Paris, Hachette. 1890, 2 volumes, grand in-8, reliure moderne, 518-482 p. 150 gravures et 3 cartes dépliantes en couleur. Reliure moderne, demi basane verte, dos à nerfs, titre doré, mouillures claires sur les quatre premiers feuillets du tome 1, petites restaurations sur deux feuillets blancs sinon très bel exemplaire.
Bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Paris, Librairie Hachette et Cie, 1879. 2 volumes in-4 de [12]-496-[2] et [6]-544 pages, demi-chagrin brun, dos à nerfs.
Illustré de 150 gravures dont 80 en pleine page et 9 cartes en couleurs, dont 3 dépliantes et une volante, très grande (89 x 71 cm). "Carte de la moitié oriental de l'Afrique Équatoriale et des explorations par terre et par eau de Henry M. Stanley 1874-1877". Bon exemplaire de ce fameux voyage qui dura 999 jours et qui s'étendit sur 11'517 kilomètres: "explorations de l'Afrique équatoriale, qu'il traverse d'est en ouest en partant de Zanzibar en 1874. L’expédition, financée par le Daily Telegraph et le New York Herald, mobilise plus de 230 personnes, porteurs et soldats, et même un bateau de treize mètres en pièces détachées, le Lady Alice. Stanley part de Zanzibar le 17 novembre 1874. Il doit recruter d’autres compagnons en cours de route. Il gagne le lac Victoria par l'itinéraire de John Hanning Speke, et effectue la circumnavigation du lac. Il visite le Buganda, passe par le lac Albert découvert en 1864 par Samuel White Baker et Florence Baker, et explore la totalité des rives du lac Tanganyika du 11 juin au 31 juillet.Stanley rencontre Tippo Tip à Kasongo. Ensemble, ils montent une expédition forte de 400 hommes pour explorer l'Ouest. Ils quittent Nyangwe, le 5 novembre, et pénètrent dans la forêt équatoriale. Après cinquante jours, Tippo Tip renonce, mais Stanley continue vers l'ouest. Pour traverser ces régions, comme le bassin du Congo, où les échanges sont organisés selon les règles strictes du commerce par relais, Stanley doit forcer le passage à plusieurs reprises. Le 20 décembre, 150 personnes réparties sur 23 bateaux entament la descente du fleuve. Le 6 janvier 1877, ils sont bloqués par les chutes Boyoma, qu'ils mettent vingt jours à éviter. Le 1er février, au confluent avec l'Aruwimi, ils combattent contre les Basoko. Le 14 février, ils affrontent les Bangalas. Le 9 mars, ils atteignent le confluent avec le Kasaï, et Ntamo le 12 mars, future implantation de Léopoldville (Kinshasa).Les chutes Livingstone constituent le plus redoutable des obstacles : cinq mois sont nécessaires pour couvrir les quelques centaines de kilomètres qui les séparent de Boma, Alexandre Delcommune recueillant finalement une expédition décimée. Stanley est le dernier des quatre Européens encore vivants, et des 356 compagnons africains seulement 115 parviennent à la côte atlantique en août 1877.Malgré les difficultés, l'exploit est historique. Stanley décrit ce voyage extraordinaire dans un ouvrage publié en 1878, “À travers le continent mystérieux”. " (merci wiki). Dos légèrement passé, une coupe frottée; réparation ancienne à la grande carte sans manque.
1 Reliure dos et coins en chagrin rouge, dos à 5 nerfs, auteur et titre au fer doré (frottements, accroc en bas du 1er plat, qqs rousseurs). 26 x 17,5 cm, 600 p., illustrations. Paris, Librairie Hachette et Cie, 1880.
Ouvrage illustré de 60 gravures et 6 cartes. Mention de 3e édition, traduction par Mme H. Loreau. Très bon état
2012, Magellan & Cie, in-8 broché de 300 pages, A la recherche de Livingstone, «En 1869, alors que la Société royale de géographie ne se soucie guère de la disparition de Livingstone, James Gordon Bennet, le directeur du New York Herald, persuadé que l'illustre explorateur est toujours vivant, décide d'envoyer un reporter à sa recherche. Choisi pour cette mission, Henry Morton Stanley n'est encore que journaliste : s'il sillonnait le monde, c'était pour couvrir des événements et non pour explorer ses terres inconnues. Nulle formation scientifique ou militaire ne le prédisposait à succéder à Livingstone dans la recherche des sources [...] | Etat : Très bon état (Ref.: ref86569)
Magellan & Cie
Paris, Hachette et Cie, 1891. Grand in-8 de [4]-352 pages, demi-chagrin rouge à coins, dos à 5 nerfs orné de fleurons, filet et titre dorés, filets dorés sur les plats, tête dorée. Reliure un tout petit peu frottée et tachée, rousseurs.
Illustré d'un portrait en pied de l'auteur en frontispice, de nombreuses gravures in-texte (la plupart à pleine page) ainsi que de 2 planches dépliantes en fin (carte de la province d'Emin Pacha et transcription de la lettre par laquelle Mahdi demandait à Emin Pacha de se rendre, fac-similé. La lettre souffre d'une petite déchirure sans perte).