Préface de Jean Cocteau, Calmann-Lévy, 1961, 315 pp., broché, couverture un peu défraîchie, partiellement non coupé, annotation en première page, état correct.
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Paris, Calmann-Lévy, 1961. In-8, broché, couverture illustrée, 310 pp.
" Voici un roman par lettres... Il s'agit de vraies lettres, mais aussi d'un vrai roman". (entre Béatrice Campbell et Bernard Shaw). Photos sur demande.
P., Calmann-Lévy, 1961, in-8, br., non rogné, 315 pp. (GE3B)
Préface de Jean Cocteau.
Calmann-Lévy, 1961, in-8°, 315 pp, préface de Jean Cocteau, traduction française de Jean Bloch-Michel, broché, couv. illustrée, bon état
Voici un roman par lettres. Ce qui est ailleurs un procédé littéraire, aujourd’hui bien démodé, est ici le reflet de la réalité même : c’est-a-dire qu’il s’agit de vraies lettres, mais aussi d’un vrai roman. Quand l’illustre dramaturge Bernard Shaw rencontra la célèbre actrice Béatrice Campbell, le sort décida que cette rencontre ne serait pas infructueuse. Shaw tomba amoureux et il fit jouer « Pygmalion » à celle qu’il aimait. Béatrice ne fut peut-être pas insensible, mais elle s’aperçut assez vite que Shaw vivait son amour en rêve, ce qui n’était pas le lieu où elle désirait voir se jouer sa vie amoureuse. Il s’ensuivit qu’elle épousa M. Cornwallis-West, et que Shaw en conçut une fureur, puis une amertume qui ne s’apaisèrent jamais. Pendant trente ans, ils s’écrivirent, s’aimèrent, se haïrent, se disputèrent, s’injurièrent, incapables, l’un comme l’autre, de se priver de l’admirable partenaire que chacun avait découvert en l’autre. Mais tandis que Bernard Shaw voyait grandir sa gloire et sa fortune, la belle actrice devenait une vieille dame, chassée des studios et des scènes, menant une vie de plus en plus misérable et solitaire. Quand elle se tourna enfin vers celui qui avait prétendu l’aimer, pour lui demander quelque secours, Shaw trouva, à le lui refuser, le plaisir le plus subtil qu’elle lui eut jamais procuré : enfin il se vengeait de l’avoir aimée, qu’un autre lui eut été préféré, et, surtout peut-être, d’avoir été trop bien compris. Cette correspondance – dont on a tiré la pièce « Cher Menteur » – est d’abord un extraordinaire document sur le théâtre au début de ce siècle. Mais c’est aussi l’histoire passionnante d’un amour impossible, puis d’une amitié – ou d’une haine, on ne sait pas très bien – vécue et exprimée par un homme et une femme que leur caractère et leur talent mettaient, ce qui est rare, à la hauteur de leur propre aventure.
Victor Gollancz. 1952. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos fané, Intérieur acceptable. 339 pages. Tranche légèrement passée. Jaquette très abîmée, avec d'importants manques.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon
Edited by Alan DENT. Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon
Calmann-Levy, 1961 In-8° broché, couverture jaune illustrée, 310 pages, bon état
Paris, Calmann-Lévy, 1961, in-8, broché, 310 pages. Bon état.