Portsea S. Horsey n.d. (1849) In-32° (cm. 11 x 7,5), pp. 182, (1), una grande tav. incisa f.t. e rip. in antiporta e 4 tavv. f.t., legatura in mezza pelle con piatti in legno del relitto, titolo in oro al dorso. Cerniere inn parte rotte ma solidamente legato, rinforzo alle carte di guardia inferiori, ultime due carte con strappo riparato senza perdita. Nel complesso buon esemplare. L'opera racconta la vita della nave ammiraglia Royal George, una nave da guerra di prim'ordine nella Royal Navy, essa affondò nel 1782, quando fu ancorata a Spithead, nel disastro persero la vita più di ottocento persone.
Portsea S. Horsey 1842 in-18 toile bouteille de l'éditeur, plats doublés de deux petits ais récupérés du bâtiment naufragé, tranches dorées
vi pp., pp. 7-136, un f.n.ch., 3 planches hors texte dont un frontispice gravé sur cuivre en dépliant.Un seul exemplaire au CCF (Lyon). Très rare. Le HMS Royal George était un vaisseau de ligne de premier rang de 100 canons de la Royal Navy britannique. Construit aux chantiers navals de Woolwich Dockyard et lancé le 18 février 1756, il formait e plus grand vaisseau de guerre du monde au moment de son lancement. Il servit pendant la guerre de Sept Ans, puis de nouveau pendant la guerre d'indépendance des États-Unis, notamment à la bataille du cap Saint-Vincent en 1780. Mais il devait couler le 28 août 1782 au cours d'une manœuvre d'entretien de routine alors qu'il était au mouillage à Portsmouth le 29 août 1782, causant la mort de plus de 800 personnes se trouvant à bord (dont 300 femmes). Il s'agit de l'un des naufrages les plus meurtriers de l'Histoire du Royaume-Uni, qui constitua jusqu'au milieu du XIXe siècle un véritable traumatisme naval.L'une des particularités de ce petit volume est d'avoir été couvert par des reliques en bois du bâtiment, comme indiqué au titre, et également sur une petite étiquette contrecollée sur les premières gardes : "The publisher begs ton inform the public, that the timber from which the covers of this book were made, was purchased by him at the Dock Yard, Portsmouth, and they may fully confide on its being a genuine relic of the ill-fated Royal George"