Paris, Imprimerie Nationale, Librairie L. Beauvais 1872 2 volumes. In-8 24,5 x 15 cm. Reliures demi-chagrin havane, dos à nerfs encadrés de fers dorés, IV-500-35-288-228 pp., 5-4 fac-similés, index des noms, table des matières. Exemplaires en bon état. Quelques mouillures marginales.
Publication des papiers trouvés aux Tuileries. Joint les derniers télégrammes de l’Empire, Campagne de 1870. Bon état d’occasion
P., Bureau du Journal l'Eclipse, 1874, grand in 8° relié demi-basane brune ancienne, dos lisse orné de nombreux filets dorés (dos insolé), 803 pages ; petite tache brune à quelques feuillets ; frottis et épidermures.
Très nombreuses illustrations, certaines en couleurs. PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
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Une revue de 98 pages, format 190 x 260 mm, illustrée, brochée couverture couleurs, publiée en 2012, bon état
Au sommaire : La France du Second Emire ; Napoléon III le provincial
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Une revue de 98 pages, format 190 x 260 mm, illustrée, brochée couverture couleurs, publiée en 2013, bon état
Au sommaire : Paris sous Napoléon III
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P., Garnier, 1871, 2 volumes in 12 reliés demi-percaline bleue, dos lisses ornés de doubles filets dorés, IV-486 et 288 pages ; 9 fac-similés.
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P., Flammarion, 1883, in 12 broché, 349 pages ; dos cassé ; couverture effrangée.
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[NAPOLEON III] - PERSIGNY (Jean-Gilbert-Victor Fialin, duc de) homme d’Etat du second Empire, né à St Germain-Lespinasse (Loire) en 1808, mort en 1872. Il fut le complice de Louis Bonaparte à Strasbourg (1836) et à Boulogne (1840), un des auteurs du coup d’Etat du 2 décembre 1851, qui devait marquer le Second Empire.
Reference : 86C27
Curieuse pièce. Il lui rend compte de la visite que lui a faite le comte de Lur-Saluces, un des plus grands propriétaires du midi de la France, candidat de l’opposition. Malgré cela, il est venu lui rendre visite parce qu’il le sait dévoué à l’Empereur. Malgré les traditions légitimistes de sa famille, il désire se rallier à l’Empereur qu’il admire. Son fils se présentera à saint-Cyr ; si l’Empereur voulait favoriser son entrée dans cette école, il lui en serait très reconnaissant. Ainsi, l’Empereur pourrait s’attacher une famille puissante et riche, « Un de Lur-Saluces appartient à l’une des plus illustres familles de France… ».