Librairie Dauphinoise - Librairie Savoyarde 23 x 30 Grenoble - Moutiers 1903 Fort in-4, reliure demi-basane fauve de l'époque pastichant une reliure ancienne, dos à cinq nerfs, compartiments encadrés d'un double filets doré et orné de fleurons dorés, plats et gardes marbrés, tranche supérieure marbrée, XXVIII - XXIX - 548 pp., sur papier fort. Edition originale. Couverture conservée, frontispice, planches hors texte. Textes et musiques, illustrations dans le texte. Tiré à 1350 exemplaires numérotés, celui-ci portant le n° 895. Sommaire: 1. Chansons historiques; 2 et 3. Chansons traditionnelles; 4. Chansons d'amour; 5. Chansons relatives au mariage; 6. Chansons des bergers; 7. Chansons de conscrits et de soldats; 8. Chants des fêtes de l'année; 9. Chansons de travail; 10. Berceuses; 11. Les danses. L'ouvrage reste une référence importante pour l'histoire des musiques populaires et témoigne de l'engouement de l'époque pour l'ethnographie régionale. Belle reliure en très bon état, rousseurs éparses. Très bon exemplaire, peu fréquent.
Paris, Delagrave, 1915, 1 volume, grand in-8, broché, VIII-152 p.. Gravure en frontispice, 8 planches hors texte, nombreuses illustrations in-texte (fac-similés de manuscrits, musiques gravées, documents, gravures), bibliographie en fin de volume.
Très bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
TIERSOT (Julien) musicologue, ethnomusicologue et compositeur français (1857-1936)
Reference : 115C24
Contrat signé avec l’éditeur de musique Eugène Fromont pour la cession de plusieurs œuvres en particulier pour « Le jeu de Robin et Marion opéra Comique en 1 acte d’Adam de la Halle, adaptation littéraire de Emile Blémont, adaptation musicale de Julien Tiersot. »
TIERSOT (Julien) musicologue, ethnomusicologue et compositeur français (1857-1936)
Reference : 116C24
Il le remercie pour l’envoi des partitions de « Robin et Marion ». En revanche, sa surprise est grande considérant le prix indiqué sur la couverture. « Cinq francs, prix net, pour une partition qui n’a même pas 30 pages (puisqu’elle s’arrête à la 29ème), c’est évidemment trop cher, et je crains que la vente s’en ressente. Mais il y a une autre raison qui m’avait fait m’étonner de ce prix. Vous m’aviez proposé, comme droits d’auteur, 30 centimes par exemplaire vendu. J’en avais conclu que votre intention était de fixer le prix à 3 francs, ce qui eut été plus raisonnable – les droits d’auteur étant habituellement en librairie de 10 % […] Je viens d’en avoir la preuve en traitant avec Calmann-Lévy… ». Il informe Fromont qu’il ne peut accepter des droits d’auteur aussi inférieur « à tous les usages… »