Lefèvre Paris 1838 3 volumes in-12 ( 200 X 125 mm ) de 882 857 et 755 pages, demi-basane chataîgne, dos lisses ornés de filets dorés en place des nerfs, pièces de titre de maroquin vert. Minimes usures aux coiffes, beaux exemplaires trés purs, sans aucune rousseur.
A Paris, chez Lefèvre libraire, 1858. 3 volumes in/8 reliure toile havane, dos lisses à titres dorés, tranches latérales non massicotées, 882 pages 857 p. & 755 pages. Quelques taches claires sur les plats de deux volumes.
Anne-Louise Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein, connue sous le nom de Madame de Staël, (1766 - 1817), romancière et essayiste française d'origine genevoise. Germaine était la fille du banquier Jacques Necker (plus tard ministre des finances du roi de France Louis XVI). Les ouvrages présents réunissent les titres : "Sur les écrits de Rousseau", "Sur le caractère de Rousseau", "Mirza", "Adélaïde et Théodore", "De Pauline", "Des passions", "De la littérature", "Corinne ou l'Italie", "De l'Allemagne", "De la majorité de la nation", "Du caractère de M. Necker et de sa vie privée".
STAËL-HOLSTEIN, Baronne de (MARTIN Louis Aimé auteur des lettres à sophie)
Reference : 98601
Paris, A la Librairie Stéréotype, 1814. "12 x 21, 23 pp., broché, non coupé, non rogné, état moyen (couverture muette abîmée; rousseurs peu foncées encadrant les pages)."
Paris La Librairie Stéréot 1814 In-8, demi-chagrin havane, plats de papier vert, dos lisse orné de filets dorés; doublures et gardes de papier ivoire, non rogné, couverture muette.Edition originale du texte de la baronne de Staël et de l'épître de Louis Aimé Martin. Le Portrait d'Attila est celui de Bonaparte. Exemplaire portant sur le faux titre un envoi autographe signé de Louis Aimé Martin.
Lausanne, Mourer, Hignou et Cie., 1796 ; in-8. 376pp. Basane marbrée, dos lisse orné, pièce de titre noire. Légers frottements aux coins et aux coiffes. Bon exemplaire dans sa reliure d'époque.
Edition originale, de la première émission, non cartonnée. Sans le feuillet d'errata. Dés la fin de l'impression, Madame de Staël voullu apporter des corrections à son texte ; Longchamp relève 9 modifications qui firent l'objet de cartons (feuillets corrigés remplaçant l'état antérieur). La seconde partie de cet ouvrage annoncée dans le titre : "...sur le bonheur ... des Nations", ne fut jamais composée. (Longchamp, L'oeuvre imprimée de Madame Germaine de Staël, 29.1).
Paris et √† Londres, Colburn, 1812. 2 volumes in-8, VIII-XXXI, 25-321-(3) pp.; 288 pp. Reliure demi chagrin rouge √† coins, dos √† nerfs, t√tes dor√es, non rogn√.
(une petite d√coupe en t√te des deux pages de titre).
1814 Paris, Nicolle, Mame, 1814, 3 vol. in 8 br., couverture de papier marron moucheté dans le goût du temps, titres au dos, bon ex.
2e édition française, après celle de 1810 qui fut entièrement détruite sur ordre de Napoléon 1er, et dont on ne connait que 5 exemplaires. Notre édition a paru un an après l'édition de Murray à Londres.
1844 Firmin Didot Frères, Treuttel et Würtz, 2 volumes (3 tomes reliés en 2 volumes), 1844, 863-346-513 pp, demi-basane, reliures frottées et dos décolorés, des tampons de bibliothèque annulés sur les pages de titre,sinon intérieur propre.
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Sans Mention Paris 1788 In-12 broché ( 180x110 mm ) de IV-123 pages. La liasse est insérée dans une chemise cartonnée demi skivertex bordeaux, le tout dans un étui cartonné avec liseret bordeaux.Exemplaire non rogné, mouillure marginale sur l'ensemble de l'ouvrage.Le premier ouvrage de l'auteur alors agée de 22 ans.
STAEL, Madame la Baronne de (Anne-Louise-Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein, connue sous le nom de Madame de Staël).
Reference : 111105
Treuttel et Würtz, Editeurs, 1841, 2 volumes in-8 de 235x150 mm environ, Tome 1. faux-titre, frontispice, titre avec vignette, 425 pages, 1f. (table), - Tome 2. faux-titre, titre avec vignette, 504 pages, 1f. (table), demi maroquin à coins cerise, dos à 5 nerfs portant titres et tomaisons dorés, ornés de caissons à motifs dorés, cuir souligné d'un filet doré, tranches de tête dorée, gardes marbrées. Des rousseurs et mouillure très claire, petits frottements sur les coupes et le cartonnage au centre des plats, cahiers 57 (p. 457-461) et 58 (p. 449-456) inversés, infime manque de papier marbré sur le dernier plat du tome 1. Complet du frontispice de Godard, enrichi de nombreuses illustrations, vignette, lettrines et culs-de-lampe par divers artistes, gravées sur bois.
Anne-Louise-Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein, connue sous le nom de Madame de Staël, est une romancière, épistolière et philosophe genevoise et française née le 22 avril 1766 à Paris où elle est morte le 14 juillet 18174. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
s.l. 9 janvier 1809, 11,7x18,3cm, deux pages sur un bifeuillet.
Lettre autographe signée de Germaine de Staël, datée de sa main du 9 janvier 1809 adressée à Julie Nigris, fille d'Elisabeth Vigée-Lebrun. Deux pages à l'encre noire sur un bifeuillet. Adresse autographe au verso et traces de cachet portant ses armes, ainsi que des tampons postaux. Plis inhérents à l'envoidéchirure avec manque, sans atteinte au texte, sur le feuillet d'adresse, dû à l'ouverture du cachet. Publiée en addendum dans les Souvenirs de Madame Vigée Lebrun, 1837, t. III, pp. 264-265. Germaine de Staël s'impatiente de recevoir son portrait sous les traits de son héroïne Corinne, commandée à la célèbre portraitiste Elisabeth Vigée-Lebrun. La lettre est le maillon de la longue et fascinante histoire de ce portrait, que la baronne découvrira quelques mois plus tard. "J'ai renoncé Madame, à la gravure du portrait de Madame votre mère, c'est trop cher pour ma fantaisie et je viens d'éprouver un procès considérable qui m'oblige à des ménagements de fortune. Mais avez-vous la bonté de me dire quand le portrait de Corinne me sera remis par Mad. Le Brun ? Mon intention était de lui envoyer mille écus en le recevant mais n'ayant pas de ses nouvelles je ne sais pas du tout ce que je dois faire. Soyez assez bonne pour vous en mêler, et me négocier à cet égard ce que je désire. Une négociation qui me serait bien douce aussi c'est celle qui vous amènerait en Suisse cet été. Prosper dit qu'il y viendra. M. de Maleteste ne se laisserait-il pas séduire par cette réunion de tous ses amis ? J'ose me mettre du nombre. En le voyant une fois il m'a semblé que je rencontrais une ancienne connaissance" Germaine de Staël s'adresse à la fille de Vigée-Lebrun, Julie, en l'invitant ainsi que sa mère à égayer son exil. Elle tente également de rassembler à Coppet son propre amant ainsi que celui de Julie - Prosper de Barante et le marquis de Maleteste. Abhorrant la solitude, elle était résolue à inviter une foule de personnalités intéressantes. Deux ans plus tôt, Vigée-Lebrun avait commencé chez la baronne le portrait d'après nature de cette dernière sous les traits de l'héroïne de son dernier roman Corinne. L'artiste y avait rencontré les célèbres protagonistes du fameux groupe de Coppet : Frédéric de Prusse, Benjamin Constant et Juliette Récamier. Germaine avait déjà requis un changement auprès de Vigée Le Brun à peine la toile commencée et demandé un différent paysage de fond. Consciente de l'aspect ingrat de son modèle - ni elle ni la baronne ne s'en cachent - Vigée-Lebrun livrera un portrait ambitieux, à l'antique certes, mais à l'allure furieusement romantique, capturant le regard inspiré de la baronne au détriment de l'aspect néo-classique attendu.Malgré ses enthousiastes premières réactions, Germaine de Staël en commandera un autre à l'artiste local Firmin Massot. Ce dernier réalisera une piètre quoique fidèle copie de la composition originale, à l'exception du visage, et tout particulièrement du regard qu'il fait vide de toute émotion. La réaction de la baronne illustre le dilemme irréconciliable dont souffraient les femmes de lettres en ce début de XIXe siècle : tiraillées entre l'exercice d'un art intellectuel que Vigée-Lebrun avait magnifiquement capturé dans ce portrait, etles critères normatifs de la féminité auxquels Germaine de Staël voulait ressembler. Précieux feuillet de correspondance, quiréunit deux femmes illustres, la commanditaire et l'artiste dont les visions de la féminité s'affronteront bientôt de part et d'autre du chevalet. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Treuttel et Würtz, 1820-1821. 17 volumes in-8 demi-basane brune, dos lisse, orné de filets et fleurons dorés, pièce de titre/tomaison verte, tranches teintées jaune. Dos uniformément passés. Étiquette de la bibliothèque du château de Bessinge, signature de Charles R. Tronchin sur quelques pages de titre et ex-libris H. Tronchin sur quelques volumes.
Portrait de l'auteur dessiné par Gérard et gravé par Maillet. Première édition des oeuvres complètes, en partie originale. « Mise au point par le baron Auguste-Louis de Staêl-Holstein (1790-1827) et le duc Achille-Charles-Léonce-Victor de Broglie (1785-1870), l'un, fils ainé, et l'autre, gendre de Mme de Staël, cette collection des oeuvres complètes est bien composée, soigneusement imprimée et sans fautes. Elaborée avec une véritable piété filiale et un respectueux esprit de famille, cette édition présente, du point de vue littéraire, le meilleur texte de la version définitive de chacune des oeuvres authentiques de Mme de Staël ». « La première et la meilleure des éditions collectives des Oeuvres complètes de Mme de Staël » (Longchamp). Vicaire VII, 655 ; Lonchamp, 131.
Paris, Nicolle, Mame frères, Martinet, 1814
In-8 (212 x 136 mm), demi-maroquin vert à grain long, dos lisse orné, pièce de titre noisette, chiffre couronné, tranches jaunes (reliure d'époque). Exemplaire au chiffre de Jérôme Bonaparte (Ajaccio 1784 - Massy 1860), dit " Comte de Montfort ", Roi de Westphalie (Olivier, planche N° 2661), et portant le cachet " Bibliothèque du Citoyen Napoléon Bonaparte ". Il est le plus jeune frère de Napoléon Ier. Bel exemplaire (quelques menus frottements, petite déchirure en marge supérieure pages vii, 267 et 269, quelques légères rousseurs). // Octavo (212 x 136 mm), green long-grained half-morocco, smooth spine tooled, chestnut title label, crowned monogram, yellow edges (contemporary binding). Precious copy that belonged to Jérôme Bonaparte (Ajaccio 1784 - Massy 1860), named " Comte de Montfort ", Roi de Westphalie (Olivier, planche N° 2661), and containing the stamp " Bibliothèque du Citoyen Napoléon Bonaparte ". He is the youngest brother of Napoleon Ier. Fine copy (some minor rubbings, little tear on top margin pages vii, 267 and 269, some light spots).
A Paris, chez H. Nicolle, à la librairie Stéréotype, 1814. 3 vol. in-8 de (4)-XVI-348 pp. ; (4)-387 pp. ; (4)-415 pp., basane racinée vert, dos lisse orné, roulette dorée d'encadrement sur les plats (reliure de l'époque).
Deuxième édition française. Après avoir voyagé dans toute l'Europe, en Allemagne, en Russie, en Suède, Mme de Staël, dès la mi-septembre 1813, séjourna en Angleterre, où, toujours pourchassée par Napoléon Ier, elle fut l'hôte de Lord Lansdowne. Ayant alors, dans sa fuite, emporté l'un des exemplaires d'épreuves de De l'Allemagne, Mme de Staël, après l'avoir corrigé et muni d'une préface datée du premier octobre 1813, publia à nouveau son ouvrage chez John Murray à Londres. « En fait, à défaut de l'édition parisienne de 1813, dont il ne reste que cinq exemplaires, l'édition de Londres, 1813, est la "véritable" édition originale, car, en 1814, la deuxième édition française de Nicolle ne fera, avec d'insignifiantes corrections d'orthographe, que reproduire intégralement le texte de l'édition de 1813 et non pas celui de l'édition imprimée en 1810 ».Bel exemplaire. Escoffier, 234 ; Schazmann, 47 ; Lonchamp, 95.
Paris, Firmin Didot & Treuttel & Wurtz, 1838 ; in-4, 866 + 514 pp., reliures demi-cuir vert, dos lisse orné et estampé, pièce de titres noir. Les 2 volumes. Texte imprimée sur deux colonnes. Anne-Louise-Germaine Necker, baronne de Stael-Holstein, plus connue sous le nom de madame de Stael, fille de Jacques Necker, était une romancière et essayiste d'origine suisse romande. Elle épousa l'ambassadeur de Suède à la Cour. Par la suite, elle eut une relation tumultueuse avec Benjamin Constant. Napoléon la renvoya en Suisse, la trouvant trop intrigante. Les 'Considérations' traitent de l'Empire. Très bon état.
FIRMIN DIDOT FRERES ET CIE. 1876. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Mouillures. 866 + 715 pages - plats et contre plats marbrés - tome premier livré sans couverture - textes sur deux colonnes - 1er plat désolidarisé du tome deuxième + coiffes en tête et pied abîmées - titre + tomaison dorés sur le dos du deuxième tome - gravure en noir et blanc sous serpente en frontispice dans le tome premier - mouillures en coins en tête dans tout l'ouvrage sans réelle conséquence sur la lecture dans le tome premier - mouillures en coins en tête sur le 180 premières pages du tome deuxième - quelques rousseurs sans réelle conséquence sur la lecture - coins frottés sur le tome deuxième.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Sommaire : réflexions sur le procès de la reine - des tragédies grecques - de la comédie grecque - de la philosophie - de la vanité - histoire de pauline - essai sur les fictions - adelaide et théodore - zulma - reflexions sur la paix - de la liitérature - le général la fayette - retour de M.Necker - dame de stael - considérations sur les principaux événements de la révolution française etc... Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
1820 Paris, Treuttel et Würtz, 1820-1821, 17 tomes en 17 volumes, reliure de l'époque de demi-veau glacé havane, dos lisses ornés filets et roulettes dorées en pieds et en têtes, fleurons à froid, pièces de titres et de tomaisons de veau vert sombre, une charnière fendue au tome X, coiffes parfois frottées, les page de faux-titre et de titre du tome I manquent, sinon bon exemplaire, peu de rousseurs.
La première et la meilleure des éditions collectives des Oeuvres complètes de Mme de Staël. Vicaire (VII, 655).
Firmin Didot Frères / Treuttel et Würtz. 1826-1828. In-4. Relié demi-cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos à nerfs, Quelques rousseurs. 866 pages + 715 pages - gravure en noir et blanc sous serpente en frontispice du tome 1 - textes sur deux colonnes - plats et contre plats jaspés - dos à 4 nerfs - titre, tomaison et fleurons dorés sur le dos - quelques rousseurs à l'intérieur des ouvrages sans réelle conséquence sur la lecture.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Chez Lefèvre, Paris. 1838. In-8. Relié. Etat d'usage, Coins frottés, Mors arrachés, Mouillures. 882 pages pour le tome I, 857 pages pour le tome II et 755 pages pour le tome III. Titres, tomaisons et filets dorés sur les dos. Etiquettes de code sur les couvertures. Quelques tampons de bibliothèque. Quelques rousseurs.. . . . Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle
Des Lettres sur le caractère et les écrits de J.J. Rousseau aux Réflexions sur le suicide. Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle
CHEZ LEFEVRE. 1838. In-8. Relié. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 882 pages - contre plats jaspés - coins frottés - titre + tomaison + filets dorés sur le dos .. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Paris, Delaunay, Bossange et Masson, 1818. 3 vol. in-8 de (8) pp. de catalogue, (III)-X-440 pp. ; (2)-424 pp. ; (2)-395-(2) pp., errata, demi-veau olive, dos lisses ornés, pièce de titre en maroquin brun (reliure moderne à l'imitation).
Édition originale posthume publiée sur le manuscrit original. La publication de cet ouvrage inspirait quelques craintes à Auguste de Staël. Voici la lettre qu'il adressait alors à l'éditeur : « Monsieur, Mr de Launay, mai 1818 le 20... Voici, Monsieur, la petite moitié du 3e vol. Je vous donnerai la 6e partie dans peu de jours ; mais je vous prie instamment de vouloir bien recommander à l'imprimerie une extrême discrétion. Je crois que vous feriez mieux de ne donner que cahier après cahier... ». Les faux-titres n'ont pas été conservés par le relieur.Longchamp, 117 ; Schazmann, 55.
NECKER, Jacques (1732-1804) & STAEL-HOLSTEIN, Anne Louise Germaine Baronne de (1766-1817):
Reference : 112820aaf
Genève, J.J. Paschoud, an XIII (1804), in-8°, IV + 153 p. (+ 1 Note) + 354 p. + 1 ff. (Errata), avec signet, ex-libris ‘Guiseppe del Bon’, solide reliure en plein veau d’époque, dos à la grecque un peu passé, double encadrement doré sur les plats, pièce de titre en maroquin rouge au dos.
Edition originale. La mort de Jacques Necker, le ministre des finances de Louis XVI, avait profondément affecté sa fille unique, la baronne de Staël. Revenue à Coppet de son séjour allemand, elle mit de l'ordre dans les papiers de son père et composa une biographie «Du caractère de Mr. Necker et de sa vie privée», qui figure en première partie de notre ouvrage, datée du 25 octobre 1804. Suivent une nouvelle version, remaniée par Necker en 1803, de son fameux «Sur la législation et le commerce des grains» (1775), et une série de courtes pièces intitulées «Esquisse de pensées». Le récit «Suites funestes d'une seule faute» (pp. 225-347) serait une supercherie réalisée par Mme de Staël elle-même. Lonchamp, L'Oeuvre imprimée de Madame Germaine de Staël, p. 40, n° 54; De Montet DBGV II/230; II/54; Cioranescu 47927.
Phone number : 41 (0)26 3223808
NECKER, Jacques (1732-1804) & STAEL-HOLSTEIN, Anne Louise Germaine Baronne de (1766-1817):
Reference : 113096aaf
Genève, J.J. Paschoud, an XIII (1804), in-8°, IV + 153 p. (+ 1 Note) + 354 p. + 1 ff. (Errata), avec signet, ex libris gravé héraldique ‘Charles Daubeny’, solide reliure en cuir, dos à la grecque passé, double encadrement doré sur les plats, tranches marbrées.
Edition originale. La mort de Jacques Necker, le ministre des finances de Louis XVI, avait profondément affecté sa fille unique, la baronne de Staël. Revenue à Coppet de son séjour allemand, elle mit de l'ordre dans les papiers de son père et composa une biographie «Du caractère de Mr. Necker et de sa vie privée», qui figure en première partie de notre ouvrage, datée du 25 octobre 1804. Suivent une nouvelle version, remaniée par Necker en 1803, de son fameux «Sur la législation et le commerce des grains» (1775), et une série de courtes pièces intitulées «Esquisse de pensées». Le récit «Suites funestes d'une seule faute» (pp. 225-347) serait une supercherie réalisée par Mme de Staël elle-même. Lonchamp, L'Oeuvre imprimée de Madame Germaine de Staël, p. 40, n° 54; De Montet DBGV II/230; II/544.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Paris 22 Janvier 1815, 11,5x18,5cm, une page sur un double feuillet.
Lettre autographe signée N[ecker] de Staël adressée au naturaliste Joseph Philippe François Deleuze, professeur au Jardin des Plantes, 9 lignes à l'encre noire sur un double feuillet. Cachet de cire rouge et traces de pliures. La baronne de Staël adresse ces quelques mots aux allures galantes au professeur Deleuze : "J'ai des preuves de votre intérêt pour moi, monsieur, qui m'honorent sensiblement. Voulez-vous passer la soirée chez moi mercredi de 8 à 11 heures nous arrangerons un jour plus intime pour dîner et causer ensemble. Mille amitiés si vous me permettez ce mot". - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. 8 février 1807, 11,6x18,5cm, deux pages sur un bifeuillet.
Lettre autographe signée de Germaine de Staël, datée de sa main du 9 janvier 1807adresséeà Edme Joseph Villetard, envoyée de "Meulan dep. de Seine et Oise". Deux pages sur un bifeuillet. Adresse autographe au verso et traces de cachet. Plis inhérents à l'envoidéchirure avec petit manque, sans atteinte au texte, sur le feuillet d'adresse, dû à l'ouverture du cachet. La baronne fait l'éloge de la pièce du traducteur et dramaturge auxerrois VilletardConstantin et la primitive église ou le fanatisme politique.On sent dans cette lettre toute l'amertume de la baronne, contrainte à un exil interminable par le palais Impérial. Comme l'indique la lettre, elle fera tout de même de cours séjours clandestins à Paris pour s'entretenir avec les grands esprits de son temps. "J'étais fort malade Monsieur, quand vous avez bien voulu m'envoyer votre tragédie du 4e siècle que depuis j'ai vainement cherché votre adresse pour vous écrire tout ce que je pensais de cette tragédieoù l'on voit ce me semble tous les sentiments et toutes les pensées d'un homme éclairé et énergique. J'espère que les circonstances me rapprocheront de Paris, et si j'ai l'honneur de vous voir Monsieur, je vous exprimerai ma reconnaissance pour le souvenir que vous avez bien voulu me faire parvenir dans le plus triste exil du monde, en véritéje ne me serais pas doutée qu'Auxerre eut jamais été la demeure d'un esprit aussi distingué que le vôtre". - Photos sur www.Edition-originale.com -