Les belles lettres 1950 In8 - broché - 104 pages - bilingue latin/français -
Satisfaisant
Paris Amiot Dumont 1957 14x19 221 pages - broché - papier jauni - bon etat general
Bon
Paris Presses De La cité 1957 In8 307 pages - cartonnage editeur avec jaquette - illustrations hors texte - etat correct
Satisfaisant Jaquette en état satisfaisant
Paris Les Belles Lettres 1966 In8 188 pages - broché - non coupé - bilingue français : latin - Annotations sur la 2eme partie
Bon
TERENCE [Publius Terentius Afer]. [Madame DACIER, traductrice]. Bernard PICARD (illustrateur).
Reference : AMO-4516
(1747)
A Amsterdam et à Leipzig, chez Arkstée et Merkus, 1747 3 volumes in-12 (17 x 10,5 cm) de LX-495, (4)-459-(1) et (4)-403-(1) pages. Frontispice au tome I dessiné et gravé par Bernard Picard. Vignettes à l'eau-forte (différentes) sur les pages de titre imprimées en rouge et noir. 48 figures hors-texte (dont 2 dépliantes) dont un portrait de l'auteur, des scènes des pièces de théâtre ainsi que des séries de masques de théâtre à l'antique, gravées au trait par Bernard Picard. Nombreux culs-de-lampe et bandeaux gravés sur bois ou à l'eau-forte. Edition bilingue latin-français (la page en latin est à gauche), les remarques très nombreuses sont sur chaque page. Reliure strictement de l'époque plein maroquin rouge vermillon, dos à nerfs orné aux petits fers dorés, pièces de titre et tomaison de maroquin vert, tranches dorées, triple-filet doré en encadrement des plats avec fleuron dans les angles, filet doré sur les coupes, roulette dorée en encadrement intérieur des plats. Exemplaire proche du neuf tel que sorti de l'atelier du relieur au milieu du XVIIIe siècle. Une très petite tache sombre au dos du premier volume et une coupure du cuir au second plat du deuxième volume sont à signaler (très peu visible). Intérieur très frais. Comme toujours pour cette édition certains feuillets sont plus jaunis ou légèrement roussis, sans jamais que cela ne soit important. Toutes les gravures sont d'un superbe tirage et sur beau papier resté bien blanc.
Nouvelle édition et édition définitive donnée par Madame Dacier, qui fait suite aux éditions de 1717 (première édition de cette traduction, 1724, 1747, etc. Madame Dacier fit paraître une première édition des Comédies de Térence en 1688. Cette traduction de Madame Dacier eut un très grand succès dans toute la première moitié du XVIIIe siècle. L'illustration due au talent de Bernard Picard est parfaitement dans le ton du théâtre antique de Terence. Le jeu des acteurs ainsi que les séries de masques illustrent avec brio les différentes pièces. "Avant que de finir cette Préface, je rendrai compte ici d’une chose qui me paraît ne devoir pas être oubliée. Pendant que je travaillais à cet Ouvrage, M. THEVENOT, dont le mérite est si connu de tout le monde, & qui a su joindre toutes les qualités de l’honnête homme [xxxviii] à celles de l’homme d’esprit, m’exhortait à voir les Manuscrits de la Bibliothèque du Roi, où il me disait que je pourrais trouver des choses que je ne serais pas fâchée de voir. J’avois beaucoup de répugnance à en venir là ; il me semblait que les Manuscrits étaient si fort au dessus d’une personne de mon sexe, que c’était usurper les droits des Savants que d’avoir seulement la pensée de les consulter. Mais ma Traduction étant achevée d’imprimer, et M. THEVENOT m’ayant dit que les Manuscrits dont il m’avait parlé méritaient d’être vus, à cause des figures qui y sont, la curiosité m’a portée enfin à les voir avant que de donner ma Préface. Ils m’ont été communiquez depuis quelques jours, et j’y ai trouvé des choses dont je suis charmée, et qui prouvent admirablement les changements les plus considérables que j’ai fait au texte pour la division des Actes, qui est ce qu’il y a de plus important. Pour le plaisir du Lecteur de mettre par [xxxix] ordre ce que j’y ai trouvé de plus remarquable. Entre ces Manuscrits il y en a deux qui bien que fort anciens (car le plus moderne paraît avoir plus de huit ou neuf cent ans) ne sont pas si précieux par leur antiquité que par les parques qu’ils portent, qui font connaître qu’ils ont été faits sur des Manuscrits fort anciens, et d’une très-bonne main. Les figures qui sont au commencement de chaque Scène ne sont pas fort délicatement dessinées ; mais leur geste & leur attitude répondent parfaitement aux passions & aux mouvements que le Poète a voulu donner à ses personnages ; et je ne doute pas que du temps de TERENCE les Comédiens ne fissent les mêmes gestes qui sont représentés par ces figures. Il n’y avait point d’Acteur qui n’eût un masque : c’est pourquoi à la tête de chaque Comédie il y a une Planche où l’on voit autant de masques qu’il y a d’Acteurs ; mais [xl] ces masques n’étaient pas faits comme les nôtres qui couvrent seulement le visage, c’était une tête entière qui enfermait toute la tête de l’Acteur. On n’a qu’à se représenter un casque dont le devant aurait la figure du visage, & qui serait coiffé d’une perruque ; car il n’y avait point de masque sans cheveux. J’ai fait graver toutes les figures de ce Manuscrit et les Planches de ces masques, dont les figures servent à faire entendre cette fable de PHEDRE : Personam tragicam forte Vulpes viderat. O quant species ! inquit, cerebrum non habet. Un Renard voyant un jour un masque de Théâtre, ô la belle tête, dit-il, mais elle n’a point de cervelle. La troisième remarque que je fais sur les figures, c’est que le manteau des Esclaves était aussi court que [xli] celui de nos Comédiens Italiens ; mais il était beaucoup plus large. Ces Acteurs le mettaient d’ordinaire en écharpe, et ils le portaient le plus souvent autour du cou, ou sur une épaule ; et quelquefois ils s’en servaient comme d’une ceinture. La quatrième remarque, c’est que les portes qui donnaient dans la rue avoient presque toutes les portières qui les couvraient par dedans ; et comme apparemment on n’avait pas alors l’usage des tringles et des anneaux, ceux qui sortaient, et qui se tenant devant la porte voulaient voir cependant ce qui se passait devant la maison, nouaient la portière comme on noue les rideaux d’un lit. C’est ce que je trouve de plus remarquable dans ces figures. Voyons si en parcourant les pièces l’une après l’autre, on ne trouvera rien qui mérite d’être remarqué." (extrait de la préface de Madame Dacier). Térence (en latin : Publius Terentius Afer), né à Carthage aux alentours de 190 av. J.-C. et mort à Rome en 159 av. J.-C., est un poète comique latin, vraisemblablement d'origine berbère. Auteur de seulement six pièces qui nous sont toutes parvenues, il est considéré, avec Plaute, comme un des deux grands maîtres du genre à Rome, et son œuvre a exercé une influence profonde sur le théâtre européen, de l'Antiquité jusqu'aux temps modernes. Ses pièces s'intitulent : L'Andrienne, L’Hécyre, L’Heautontimoroumenos, L'Eunuque (Jean de La Fontaine adorait cette pièce, qu'il adapta en 1655.), Le Phormion (cette pièce inspira en grande partie à Molière ses Fourberies de Scapin.), Les Adelphes (cette pièce inspira à Molière son École des maris.). « Je compare [Térence] à quelques-unes de ces précieuses statues qui nous restent des Grecs, une Vénus de Médicis, un Antinoüs. Elles ont peu de passions, peu de caractère, presque point de mouvement ; mais on y remarque tant de pureté, tant d’élégance et de vérité, qu’on n’est jamais las de les considérer. Ce sont des beautés si déliées, si secrètes, qu'on ne les saisit toutes qu'avec le temps ; c'est moins la chose, que l'impression et le sentiment qu'on en remporte : il faut y revenir, et l'on y revient sans cesse. » (Denis Diderot, Mélanges de littérature et de philosophie, édition de Jacques-André Naigeon, vol. IX. Paris, 1798). Anne Dacier, est née Le Fèvre à Grandchamp, au sud de Langres, en 1645 (mois et jour inconnus), et a été baptisée à Is-sur-Tille, le 24 décembre 1645. Elle est morte le 17 août 1720, au Louvre à Paris. C'est une philologue et traductrice française très réputée en son temps. Après sa mort, Voltaire l'a présentée comme « l’un des prodiges du siècle de Louis XIV » et a affirmé : « Ses traductions de Térence et d’Homère lui font un honneur immortel ». Saint-Simon l'a jugé supérieure à son époux et a loué sa modestie. Provenance : de la bibliothèque d'Alfred Dailly avec son ex libris gravé (Stern, Paris), passé ensuite dans la bibliothèque Frochot (son parent). Lire à propos d'Alfred Dailly notre article sur le Bibliomane moderne : Alfred Dailly (1818-1888), bourgeois distingué, laborieux et bienfaisant, bibliophile à ses heures. "Né à Paris, en 1818 (*), Alfred Dailly entrait au Conseil d'Etat, le 10 mars 1839, en qualité d'auditeur de 2e classe. En 1843, il était nommé chef de cabinet de M. Passy, sous-secrétaire d'Etat à l'intérieur. Cette situation lui permit de rendre d'importants services lors de la cruelle disette qui affligea le pays en 1846. Il fut à cette occasion nommé chevalier de la Légion d'Honneur. Durant cette même année 1846, il quitta le Conseil d'Etat où il avait été promu à la première classe de l'auditorat, pour occuper les fonctions d'administrateur des chemins de fer de l'Ouest. En cette qualité et comme fondateur du chemin de fer de Dieppe, il contribua énergiquement à créer et à rendre populaire en France l'industrie encore nouvelle qui, en quelques années, devait si complètement transformer le monde. Quinze ans plus tard, en 1862, le roi Victor-Emmanuel lui donnait un témoignage personnel d'estime pour la part qu'il venait de prendre à la création de la ligne reliant la France à l'Italie par le Mont-Cenis. Pendant la Commune, en 1871, M. Dailly fit jusqu'à la fin son service d'administrateur à la Compagnie de l'Ouest, se rendant chaque jour aux bureaux de la gare Saint-Lazare qu'occupaient les fédérés et menacé plusieurs fois par eux d'être emprisonné comme otage. Revenu à Saint-Cloud après la guerre, il y exerçait les pénibles fonctions d'administrateur de l'hospice civil, lorsque la mort est venue, non le surprendre, mais apporter un terme aux souffrances d'une impitoyable maladie." (extrait). Splendide ensemble pour bibliophile exigeant à la recherche d'exemplaires parfaitement conservés.
Phone number : 06 79 90 96 36
Jacobi Tonson & Johannis Watts MDCCXIII (1713)
Un volume in-16°, reliure velin ivoire avec le mot TERENTIUS écrit à la main sur le dos lisse. L’ouvrage débute sur un beau frontispice gravé par Louis Du GUERNIER (une scène de théâtre avec trois personnages, un décor un public en contrebas, soit debout soit assis).On trouvera ensuite 276 pages + un long INDEX de 154 pages (non numérotées). Après la page de titre, on trouvera le PRIVILEGE royal (en anglais) , suivi d’une DEDICACIO datée de 1713 adressée à Joseph ADDISON qui fut à la fois un homme d’état et un poète dramaturge anglais. Dans ce texte, écrit par Michael MATTAIRE on trouve entre autre une comparaison entre PLAUTE et TERENCE . Il faut signaler que ce Michael MATTAIRE , qui était un érudit bibliologue renommé, particulièrement compétent en matière de littérature gréco latine, a très certainement corrigé et annoté cette édition, dont il est sans doute aussi l’auteur du long INDEX, index particulièrement intéressant pour toute personne voulant étudier le théâtre de TERENCE dans sa langue originale. Vient ensuite une sorte d’ADRESSE au Lecteur écrite par TERENCE suivie d’une brève biographie de sa vie (sans doute rédigée elle aussi par Michaël MATTAIRE) et ponctuée par une jolie vignette (du reste, on trouvera dans cet exemplaire de nombreux bandeaux, vignettes et culs de lampe).Signalons que TERENCE (190-159 av J.C.), est considéré avec PLAUTE, comme le plus grand auteur comique latin. Il est réputé pour avoir affiné la comédie latine traditionnelle en la rendant plus psychologique, philosophique et littéraire que celle de PLAUTE.On trouve ici ses six grandes comédies, lesquelles nous ont été transmises intégralement: L’Andrienne, L’Hécyre, L’Héautontimoroumenos, L’Eunuque, le Phormion et Les Adelphes. Précisons que chez TERENCE, l’intrigue est grecque, les noms des personnages sont grecs, le lieu de l’action est grec pour la bonne raison que TERENCE s’est inspiré de MENANDRE, un grand auteur comique grec. Exemplaire en TRES BON ETAT.
1700 Les Comédies de Térence traduites en françois par Madame Dacier. Avec des remarques. Troisième édition revue, corrigée, & enrichie de figures à chaque comédie. Tome premier. Suivant la copie de Paris. A Amsterdam, chez Georges Gallet, 1700. In-12° de [82]+492 pages; un frontispice, une vignette au titre, et une figure (sur deux) à pleine page, tous anonymes. Contient lAndrienne et lEunuque en latin et en français .Les Comédies de Térence, avec la traduction et les remarques de Madame Dacier. Tome second. A Rotterdam, aux dépens de Gaspar Fritsch, 1717. In-12° de [2]+485+[1bl] pages; une vignette au titre et 18 figures dessinées et gravées par Bernard Picart, dans le goût des bas-reliefs antiques présentant des scènes de comédie. Contient lHeautontimorumenos et les Adelphes.Les Comédies de Térence, avec le texte latin, traduites en françois, par Madame D[acier]. Avec des remarques. Dernière édition revue, corrigée, et enrichie de figures à chaque comédie. Tome III. Suivant la copie de Paris. A Amsterdam, chez Jacques Ollier, 1691. In-12° de 432 pages; une vignette au titre et deux figures dessinées et gravées par Johannes van den Aveele. Contient le Phormion et lHécyre.Reliures uniformes en plein veau brun, dos lisse très orné, roulettes dorées sur les coupes, tranches rouges (reliures du début du XIXe siècle). Ex-libris héraldique gravé sur les premiers contreplats: «Clonbrock»(XIXe siècle). Le baron Clonbrock, de Clonbrock dans le comté de Galway, était un titre dans la pairie dIrlande. Il avait été créé pour Robert Dillon(1754 1795), dont on trouve ici la signature en pages de titre du volume I: «R. Dillon, October 24th 1769»,et du volume III «R. Dillon, Clonbrock, 1774». Ex-libris moderne sur les gardes: André Gutzwiller (1922 2014), banquier et bibliophile bâlois.
Exemplaire composite mais charmant et très bien conservé du fameux Térence traduit et annoté par Anne Lefèvre, épouse Dacier (1645 1720), dont la première parution remonte à 1688.
TERENCE (Térence en latin Publius Terentius) - FARNABII Thomae (Thomas Farnaby)
Reference : 15951
(1668)
Cum Annotationibus Thomae Farnabii, in quatuor Priores.Amstelodami, apud Iohannem Ianssonium à Waesberge, et Viduam Elizei Weyerstraet, 1668 - 23 ff et 284 pages avec une gravure du portrait de Terence.Reliure plein-veau de l'époque. Dos lisse orné et doré avec pièce de titre maroquin rouge. Légèrement frotté. Pas de rousseur. Bon état. Format in-16°(13x7).Térence (en latin Publius Terentius Afer), né à Carthage aux alentours de 190 et mort en 159 av. J.-C., est un poète comique latin, peut-être d'origine berbère. Auteur de seulement six pièces qui nous sont toutes parvenues, il est considéré, avec Plaute, comme un des deux grands maîtres du genre à Rome, et son oeuvre a exercé une influence profonde sur le théâtre européen, de l'Antiquité jusqu'aux Temps Modernes.
Paris Le Loup & Mérigot 1753
Deux volumes in-12 (179 x 109 mm), demi-maroquin rouge, coins, dos à cinq nerfs orné, tête dorée, non rogné (reliure milieu XIXe siècle). Illustrations de GRAVELOT, dont le portrait de Terence en médaillon sur chaque titre, 7 figures hors texte dont une en frontispice, 37 vignettes et 28 culs-de-lampe, gravés par Delafosse, J.P. Lebas et D. Sornique. Exemplaire sur Hollande, avec les figures avant la lettre. De la collection des classiques Barbou. (Cohen 982). (quelques menus frottements, rousseurs). // Two 12o volumes (179 x 109 mm), red three-quarter morocco, spine tooled raised on five bands, top edge gilt, uncut (middle of 19th-cent. binding). Illustrations by GRAVELOT, including the vignette portrait of Terence on both title pages, 7 plates (one in frontispiece), 37 vignettes and 28 culs-de-lampe, engraved by Delafosse, J.P. Lebas and D. Sornique. Copy on Holland paper, with the engravings before lettering. From collection "classiques Barbou". (Cohen 982). (some minor rubbings, brownings).
Les comédies de Terence. Traduction nouvelle, avec le texte latin à côté et des notes par M. l'Abbé Le Monnier.A Paris, chez Ch. Ant. Jombert, 1771. 3 forts volumes in-8°, 23,5 x 16 cm., XXIV-591, 512, 485 pages, superbe reliure plein maroquin signée Jacquemart, gardes doublées, tête dorée, à toutes marges, intérieur frais.Très bel exemplaire & la plus estimée des traductions des Comédies de Térence, illustrée d'un frontispice et de 6 belles figures de Cochin, gravées par Choffard, Prévoste, Rousseau et Saint-Aubin. Notre exemplaire estenrichi d'unFrontispice gravé et de 47 planches hors-texte d'après B. Picart provenant d'un exemplaire de 1717 dont certaines dépliantes.Très bel exemplaire
( Cinéma - Revue Midi-Minuit Fantastique ) - Terence Fisher - Jean Boullet - Collectif.
Reference : 16511
Editions Le Terrain Vague / Revue Midi-Minuit Fantastique n° 1, spécial Terence Fisher de 1962. In-8 broché de 66 pages au format 22,5 x 14,7 cm. Couverture photo. Dos carré, blanc, avec numéro au bas. Plats et intérieur frais. Contient des textes de Jean Boullet, Michel Caen, Alain le Bris, etc, consacrés à Terence Fischer avec filmographie. Importante iconographie ( photos des films, dessins,etc ). Etat superbe. Rare édition originale, bien complète du prière d'insérer, dépliant, de 4 pages.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
A Amsterdam & à Leipzig Chez Arkstée & Merkus 1767 in 12 (17x10,5) 1 volume reliure demi maroquin rouge à longs grains de l'époque, dos lisse orné de filets dorés, pièces de titre de cuir marron, tranches teintées rouge, frontispice gravé, page de titre imprimée en rouge et noir, LXII et 495 pages, avec des planches hors-texte gravées au trait. Nouvelle édition illustrée, corrigée d'un nombre considérable de fautes, & enrichie des differentes leçons de Bentlei, de Donat, de Faern & d'autres. Edition bilingue, texte en latin avec la traduction française et les remarques de madame Dacier en regard. Tome 1 seul ( La vie de Térence - L'Andriene - L'Eunuque ). Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Reliure
Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade", 1980. In-12 relié (17,5 x 11 cm), reliure éditeur plein cuir vert, dos lisse orné de filets dorés sous jaquette blanche imprimée, rhodoïd et étui gris de l'éditeur, 1520 pages. - Édition et trad. du latin par Pierre Grimal. Ce volume contient : Plaute : Amphitryon - La Comédie des ânes - La Comédie de la marmite - Les Bacchis - Les Prisonniers - Casina ou les tireurs de sort - La Comédie de la corbeille - Charençon - Épidicus - Les Ménechmes - Le Marchand - Le Soldat fanfaron - La Comédie du fantôme - Le Perse - Le Carthaginois - L'Imposteur - Le Cordage - Stichus - Les Trois écus - Le Brutal. Térence : La Jeune fille d'Andros - L'Eunuque - Le Bourreau de soi-même - Phormion - La Belle-mère - Les Frères. Très bon état.
Cercle du Nouveau Livre d'Histoire, 1966, gr. in-8°, 311 pp, traduit de l'anglais, 8 pl. de photos hors texte, reliure toile havane de l'éditeur avec vignette illustrée au 1er plat, bon état
"C'est à un vaste public que s'adresse cet essai qui constitue de grandes recherches. Avec une sûreté de méthode impressionnante, l'auteur montre où étaient et comment travaillaient les vrais Allemands, adversaires d'Hitler. C'est, pour beaucoup, un courage à toute épreuve ; c'est aussi le drame impitoyable de la solitude ou du camp de concentration. Terence Prittie, serrant les choses de très près, distingue avec clarté ceux qui furent les martyrs et les grands caractères de la dernière guerre dans cette lutte dangereuse, inégale et impitoyable. En lisant les souffrances endurées par le pasteur Schneider et par le père Bernhard Lichtenberg, en voyant les détails du travail de Stauffenberg, le lecteur pourra rendre hommage aux chrétiens, adversaires du régime hitlérien ainsi qu'aux vrais soldats face aux effrayants échecs subis. Les témoignages qu'apporte Terence Prittie donnent à ce livre un caractère d'incontestable vérité !" (Nouvelliste du Rhône, 1966) — "On n'a écrit que peu de choses sur l'opposition à Hitler avant le 20 juillet, presque rien sur la résistance communiste et social-démocrate de 1933 à 1939, non plus que sur l'opposition antifasciste pendant la guerre. Si bien que, somme toute, on aura une vue plus juste de la résistance allemande en consultant l'ouvrage récent de Terence Prittie : Des Allemands contre Hitler." (Gilbert Badia, Annales ESC, 1967)
Halle, 1720. 8vo. In contemporary full calf with three raised bands and gilt lettering and ornamentation to spine. Small paper-label pasted on to top of spine. Wear to extremities, most of gilting on spine worn off and scratches to boards. Internally nice and clean. (2), 1241 pp.
Rare later edition of Anne Le Fèvre Dacier’s translation Terence’s Commedies first published in 1683. The present edition was published the same year Dacier died and was edited by Martin Deschner.His plays were heavily used to learn to speak and write in Latin during the Middle Ages and Renaissance Period, and in some instances were imitated by Shakespeare.""Anne Le Fèvre Dacier, French philologist and translator. Born Saumur 1654, died Paris 17. 8. 1720. Daughter of the Humanist Tanneguy Le Fevre the Elder ( 161 5- 1672.), who encouraged her talents from a young age. cer les humanites grecques et latines (1672). Working from material or earlier editions by her father, Anne, under the name 'Anna Tanaquili Fabri filia', at first exclusively made editions of his favourite authors: Florus (1674), Callimachus (1675), Diccys Cretensis and Dares Phrygius ( 1680), Aurelius Victor (1681) and Eutropius (1683), Because of the support lent by Pierre Daniel -+ Huet and Paul Pellisson, both friends of her father, these editions appeared with the sign in usum Delphini, i.e. 'for the use of the Dauphin' (the heir to the French throne). The most important work of this period was her complete translation of Terence, which would determine reception of his oeuvre in France for the next century."" (Kuhlmann, Brill's History of Classical Scholarship New Pauly A Biographical Dictionary, p. 137).
Paris, veuve de Claude Thiboust et Pierre Esclassan, 1677. 1 vol. in-12, veau brun, dos à nerfs orné de caissons dorés, roulette dorée sur les coupes, tranches jaspées de rouge. Reliure de l'époque, coiffes absentes, mors sup. fendillé. Ex-libris ms. sur le titre de D. de Romagny. Portrait hors-texte en frontispice gravé en taille-douce, (8) ff., 380 pp.
Nouvelle édition (la huitième) de la traduction en prose de trois comédies de Térence (L'Adrienne, Les Adelphes et le Phormion) par Le Maistre de Sacy à l'usage des petites écoles de Port-Royal. Elle avait été imprimée pour la première fois en 1647. L'abbé Algay de Martignat donna en 1670 la traduction des trois autres comédies. Cette traduction accompagnée du texte latin, expurgée des obscénités de Térence, servit longtemps de modèle pour l'établissement des traductions.
Phone number : 02 47 97 01 40
Paris, Chez Janet et Cotelle, Libraires, impr. Jules Didot aîné, Imprimeur du Roi, à Paris 1825 6 volumes. In-18 14,5 x 9 cm. Reliures de l’époque pleine basane verte, dos lisses ornés de doubles cadres et de filets dorés, plats encadrés d’un filet doré, premiers plats ornés au centre du fer de l’Institution Hallays-Dabot et Galleron, 260-266-256-233-185-284 pp. Dos passés, légers frottis, intérieur frais.
Vol. I : L'Andrienne - Vol. II : L'Eunuque - Vol. III : L'Héautontimorumenos - Vol. IV : Les Adelphes - Vol. V : L'Hécyre - Vol. VI : Le Phormion. L'institution Hallays-Dabot était une institution d'enseignement secondaire très renommée fondée en 1790 à Paris, place de l'Estrapade, par M. Dabot, maître de pension, puis dirigée par son beau-fils Pierre-Victor Hallays (1782-1867). Bon état d’occasion
Paris, J.-J. Dubochet 1844 In-4 27 x 17 cm. reliure demi-basane vert-olive, dos à nerfs orné roulettes et de filets dorés, XX-545-166-211 pp., texte à 2 colonnes, notes sur les auteurs. Reliure légèrement Frottée.
Texte en français et en latin. Collection de tout ce qui est resté du théâtre latin, avec la traduction en français, publiés sous la direction de M. Nisard. - La traduction de Térence est due à Alfred Magin. - Collection Nisard. - La traduction de Plaute est l'oeuvre d'Andrieux et de A. François. Bon état d’occasion
TERENCE. Traduction et commentaire par Bruno Bureau et Christian Nicolas. Texte latin établi par J. Marouzeau.
Reference : 19163
<p>L'Eunuque de Térence est dans l’Antiquité la pièce la plus aimée de son auteur et sans doute l’un des plus grands succès de l’histoire du théâtre latin, avant de devenir un classique de la littérature scolaire dans l’Antiquité tardive et d’être imitée dans une version chrétienne et largement édulcorée au Moyen ge. Typique de l’alliance entre la comédie d’intrigue et la comédie d’action, elle offre une alternance constante de scènes à l’humour débridé et de moments plus « sérieux où se dévoilent sous le masque comique des enjeux sociaux et psychologiques particulièrement fins. Le théâtre de Térence demande pour être pleinement compris une attention aux fils dramaturgiques complexes qui tissent les rapports entre les personnages, aux effets induits par des jeux littéraires et intertextuels mais aussi et surtout au mécanisme du spectacle lui-même. L’ouvrage propose une traduction nouvelle et un accompagnement de lecture de l’Eunuque de Térence, centré sur la dramaturgie et la fonction du langage et des données spectaculaires dans la construction de l’intrigue comique. Bruno Bureau est Professeur de langue et littérature latines à l’Université Jean Moulin-Lyon 3, spécialiste de poésie dans l’Antiquité tardive. Christian Nicolas est Professeur de langue et littérature latines à l’Université Jean Moulin-Lyon 3, spécialiste de linguistique latine.</p> Paris, 2015 Belles Lettres 560 p., broché 13,5 x 21,5
Neuf
1879 Paris, Firmin-Didot et Cie, 1879 - Fort vol. pet. in-4, demi-basane racinée, dos à nerfs orné de motifs dorés, pièces de titre de maroquin à grain long rouge, rel. de l'époque, XX, 545, 166, 211 p., texte sur deux colonnes. Coiffes très légèrement frottées, sinon bel exemplaire. De la Collection des Auteurs latins, publiée sous la direction de M. Nisard.Édition bilingue: français - latin.
Théâtre complet des latins, comprenant Plaute, Térence et Sénèque le tragique. Avec la traduction en français
Lutetiae Parisiorum, Paris, Natalem le Loup / Jacobum Merigot, 1753, 2 volumes in-12 de 160x90 mm environ, xxx-254 et 364 p., plein veau marbré fauve, dos lisse portant titres dorés sur pièces bordeaux, orné de caissons à fleurons dorés, plats encadrés d'un triple filet doré sur les plats, avec petit fer à chaque angle, tranches et coupes dorées, gardes marbrées. Avec 7 gravures hors-texte. Illustrations de GRAVELOT, dont le portrait de Terence en médaillon sur chaque titre, culs-de-lampe et planches hors-texte de Cravelot, gr. par J.-P. Lebas, J.-C. Delafosse et D. Sornique Coins émoussés, petit manque de cuir sur le second plat du tome II, une mouillure claire dans la marge supérieure du tome I, une tache sur 2 feuillets dans la marge interne du tome II, intérieur propre pour le reste.
En latin.Térence (latin: Publius Terentius Afer), né à Carthage aux alentours de 190 et mort à Rome en 159 av. J.-C., est un poète comique latin, vraisemblablement d'origine berbère. Auteur de seulement six pièces qui nous sont toutes parvenues, il est considéré, avec Plaute, comme un des deux grands maîtres du genre à Rome, et son uvre a exercé une influence profonde sur le théâtre européen, de l'Antiquité jusqu'aux Temps Modernes. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
0 Affiche française d'époque, 1960 (77/56 cm environ). Réalisation : Terence Young. Avec Jane Mansfield, Leo Genn, Karlheinz Boehm, Danik Patisson. État moyen (pliée, renforcée au scotch au dos, petites déchirures).
Amsterdam, Johann Jansson, 1667. 1 vol. in-12, demi-parchemin. Reliure de l'époque, trous de vers au dos. Frontispice hors-texte gravé à l'eau-forte (daté de 1669), portrait en médaillon de Térence gravé sur bois au v° du titre, (24) ff., 279 pp., (6) pp., (1) p. blanche. Non rogné, avec témoins (hauteur : 144 mm).
Jolie édition que l'on peut joindre à la collection des Elzevier. Les comédies de Térence y sont imprimées dans la version établie par Heinsius avec les annotations de Farnabe et de Casaubon. Rare exemplaire à toutes marges, non rogné, avec témoins. Manque à Rahir et à Willems.
Phone number : 02 47 97 01 40
0 Paris, Catala frères ,s.d, Petit in-huit en feuilles ,150 planches, 16 pp de texte, sous chemise cartonnée à rubans,
manque la première planche,(150/151),bon état , reproduction des 151 dessins du manuscrit latin 7899 de la Bibliothèque Nationale.
0 Paris, Garnier frères libraires-éditeurs, sd, In-douze, 13 x18, 703 pp, Reliure en demi-chagrin rouge, sans annotations, tranche marbrée, très bon état,
Traduction nouvelle par Victor Bétolaud.