Nous avons :- Les numéros 1, 2, 3, 4,5, 6, 7, 8, 9, 11, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 26, 27-28, 29, 30, 31, 32, 33, 35, 36, 37, 38, 39-40, 41, 42, 43, 46, 48, 54, 55, 57, 59, 68, 71 et le numéro 100. - Quatre plaquettes d'annonce de parution de la revue non datée. - Un numéro spécial paru en novembre 1972 à l'occasion de l'exposition de Roger van de Wouwer à la galerie Aquarius. - Une plaquette non datée titrée Jacques Wergifosse. - Une plaquette non datée titrée Paul Colinet, Georgette Magritte, René Magritte, Jean Scutenaire. - Un carton d'invitation pour le Prix de la critique d'art. Février 1978. - Un carton menu d'invitation à une exposition à la galerie Florence à Bruxelles en 1978. Le Vocatif est le titre d'une revue fondée et animée à Bruxelles par Tom Gutt en 1972. Le Vocatif comptait 286 numéros en octobre 1993. L'adresse de son administration était celle de Gutt.Le Vocatif a publié des textes anciens et des fragments de correspondance inédits des écrivains de la première génération du surréalisme en Belgique, mais aussi des textes et des dessins (souvent de caractère nettement érotique) des écrivains et peintres de la deuxième génération, à laquelle Tom Gutt appartenait.Les numéros simples du Vocatif sont imprimés sur une feuille de 27,4 cm sur 21,4 cm pliée en quatre, au format d'une enveloppe ordinaire.Les numéros doubles sont composés de deux feuilles. Aucun numéro n'est paginé. Le numéro 100, de 48 pages, est agrafé.La périodicité de la revue a été assez régulière, la parution de plusieurs numéros pour un seul mois compensant largement, durant de nombreuses années, l'absence de publication pour quelques autres. Les textes des aînés des écrivains du surréalisme en Belgique publiés dans Le Vocatif sont répertoriés dans les ouvrages qui leur sont consacrés (sans que soient toujours précisés les numéros correspondants). Rares doivent être les collections intégrales de la revue. Établissant les bibliographies d'Irène Hamoir et de Louis Scutenaire à l'occasion du « legs Irène Scutenaire-Hamoir », dont Tom Gutt est l'exécuteur testamentaire, aux Musées royaux des beaux-arts de Belgique, Virginie Devillez et Micheline Colin reconnaissent ainsi qu'elles n'ont pu « consulter une collection complète du Vocatif ».