1935 Payot Bibliothèque Historique, 1935, 423 pages, in 8 broché, état d'usage, papier jauni, usures sur les bords des plats (fendillés), frottements sur les coins et les coiffes.
Général Alexandre Spiridovitch. Traduit du russe par M. Bénouville
Reference : 76366
(1935)
Paris, Payot, 1935, in-8, broché, 429 pages. Dos creusé. Bon état.
Traduit du russe par Vladimir LazarevskiPortrait du Général A. Spiridovitch : Chef de l'Okhrana de Kiev - Chef de la sûreté personnelle de S.M. l'empereur Nicolas II
Paris, Payot, Bibliothèque historique, 1930 - Grand in-8°, 668 pp , broché, couverture imprimée, (qq. rousseurs), cahiers non coupés
Payot, 1935, in-8 br. (14,5 x 23), 429 p., coll. "Bibliothèque historique", 1ère édition française, traduit du russe et avant-propos par M. Bénouville, exemplaire non coupé, avec son bandeau, envoi de l'auteur à Léon Treich, bon état.
Mage, guérisseur, homme de Dieu, ou imposteur, intrigant et espion ? Un siècle après sa mort, Grigori Efimovitch Raspoutine (1863-1916) ne cesse d’intriguer les historiens et le large public. Sa personnalité hors du commun et son rôle supposé dans la chute de l’empire de Russie ont inspiré les romanciers et les metteurs en scène, qui lui ont souvent attribué un rôle qui n’était pas le sien. La culture populaire en a fait un "moine fou", un "hypnotiseur" qui a précipité la Russie dans l’horreur de la guerre civile; les bolcheviks le tenaient pour le symbole du pouvoir tsariste corrompu. Mais qu’en est-il en vérité ? L’ouvrage du général Spiridovitch plonge au cœur des événements qui ont conduit à l’assassinat de Raspoutine. L’auteur a en effet instruit l’affaire depuis le début, rassemblant les pièces du puzzle, interrogeant tous les protagonistes, les proches du "starets" comme ses ennemis les plus acharnés, faisant de son enquête méticuleuse un véritable roman. Cet ouvrage, le plus complet et le plus proche des événements tels qu’ils se sont passés, écrit par le chef de la sûreté secrète de Nicolas II, permet au lecteur de comprendre "l’incroyable aventure de ce simple moujik sibérien qui réussit à capter la confiance des souverains russes et à la garder, malgré toutes les attaques, jusqu’à son assassinat par le prince Ioussoupov" (M. Bénouville).