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Lettre autographe signée à la cantatrice Madeleine Greslé
Théophile Briant (1891-1956), poète. L.A.S. + Quatrain A.S., Paramé [Saint-Malo], 15 mars 1947, 1p in-12. Sur une carte postale avec un goéland. A la cantatrice Madeleine Greslé. Il est content d'avoir de ses nouvelles et n'a pas oublié leur « petite controverse sur la mer de Debussy. J'étais loin d'ailleurs de partager l'opinion de mon collaborateur, je considère Debussy comme un des "phares" (selon l'évangile baudelairien) de la musique européenne. Il la remercie aussi pour le renouvellement de son abonnement et celui de Marguerite Victor-Hugo (la petite fille de l'écrivain). Il parle de sa lecture des Travailleurs de la mer : « je relisais récemment le finale des travailleurs de la mer de Hugo, à partir de la tempête & j'étais ému jusqu'aux larmes. Cela fait penser alternativement à Beethoven & Wagner ». Au dos, un petit quatrain sur le goéland. Notons que ces deux renouvellements d'abonnement arrivent à la nouvelle reprise du journal Le Goéland de Briant, interrompu avec la guerre. [345]
Lettre autographe signée à la cantatrice Madeleine Greslé
Théophile Briant (1891-1956), poète. L.A.S., Paramé [Saint-Malo], 15 mai 1948, 1p in-12. Sur une carte postale avec un goéland. A la cantatrice Madeleine Greslé. Il la réabonne gratuitement à son journal Le Goéland et lui signale une émission pour le centenaire de la naissance de Paul Gauguin, avec 1h30 de musique et présentation de Briant. Il a d'ailleurs participé à l'opéra Gauguin ou le peintre maudit qui sera radiodiffusé le 25 juin 1948. [345]
Lettre autographe signée à la cantatrice Madeleine Greslé
Théophile Briant (1891-1956), poète. L.A.S., 19 mars 1943, 1p in-12. Cachet de son journal Le Goéland. A la cantatrice Madeleine Greslé, à Paris. Il la remercie pour son renouvellement à son journal. Il souhaiterait la rencontrer « mais plus que jamais mon goéland m'attache au rivage. ». Cette lettre est intéressante car son journal, fondé en 1936, avait été suspendu entre 1939 et 1942 puis entre 1944 et 1946. Sa correspondante a donc renouvelé au moment de la reprise provisoire du journal. [345]
