William Blake and Co. Edit. 1994, 240x160mm, 139pages, broché. Couverture rabats. Bel exemplaire.
Couverture rempliée.
1955, 225x140mm, 175pages, broché. Bon état.
New York, Simon and Chuster 1954, 200x170mm, editor's binding. First edition. Book in very good condition.
unpaginated, colour illustrations,
New York, Simon and Schuster 1950, 285x225mm, 76pages, editor's binding. Good condition.
illustrations in color,
Pacific Palisades 1976-1978, 23 pages A4.
Superbe ensemble complet des 17 lettres autographes signées d'Henry Miller et adressées à l'écrivain Béatrice Commengé, auteur notamment de Henry Miller, ange, clown, voyou et traductrice de nombreuses oeuvres d'Anaïs Nin. On joint une enveloppe autographe adressée par Henry Miller à Béatrice Commengé et une lettre autographe signée d'Anaïs Nin à Béatrice Commengé. En 1976, Béatrice Commengé, alors jeune étudiante en lettres, entreprend la rédaction d'une thèse consacrée à Anaïs Nin et Henry Miller. Depuis son village périgourdin, elle écrit à l'une et à l'autre. Nin, très souffrante, regrette de ne pouvoir l'aider. Miller, par contre, se laisse d'abord séduire par l'idée d'échanger avec une habitante de Domme, village dont il avait autrefois célébré la beauté dans Le Colosse de Maroussi. Très rapidement, impressionné par la perspicacité et le style de l'étudiante, il engage avec elle une correspondance qu'ils entretiendront jusqu'à ce que, deux ans avant sa mort, la vue d'Henry Miller se dégrade définitivement et l'empêche de lire et d'écrire. À cette époque, Miller, âgé de quatre-vingt-cinq ans, vit presque reclus à Pacific Palisades en Californie, rejetant l'American Way of Life et ses illusions, redoutant les trop fréquentes sollicitations. Mais le vieil écrivain est très vite charmé par le regard que porte Commengé sur son oeuvre : « You are a gem ! One of the very few ''fanas'' to understand me. Merci ! Merci mille fois ! », écrit-il dès la seconde lettre. Une véritable amitié épistolaire se noue alors entre le vieil écrivain et la jeune muse : « I think of you as some sort of terrestrial angel » ; « what a delight to get a letter from you » ; « Keep writing me, please ! » Dans des lettres passionnées rédigées dans tous les sens, où l'anglais se mêle au français, les mots sont soulignés, les parenthèses et les exclamations abondent et les post-scriptum sont ajoutés dans les marges, Miller se penche sur ses souvenirs et sur son oeuvre. Refusant une correspondance purement universitaire, « To be honest with you, I don't think either A.N. or I, who are naturally very truthful persons, really succeeded with truth as it is conventionally thought of. We are both confirmed ''fabulators''. » Miller recommande à la jeune femme ses nouvelles lectures et ses vieux amis, « [Lawrence] Durrell is the friend to talk to about me, [...] he knows me inside out » ; « [he] is wonderful when you get to know him. éblouissant même » ; « that great master of the french language - Joseph Delteil » ; « Delteil is almost a saint. But a lively one. » ; « Alf[red Perlès] is the clown, the buffoon, who made me laugh every day ». Puis il la félicite d'abandonner son projet didactique au profit d'un « imaginary book about me » et engage une correspondance bien plus intime. Il lui confie ainsi ses étonnements : « Did you read about the french prostitutes protesting and demonstrating in Paris against my receving [the legion of honor] ? They say I did not treat them well in my books. And I thougth I had ! ! ». Il partage ses gouts littéraires : « I prefer the Welsh. They are the last of the poets. » Il met également en garde la future traductrice d'Anaïs Nin, contre la dualité de son ancienne maîtresse : « She is or was a complete enigma, absolutely dual. [...] Actually, I suppose there is always this dichotomy between the person and the writer », lui confiant ses secrets : « she is slowly dyin (of cancer) she refuses to admit it. (This is entre nous !) » et révélant ses nouveaux amours : « I am in love with a very beautiful chinese actress [...]. I seem to go from one to another, never totally defeated, never wholly satisfied. But this is near ''eternal'' love as I've never been. » En effet, malgré son grand âge, l'auteur de Sexus n'a rien perdu de sa passion pour le beau sexe et celui de sa correspondante n'échappe pas à ce Don Juan : « On est curieux - êtes-vous belle etc., je crois que oui. En tout cas je vous prie de m'envoyer une photo, S.V.P. » Dès la première année de leur correspondance, c'est dans la langue de Molière - et de Sade - que Miller interroge sa « chère Béatrice » : « Est-ce que vous avez vu le film ''L'Empire de [sic] Sens'' qu'on montre en France, mais pas au Japon, ni ici en Amérique. Les Français prétendent qu'il est un film érotique, mais à mon avis c'est de la pornographie pure ! Il faut m'arrêter - j'attends quelqu'une pour le diner. Une belle ! », puis dans la lettre suivante : « If you have another photo do please send it to me. » Dans les dernières lettres pourtant, le ton s'assombrit avec la santé déclinante de l'écrivain et celle du 25 janvier 1978 est un superbe mais terrible témoignage d'un artiste devenu trop faible pour son art, portant un regard acerbe sur sa condition comme sur celle de l'humanité : « Some days, I bang out a few memorable lines or have great ideas (never realized) for future books » ; « c'est la grand foutaise, if that's the right word » ; « we are about to relive the last day's of Rome. There is no hope - only to rejoice in the end. It needs another order of mankind or replace Homo Sapiens. [...] I prefer the life and culture of the Pygmies... » Mais Henry Miller conserve toutefois son humour jusqu'à la dernière lettre qu'il achève abruptement, comme à son habitude, d'un sarcastique et phonétique : « Enof ! » Superbe ensemble complet d'une des ultimes correspondances d'Henry Miller, révélant l'affinité élective entre le vieil écrivain au crépuscule de sa vie et une jeune romancière naissante, à travers un échange plein de séduction sur les passions toujours ardentes de Miller : la littérature, les amis et les femmes. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Splendide recueil de fleurs et plantes délicatement coloriées à l'époque. London, Printed for the Author, John Rivington, 1755-1760.2 volumes in-folio de : I/ (3) ff., 100 pp. de texte, 150 planches à pleine page ; II/ (1) f., pp. 101 à 200, planches 151 à 300 dont 2 dépliantes, (2) ff. ; 3 premiers ff. du tome I restaurés et réemmargés sans manque, 5 pl. légèrement piquées, 8 brunies ou tachées, pte déchirure à 1 pl. dépliante sans manque. Un dessin à l'encre, non signé a été relié p. 30 du tome I. Demi-maroquin rouge à petits coins de vélin crème, dos à nerfs ornés, pièces de titre et de tomaison de maroquin olive, tranches dorées. Reliure moderne.410 x 252 mm.
Edition originale illustrée de 300 très belles planches hors texte gravées sur cuivre par Jefferys, Mynde, Miller..., dont 2 dépliantes, toutes finement coloriées à l'époque. Brunet, V, 1718 ; Nissen, 1378 ; Pritzel, 6241 ; Graesse, Trésor de livres rares, p. 525 ; Great Flower Books p. 121 ; Dunthorne 209 ; Henrey 1097 ; Hunt 566 ; Stafleu and Cowen TL2 6059.Splendide recueil de fleurs et plantes délicatement coloriées à l'époque. Philip Miller (1691-1771) fut l'un des grands admirateurs de Linné dont il adopta, à partir de 1768, les principes et la nomenclature. Le présent ouvrage fut commencé en 1755 et achevé seulement 5 ans plus tard.Miller succéda en 1722 à son père au poste de surintendant du jardin de la compagnie des apothicaires à Chelsea et, sous sa direction, ce riche établissement ne tarda pas à devenir le plus riche d’Europe pour les plantes étrangères.C'est par ses soins qu'un grand nombre de plantes exotiques ont été acclimatées avec succès en Angleterre ; et ses relations nombreuses et multipliées avec les plus célèbres botanistes, soit en Europe, soit dans les Indes, ont puissamment contribué à répandre les découvertes botaniques. Il se fit d'abord connaître par quelques mémoires insérés dans les Transactions philosophiques ; mais son Dictionnaire des jardiniers, publié en 1731, souvent réimprimé, mit le sceau à sa réputation. Linné disait que ce livre serait le dictionnaire des botanistes, plutôt que celui des jardiniers. L'auteur eut le bonheur peu commun d'en donner, trente-sept ans après, la huitième édition. Dans les premières, il n'avait suivi que les méthodes de Ray et de Tournefort ; mais dans l'édition de 1768, il employa les principes et la nomenclature de Linné, dont il finit par devenir un des plus zélés admirateurs.Conçu initialement comme un complément à une publication antérieure, l’ouvrage de Miller "is a sufficiently complete work and may be rated on its own merits" (Hunt). Dans la préface, Miller explique ses intentions de publier une planche pour chaque plante de chaque genre connu, mais il abandonna ce projet afin de se consacrer à "...those Plants only, which are either curious in themselves, or may be useful in Trades, Medicine, &c. including the Figures of such new Plants as have not been noticed by any former Botanists."“The plants illustrated were either engraved from drawings of specimens in the Chelsea Physic Garden or drawings supplied by Miller's numerous correspondents, including John Bartram, the Pennsylvania naturalist (cf. plate 272), and Dr. William Houston, who travelled widely in the Americas and West Indies and bequeathed Miller his papers, drawings, and herbarium (cf. plates 44 and 182). For the plants drawn from examples in the Garden, Miller employed Richard Lancake and two of the leading botanical artists and engravers of the period, Georg Dionysius Ehret and Johann Sebastian Miller. Like Miller's ‘Catalogus Plantarum’, many of the etched and engraved plates are delicately printed in colour to give a more life-like impression after hand colouring.”L’ouvrage parut au moyen d’une souscription, en 50 livraisons mensuelles, chacune contenant 6 planches, entre le 25 mars 1755 et le 30 juin 1760. L’ouvrage fut à nouveau imprimé en 1771 et en 1809.Très bel exemplaire provenant de la bibliothèque P. Barfoot avec ex-libris manuscrit.Les exemplaires complets de cette première édition sont rares.
London The Cresset Press 1949
First British Edition. First Impression in publisher's original dust jacket. The dust jacket has some age toning amd foxing, and a very small closed tear to the back. Boards are clean and tidy. The pages inside are clean and tidy, with sporadic foxing to a few pages. Overall a good copy. 133 pages. 190 x 125 mm (7œ x 5 inches).
Sans lieu, Urban Comics Editions 2016, 280x185mm, reliure d'éditeur. Bel exemplaire.
illustré en couleurs,
Paris, Deux-Rives 1947, 265x205mm, 395pages, en feuilles sous couverture illustrée rempliée, chemise et emboîtage cartonné.Exemplaire numéroté sur papier grand chiffon du Marais 379/861. Bel exemplaire.
Paris, Rackham - Vertige Graphic 1994, 252x167mm, broché. Exemplaire à l'état de neuf.
Québec, Edisem inc. 2001, 230x150mm, VII - 232pages, broché. Exemplaire à l'état de neuf.
Paris, Editions Zenda 1990-1991, 310x235mm, 172pages, cartonnage illustré de l’éditeur. Bel exemplaire.
Paris, The Obelisk Press 1938, 195x140mm, 364pages, paperback. Small tears on the bottom of the back. Name of previous owner on top of the title page. With the Errata.
Lausanne, Mermod 1952, 190x135mm, frontispice, 159pages, broché. Bel exemplaire. Exemplaire sur papier apprêté blanc, numéroté n.° 1317 / 5000.
Bruxelles, Librairie Arthème Fayard 1977, 215x130mm, IX - 301pages, broché. Bel exemplaire.
New York, Wiley-Liss 1995, 335x260mm, XII - 312pages, editor's binding. Book in very good condition.
illustrated,
Roma, Viella 2014, 210x140mm, 127pagine, in brossura. Copertine con alette. Nuovo stato.
Paris, Payot 1928, 225x145mm, 392pages, reliure toile avec pièce de titre et d’auteur dorés au dos. Nom du possesseur sur le haut de la page de garde supérieure, autrement bel exemplaire.
Paris, Librairie Plon 1933, 225x140mm, VII - 341 + 318pages, broché. Dos et bords des couvertures légèrements insolés. Intérieur propre, pages en parties non coupées. Bon état.
New York, Simon & Schuster 200x175mm, 22pages, editor's binding. Book in very good condition.
illustrated,
Olumbus Ohio, Fred. J. Heer 1906, 230x155mm, 134pages, paperback. Book in good condition.
New York, Simon and Schuster 1953, 200x170mm, editor's binding. First edition. Book in very good condition.
unpaginated, colour illustrations,
Sans lieu, Rackham 2005, 315x240mm, broché. Comme neuf. Très bel exemplaire.