboulet, le bouffon de René d’Anjou. Constitutée de vers octosyllabiques, la pièce est écrite en dialecte d’Ile-de-France fortement mâtiné de particularismes angevins. Sa construction et son style en font la première véritable comédie en langue française. Tchemerzine IX, 115 ; Brunet IV, 436.
Soit 53 numéros de 16 pages chacun, reliés en un volume in 4°, demi-maroquin bleu, dos à faux nerfs orné à froid ; petits frottis d'usage.
Bel exemplaire. Le n°49 n'a pas été relié ici, mais le supplément au n°53 est bien présent. PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
CLAISSE PAUL, MOSNY E., LANDOUZY, GRIFFON, TRIBOULET, BARBIER, BALZER, MENETRIER, MERY, BABONNEIX, LE NOIR.
Reference : 1768
(1910)
PARIS. LIBRAIRIE J.-B. BAILLIERE ET FILS. 1910. FORT IN-8 BROCHE (17 X 25 X 5 CENTIMETRES ENVIRON) DE 860 PAGES + 20 PAGES DE CATALOGUE, COUVERTURE VERTE, TITRE IMPRIME EN BLEU. FORME LE VOLUME XXIX DU «NOUVEAU TRAITE DE MEDECINE ET DE THERAPEUTIQUE» PAR BROUARDEL ET GILBERT, PUBLIE EN FASCICULES SOUS LA DIRECTION DE MM. A. GILBERT ET L. THOINOT. BON EXEMPLAIRE.
TREDANIEL GUY EDITEUR
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782813225702
Triboulet Fanny Syren Jean-Luc Walter Valérie
Reference : 500146141
(2005)
ISBN : 9782737229220
Paris, Revue publiée par la Société d'Etude du XVIIe siècle avec le concours du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) et de la Direction Générale des Arts et Lettres, 1972, in-8 broché, 132 pp. BON ETAT
Couverture souple. Broché. 96 pages.
Livre. Editions Delta 2000, 2005.
1 vol. in-8 br., Editions France Empire, 1981, 190 pp.
Bel envoi de l'auteur "A Jean Baptiste Callen, dont la flamme de résistant ne s'est pas éteinte, hommage de respectueuse amitié". Bon état. De la bibliothèque de l'abbé J. B. Callen qui fit la campagne de France 1944-1945 sous les ordres du général de Monsabert, et fut notamment aumônier des 1er et 2e R.E. de la 13e Demi Brigade de la Légion Etrangère et de la 3e Compagnie Saharienne Portée de la Légion, en Algérie de 1957 à 1960. L'auteur quant à lui, resistant pendant l'Occupation, fut notamment le premier sous-préfet de la France libérée (Bayeux, juin 1944).
Triboulet Fanny Syren Jean-Luc Walter Valérie
Reference : 45050
(2005)
ISBN : 9782737229213
Editions SAEP 2005 141 pages 25x19x1cm. 2005. Broché. 141 pages.
French édition - Le livre présente de petites marques de stockage et/ou de lecture sur la couverture et/ou les pourtours mais du reste en très bon état d'ensemble. Expédition soignée depuis la France dans un emballage adapté
Paris, Carre et Naud Editeurs ("Bibliotheque de la Revue generale des Sciences"), 1900. in-8°, 253 pp + 48 pp. de catalogue editeur in-fine, cartonnage pleine percaline bordeaux decore editeur.
Dos insole, coiffes et coins us. [DV-21]
1985, éditions Plon, in-8 broché de 370 pages, dédicacé par l'auteur | Etat : Etat correct, couverture défraîchie aux angles (Ref.: Ref95464)
Plon
Plon, 1986, gr. in-8°, 364 pp, annexes, index, broché, couv. illustrée, bon état
"Deuxième tome des Mémoires de R.T. qui évoque cette fois les années gouvernementales des débuts de la Ve République sous M. Debré (dont le portrait est fort élogieux) et G. Pompidou (qui a au contraire droit à toutes les férocités de l'auteur). Ministre des Anciens Combattants ou ministre de la Coopération (ministère dont la jeune existence a bien du mal à s'affirmer face à l'impérialisme des Affaires étrangères), R.T. se présente d'abord comme un vieux parlementaire, un véritable homme politique dont le métier est d'abord la capacité à convaincre, par opposition aux technocrates qui ont envahi la Ve République. Préoccupé de son avenir personnel plutôt que de bonne gestion, G. Pompidou est présenté comme oscillant entre la platitude du courtisan et la morgue du fondé de pouvoir, sans compter l'étrange dialogue de l'homme avec la santé, puisqu'il aurait d'autant mieux supporté ses ministres qu'il les croyait atteints d'un mal incurable (ce qui expliquerait le terrible carnet noir de la politique française de 1969 à 1974). « Démissionné » en 1966, R.T. s'en va assuré de « l'estime » du Général (lettre en annexe) et décidé à se consacrer à des oeuvres d'intérêt général (la sécurité routière ou l'enseignement supérieur catholique)." (Revue française de science politique, 1987)