Paris Edouard Pelletan 1904 In-12, demi-maroquin noir à coins, plats de papier marbré, dos à nerfs; doublures et gardes de papier peigne, tête dorée, non rogné, couverture imprimée.Edition originale, constituée par le tirage à part numéroté sur papier vergé du texte publié dans L'Almanach du Bibliophile. Cette intéressante étude retrace les différentes poursuites judiciaires qui furent conduites, lors de la publication de La Chanson des Gueux à la Librairie Illustrée, contre les éditeurs d'abord, puis contre l'auteur lui-même. Arthur Christian analyse les passages incriminés dans le livre, l'opinion de la presse à l'époque, et reprend l'article publié par Steinlen le 28 août 1876 dans La Tribune. La cause fut entendue en 1876 puisque les arrêts contre l'auteur furent cassés sans appel et Edouard Pelletan mit en chantier son édition définitive et monumentale de La Chanson des gueux. Le livre est illustré de 10 compositions de Steinlen. Exemplaire portant sur un des premiers feuillet un envoi autographe signé de l'éditeur Pelletan.
Paris : Edouard Pelletan, 1904 In-8, 37-(5) pages. Broché, couverture verte imprimée.
Petites taches sur les feuillets de garde. Edition originale, ornée de 10 compositions de Steinlen. Envoi signé et daté de l'auteur."Ouvrage intéressant et rare, non mis dans le commerce" (Carteret IV, 104).
Editions D'Art Edouard Pelletan Paris 1904 In-8 ( 205 X 135 mm ) de 37 pages, broché sous couverture illustrée rempliée. 10 illustrations par Théophile-Alexandre STEILEN, dont une hors-texte. Edition originale, constituée par le tirage à part numéroté sur papier vergé du texte publié dans "L'Almanach du Bibliophile" et imprimé à l'Imprimerie Nationale. Minimes défauts à la couverture, bel exemplaire, non rogné.Cette intéressante étude retrace les différentes poursuites judiciaires qui furent conduites, lors de la publication de La Chanson des Gueux à la Librairie Illustrée, contre les éditeurs d'abord, puis contre l'auteur lui-même. Arthur Christian analyse les passages incriminés dans le livre, l'opinion de la presse à l'époque, et reprend l'article publié par Steinlen le 28 août 1876 dans La Tribune. La cause fut entendue en 1876 puisque les arrêts contre l'auteur furent cassés sans appel et Edouard Pelletan mit en chantier son édition définitive et monumentale de La Chanson des gueux. ( Source: P. Blaizot ).