Marseille, Imprimerie de Marius Olive, 1841 in-4, 35 pp., broché sous couverture imprimée. Dos un peu défraîchi.
A sa mort en 1837, sans ascendants ni descendants, le sieur Marc-Antoine Aillaud, qui avait fait fortune dans la tannerie, laissa de façon indivisible la coquette somme de 800 000 francs aux établissements de bienfaisance de Marseille. C'était là une véritable fortune, et il ne faut nullement s'étonner que les neveux du donateur, les époux Gavoty, ne l'entendirent pas de cette oreille ...Aucun exemplaire au CCF. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT