Théodore Barrière (1823-1877), écrivain, vaudevilliste. L.A.S., sd, 1p in-8. A M. d'Artois (a priori Achille). Artois n'a pas fini, Barrière non plus. Pourtant, il a une commande pressée à terminer, « quelque-chose de drôle ». [168b]
Théodore Barrière (1823-1877), écrivain, L.A.S., sd, 1pœ in-8 (27 lignes). Belle lettre : « Mon vieux Scholl, Déjeunes-tu quelquefois ? Si oui, dis-moi donc ton heure pour un de ces jours afin que nous puissions causer un peu longuement les coudes sur la table ». Le théâtre du Vaudeville demande à Barrière trois actes pour février, mais il ne pourra pas. Il demande donc à Scholl trois actes qui auraient « du Chien dans le ventre » et précise « tu sais ? un succès carré au Vaudeville c'est cinquante mille francs d'abord comme entrée de jeu. Ça vaut la peine ». Il mentionne aussi un lancement. Celui d'un nouveau journal de Scholl ? Beau document. [111]
Théodore Barrière (1823-1877), écrivain. L.A.S., sd, 1p in-8. Invitation à déjeuner. [294]
Théodore Barrière (1823-1877), écrivain. L.A.S., sd, 1p. Invitation pour un dîner.
Théodore Barrière (1823-1877), écrivain, L.A.S., sd, 1p in-8 (25 lignes). Il demande à Scholl s'il peut trouver une place à 1200 livres pour son oncle qui n'a que 3000 de retraite. Il fait l'éloge de son oncle. « Vois donc si dans le Club ou dans le journal qui viendra après ». Ecrit dans l'autre sens, il a ajouté « Bonne chance, bonne chance Th B ». [111]
Théodore Barrière (1823-1877), écrivain, L.A.S., sd, 2p in-8 (35 lignes). Amusante lettre « des idiots m'ont à ce qu'il paraît voulu rendre responsable de l'article du camarade Luo. Les potins [.] ce sont les femmes du reste ». Il déplore aussi que le rédacteur de Scholl ait menti sur Perrot « pour le plaisir de taper sur un mort ». Il compte sur « [son] bon cour et [son] charmant esprit pour guérir un peu la blessure faite à la vieille mère de l'auteur de la vie de garnison ». Il s'agit peut-être d'Edouard Perrot (1809-1873). [111]
Théodore Barrière (1823-1877), écrivain, B.A.S., sd [Jeudi], 1p in-12 (12 lignes). Il ne peut déjeuner le lendemain avec Scholl et lui propose le samedi chez Siguon. Il est absent samedi matin. [111]
Théodore Barrière (1823-1877), écrivain, L.A.S., sd [Mercredi], 1p in-12 (12 lignes). Il recommande l'actrice Céline Renaud pour la pièce de Scholl, si jamais Georgette Olivier « ne jouait pas le rôle ». Emile Abraham dit de Renaud : « mignonne, gracieuse, intelligente et passionnée pour son art ; elle ne peut manquer d'être bientôt une des meilleures ingénues du Gymnase ou du Vaudeville ». Georgette Olivier, ingénue et brune, aimait se travestir. Lors d'un réveillon, elle se déguisa en prince Yermontoff. [111]
Théodore BARRIERE - [Paris 1823 - Paris 1877] - Ecrivain français
Reference : GF29802
1 page in8 - bon état -
"Lundi et mardi, impossible" donc à mercredi s'il veut -
Théodore BARRIERE - [Paris 1823 - Paris 1877] - Ecrivain français
Reference : GF29803
1 page in8 - bon état -
On ne le voit plus - "Il parait que tu pioches" - Lors de la correction des épreuves, il demande de mettre "dans les désignations d'emploi" pour Jacques d'Albert (?) "1er rôle jeune" au lieu de "jeune premier rôle"
Théodore BARRIERE - [Paris 1823 - Paris 1877] - Ecrivain français
Reference : GF29801
1 page in8 -
Il a une affaire qui le prendra une partie de la semaine et demande de reporter un rendez vous -