Write to the booksellers2 books for « soboul albert monni... »Edit
-
Topics
Paris (2)
Revolution 1789 (1)
-
Syndicate
ILAB (2)
SLAM (2)
Répertoire du personnel sectionnaire parisien en l'an II.
Paris, Pub. de la Sorbonne, 1985. In-8 br., couv. ill. en coul., 564 pp., frontisp., ill. en noir, index.
Très bonne condition. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
Répertoire du personnel sectionnaire parisien en l'An II.
Publications de la Sorbonne, 1985, gr. in-8°, 564 pp, une gravure en frontispice, plan des 48 sections parisiennes, index, broché, couv. illustrée, bon état
"Le livre est issu d'une double contribution : partant d'un répertoire établi par A. Soboul au moment où il écrivait sa thèse sur les sans-culottes parisiens, R.Monnier a complété les investigations et les a prolongées jusqu'au Consulat. On peut ainsi connaître le destin de tous ceux qui, depuis 89, furent à l'avant-garde du mouvement sectionnaire et voir, en particulier, que la répression anti-terroriste frappa plus de 70 % d'entre eux, d'abord en prairial an III puis en l'an IX. L'ouvrage est avant tout un bon outil de travail, indispensable pour ceux qui étudient la période révolutionnaire. Une introduction précise et documentée de R.M., suivie d'une bibliographie et, en fin de volume, d'un index des militants cités, présente le répertoire lui-même dont la composition reste fidèle à la carte du découpage sectionnaire. On voit ainsi se profiler une géographie politique de Paris, encore étrangement familière ; les sections modérées de l'Ouest (section des Tuileries, section des Champs Elysées), les sections patriotes et remuantes du quartier des Halles, avec leur nombre élevé d'indigents (section des Lombards, section des Gravilliers) et les sections artisanes du faubourg Saint-Antoine. Loin d'être d'une lecture austère, ce répertoire rend compte de trajets individuels et sociaux qui laissent deviner tout un réseau de solidarités nouées au hasard des rencontres, dans des lieux propices à la conspiration comme les prisons ou les cafés." (L. Andries, Dix-Huitième Siècle, 1986)
