MAX ESCHIG. 1937. In-4. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos abîmé, Déchirures. 3 pages de partitions. Morceaux très faciles en grosses notes pour piano. Tampons sur le premier plat ainsi que sur la première page. Premier plat illustré en couleur par Würth. Déchirures sur les extrémités de l'ensemble des pages.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
M. E. 5417. Classification Dewey : 780.26-Partitions
MAX ESCHIG. 1937. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 3 pages de partitions. Premier plat illustré en couleur par Würth. Annotation sur le premier plat.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
M.E. 5423. Classification Dewey : 780.26-Partitions
MAX ESCHIG. 1937. In-4. En feuillets. Etat d'usage, Tâchée, Dos abîmé, Déchirures. 3 pages de partitions. Premier plat illustré en couleur monochrome par Würth. Petites déchirures aux extrémités des pages, sans conséquences sur la lecture.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
M.E.5422. Classification Dewey : 780.26-Partitions
Max ESCHIG. XXème. In-4. En feuillets. Bon état, Plats abîmés, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 3 pages. Gravure blanche sur bleu de Würth. Coin supérieur droit de la couverture manquant. Déchirures. Dernier plat collé sur une feuille.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
"M.E. 5416. Collection ""Je joue pour maman"" n°4. Partitions pour piano. Classification Dewey : 780.26-Partitions"
MAX ESCHIG. non daté. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Partition piano très facile en grosses notes de 2 pages. Tampon et légères traces de crayon à papier.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
M.E. 5421 Classification Dewey : 780.26-Partitions
MAX ESCHIG. 1934. In-4. Broché. Bon état, Couv. défraîchie, Agraffes rouillées, Intérieur frais. 12 pages de partitions. Premier plat illustré en couleur monochrome par Würth. Tampon sur la page de titre.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
M.E. 4103 Classification Dewey : 780.26-Partitions
Editions Max Eschig. 1934. In-4. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 15 pages. Illustré d'une gravure bleue et blanche en couverture. Nombreuses traces de crayon. Mouillures sur la couverture.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
M.E. 4102. Deuxième recueil : facile. Classification Dewey : 780.26-Partitions
La lettre fait référence à l’article demandé par le critique pour sa revue, texte qu’il lui adresse en lui précisant qu’il n’est pas opposé au changement du titre. Fort intéressant texte sur la musique contemporaine qu’il aborde avec conviction. Il considère que les moyens mis à la disposition du compositeur contemporain sont à la fois une source de renouvellement « fertile » mais semé d’embuches de tout ordre : « stylistique, esthétique, social et politique. En effet l’époque où le cerveau nous offre tant de possibilités et de découvertes, exige plus qu’aucune autre la réflexion, le filtrage, la discrimination entre les moyens et les objectifs à atteindre... On ne renverse ni n’invente jamais rien dans l’art, mais on découvre les potentialités nouvelles dans une continuité immuable quasi organique. La rupture avec cette continuité, qui est la tradition, le désir de "révolution" avec la dévaluation des valeurs acquises par la recherche volontaire de faire à tout prix, ce qui n’a pas encore été fait, n’est pas un phénomène esthétique mais psychique [...] Il n’existe pas d’avance des panacées couvrant toutes les recherches... Ainsi la découverte de l’écriture atonale ou sérielle avait été d’une importance primordiale pour l’évolution du langage musical contemporain. Aboutissement d’un chromatisme poussé à l’extrême, son apport n’a rien qui s’oppose à la tradition... La grande question, pour moi, reste avant tout celle de l’apport de la personne humaine à l’acte de la création ». Il craint que dans la musique électronique, l’artiste ne devienne esclave de la machine. « Il est très significatif que certaines œuvres-clefs ouvrent et ferment en même temps leur propre cercle et ne sont pas sujettes à prolongement fertile...Comme c’est le cas pour Pelléas, Wozzek, ou sur un autre plan, l’Opéra de quatre sous ». Il veut témoigner, en sa qualité d’ami de Schönberg et de Berg, que «rien ne leur était plus étranger qu’une attitude d’iconoclaste vis-à-vis des moyens d’expression musicale ». Il rappelle la phrase de Schönberg sur le langage sériel : « Mais est-ce qu’ils y mettent aussi de la musique ? ». Enfin, il pense que la musique n’a aucun rôle social. « Dans notre époque du réel et du concret, la musique... avec la poésie, reste encore le seul phénomène abstrait dont le but n’est pas totalement dirigé vers une application pratique. Sachons lui garder un caractère de superstructure sociale... ».