Paris, Michel Lévy Frères, collection Hetzel, 1860. In-12 de [2]-290-[2] pages, demi-maroquin rouge, dos à nerfs, tête teintée rouge. Choc à un coin. Reliure signée R. Petit.
Edition originale.
Paris, Librairie centrale, 1865. In-12 de [4]307p., demi-maroquin rouge, dos à nerfs, tête teintée rouge. Quelques minuscules épidermures, rares rousseurs. Reliure signée R. Petit.
Edition originale.
Paris, Michel Lévy Frère, 1867. In-12 de [4]-324p., demi-maroquin rouge, dos à nerfs, tête teintée rouge. Quelques minuscules épidermures, rares rousseurs. Reliure signée R. Petit.
Edition originale.
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1859 ; in-12 carré, demi-chagrin blond, nerfs, filet doré, non rogné, couverture conservée. (Rel. de l’époque). 2ff., 250 pp., 6ff. n. ch. (Cat. Malassis de août 1858) (Impr. à Alençon).La première édition a paru chez Malassis en septembre 1858, tirage de 1 000 ex. Cette seconde édition fut tirée à 700 exemplaires en juillet 1859. Il existe quelques rares ex. sur Hollande. « Si la vie privée de certains hommes n'a pas été respectée, n'est-ce pas leur propre faute? ... Ils ont eux-mêmes demandé la publicité pour les côtés brillants de leur existence. Ils ont encouragé les plumes amies à raconter les splendeurs que le succès leur a faites ... Et après avoir fait réclame de leurs tapis et de leurs bronzes, ces messieurs s'étonnent et poussent les hauts cris, quand, au lieu de s'en tenir à la littérature, la critique va s'occuper brutalement de la souplesse dans les salons ou de la patience dans l'antichambre. Habitués qu'ils sont à trouver le miel dans le creux du chêne, ils s'épouvantent, en avançant la main, d'y sentir une couleuvre ». Cela posé dans son introduction, Scholl, tout au long de ce livre saura en débusquer des couleuvres dans les salons, les cabarets, les antichambres et les alcôves des gens de lettres parisiens. Cela n'est pas sans faire penser à la Lorgnette de Monselet, une lorgnette-révolver en somme! On y retrouve quelques auteurs Malassis : Nadar, Monselet, Fauchery, Banville, Champfleury, les Goncourt. Launay 57 et 85 - C.P.M. 54 - C.E.B.A. 134 - Vicaire VII 428 - Jouanne 117. Qq. taches marginales.Couverture un peu salie, petite fente au dos de la reliure.Fils de notaire né à Bordeaux en 1833, Aurélien Scholl fut surnommé « le petit neveu de Chamfort ». Après de bonnes études dans sa ville natale il fut vite attiré à Paris. Dès 1850, âge d'or du journalisme, cette nature ardente et batailleuse s'exprima dans le Corsaire qui comptera parmi les victimes du 2 décembre. On retrouvera sa plume dans Paris, au Mousquetaire de Dumas, à l'Illustration, au Satan qu'il fonda, puis dans la Silhouette où il travailla avec Noriac. Mais c'est au Figaro qu'il déploya sa prodigieuse activité. Ses chroniques pénétrantes, incisives et souvent cruelles lui valurent de nombreux duels, des poursuites judiciaires et des tracasseries de toutes sortes. Le talent de Scholl valait sans doute de s'attacher à des combats plus élevés que ces attaques personnelles mises à la mode par le Figaro. Au lieu de pondre tant de satires il aurait pu se consacrer aux grandes questions politiques et, ce faisant, Scholl aurait rendu des services efficaces à la cause de la liberté. Certains articles du Nain Jaune, du Club, du Jockey et de l'Evénement le prouvent! Outre ses travaux de journaliste Scholl a écrit des romans, un recueil de vers, des pièces de théâtre. « Esprit encyclopédique qui ne croit à rien, se moque de tout mais reussit en tout », écrit Larousse. Scholl mourut à Paris en 1902. Le Petit Bottin des Lettres et des Arts a ainsi défini le personnage : «le dernier journaliste d'esprit qui porte le monocle à gauche ». Maurice Talmeyr lui consacre une longue notice dans ses Souvenirs de Journalisme. Il situe sa naissance et sa jeunesse à La Rochelle. G. Claudin évoque Scholl dans Mes Souvenirs. Les Boulevards de 1840- 70 (pp. 177-178) : « Scholl était tout jeune et très joli garçon. Les belles filles le regardaient avec beaucoup de complaisance. Lui, très myope, ne baissait pas les yeux. L'histoire rapporte qu'il accrocha beaucoup de cœurs au croc de sa moustache. Habitant la même maison que lui, je fus à même de constater que ce bruit était fondé. Scholl a tenu tout ce qu'il promettait: il a écrit une foule de choses charmantes, et a eu autant de bonnes fortunes de pleurs qu'il peut en avoir eu dans ses amours. Scholl est le véritable inventeur de ce qu'on appelle l'Écho de Paris. »
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1859 ; in-12 carré, demi-percaline rouge moderne. 2ff., 250 pp., 6ff. n. ch. (Cat. Malassis de août 1858) (Impr. à Alençon).La première édition a paru chez Malassis en septembre 1858, tirage de 1 000 ex. Cette seconde édition fut tirée à 700 exemplaires en juillet 1859. Il existe quelques rares ex. sur Hollande. « Si la vie privée de certains hommes n'a pas été respectée, n'est-ce pas leur propre faute? ... Ils ont eux-mêmes demandé la publicité pour les côtés brillants de leur existence. Ils ont encouragé les plumes amies à raconter les splendeurs que le succès leur a faites ... Et après avoir fait réclame de leurs tapis et de leurs bronzes, ces messieurs s'étonnent et poussent les hauts cris, quand, au lieu de s'en tenir à la littérature, la critique va s'occuper brutalement de la souplesse dans les salons ou de la patience dans l'antichambre. Habitués qu'ils sont à trouver le miel dans le creux du chêne, ils s'épouvantent, en avançant la main, d'y sentir une couleuvre ». Cela posé dans son introduction, Scholl, tout au long de ce livre saura en débusquer des couleuvres dans les salons, les cabarets, les antichambres et les alcôves des gens de lettres parisiens. Cela n'est pas sans faire penser à la Lorgnette de Monselet, une lorgnette-révolver en somme! On y retrouve quelques auteurs Malassis : Nadar, Monselet, Fauchery, Banville, Champfleury, les Goncourt. Launay 57 et 85 - C.P.M. 54 - C.E.B.A. 134 - Vicaire VII 428 - Jouanne 117. Qq. taches marginales.Petites rousseurs.Fils de notaire né à Bordeaux en 1833, Aurélien Scholl fut surnommé « le petit neveu de Chamfort ». Après de bonnes études dans sa ville natale il fut vite attiré à Paris. Dès 1850, âge d'or du journalisme, cette nature ardente et batailleuse s'exprima dans le Corsaire qui comptera parmi les victimes du 2 décembre. On retrouvera sa plume dans Paris, au Mousquetaire de Dumas, à l'Illustration, au Satan qu'il fonda, puis dans la Silhouette où il travailla avec Noriac. Mais c'est au Figaro qu'il déploya sa prodigieuse activité. Ses chroniques pénétrantes, incisives et souvent cruelles lui valurent de nombreux duels, des poursuites judiciaires et des tracasseries de toutes sortes. Le talent de Scholl valait sans doute de s'attacher à des combats plus élevés que ces attaques personnelles mises à la mode par le Figaro. Au lieu de pondre tant de satires il aurait pu se consacrer aux grandes questions politiques et, ce faisant, Scholl aurait rendu des services efficaces à la cause de la liberté. Certains articles du Nain Jaune, du Club, du Jockey et de l'Evénement le prouvent! Outre ses travaux de journaliste Scholl a écrit des romans, un recueil de vers, des pièces de théâtre. « Esprit encyclopédique qui ne croit à rien, se moque de tout mais reussit en tout », écrit Larousse. Scholl mourut à Paris en 1902. Le Petit Bottin des Lettres et des Arts a ainsi défini le personnage : «le dernier journaliste d'esprit qui porte le monocle à gauche ». Maurice Talmeyr lui consacre une longue notice dans ses Souvenirs de Journalisme. Il situe sa naissance et sa jeunesse à La Rochelle. G. Claudin évoque Scholl dans Mes Souvenirs. Les Boulevards de 1840- 70 (pp. 177-178) : « Scholl était tout jeune et très joli garçon. Les belles filles le regardaient avec beaucoup de complaisance. Lui, très myope, ne baissait pas les yeux. L'histoire rapporte qu'il accrocha beaucoup de cœurs au croc de sa moustache. Habitant la même maison que lui, je fus à même de constater que ce bruit était fondé. Scholl a tenu tout ce qu'il promettait: il a écrit une foule de choses charmantes, et a eu autant de bonnes fortunes de pleurs qu'il peut en avoir eu dans ses amours. Scholl est le véritable inventeur de ce qu'on appelle l'Écho de Paris. »
Paris, Dentu, Paris, Dentu(1854) ; in-12, demi-percal. grise marbr., fil. dor. (Rel. de l'époque). 2ff., 138 pp.ÉDITION ORIGINALE avec mention factice. C'est le premier livre de l'auteur. Il avait 21 ans: « dans ces Lettres à mon domestique, il n 'y a ni lettres, ni domestique. Ce titre n'est qu'un leurre, un appât. Le style en est inégal, incohérent, gêné dans les entournures, et la philosophie en serait odieuse si elle n'était idiote », avoue le jeune homme dans l'épilogue et conclut: « Nous ne saurions trop engager les pères de famille à laisser leurs enfants dans la plus complète ignorance et à désapprendre à lire eux-mêmes, si possible. Tant qu'il y aura des collèges et des professeurs, des livres et des théâtres, nous désespérerons de l'avenir ». Pour remplir les 3 derniers ff. il donne 3 poèmes. Celui intitulé Spleen a pour épigraphe la prière de Petrus Borel: « Monsieur le Bourreau, je désirerais que vous me guillotinassiez » - Vicaire VII 426. Fils de notaire né à Bordeaux en 1833, Aurélien Scholl fut surnommé « le petit neveu de Chamfort ». Après de bonnes études dans sa ville natale il fut vite attiré à Paris. Dès 1850, âge d'or du journalisme, cette nature ardente et batailleuse s'exprima dans le Corsaire qui comptera parmi les victimes du 2 décembre. On retrouvera sa plume dans Paris, au Mousquetaire de Dumas, à l'Illustration, au Satan qu'il fonda, puis dans la Silhouette où il travailla avec Noriac. Mais c'est au Figaro qu'il déploya sa prodigieuse activité. Ses chroniques pénétrantes, incisives et souvent cruelles lui valurent de nombreux duels, des poursuites judiciaires et des tracasseries de toutes sortes. Le talent de Scholl valait sans doute de s'attacher à des combats plus élevés que ces attaques personnelles mises à la mode par le Figaro. Au lieu de pondre tant de satires il aurait pu se consacrer aux grandes questions politiques et, ce faisant, Scholl aurait rendu des services efficaces à la cause de la liberté. Certains articles du Nain Jaune, du Club, du Jockey et de l'Evénement le prouvent! Outre ses travaux de journaliste Scholl a écrit des romans, un recueil de vers, des pièces de théâtre. « Esprit encyclopédique qui ne croit à rien, se moque de tout mais reussit en tout », écrit Larousse. Scholl mourut à Paris en 1902. Le Petit Bottin des Lettres et des Arts a ainsi défini le personnage : «le dernier journaliste d'esprit qui porte le monocle à gauche ». Maurice Talmeyr lui consacre une longue notice dans ses Souvenirs de Journalisme. Il situe sa naissance et sa jeunesse à La Rochelle. G. Claudin évoque Scholl dans Mes Souvenirs. Les Boulevards de 1840- 70 (pp. 177-178) : « Scholl était tout jeune et très joli garçon. Les belles filles le regardaient avec beaucoup de complaisance. Lui, très myope, ne baissait pas les yeux. L'histoire rapporte qu'il accrocha beaucoup de cœurs au croc de sa moustache. Habitant la même maison que lui, je fus à même de constater que ce bruit était fondé. Scholl a tenu tout ce qu'il promettait: il a écrit une foule de choses charmantes, et a eu autant de bonnes fortunes de pleurs qu'il peut en avoir eu dans ses amours. Scholl est le véritable inventeur de ce qu'on appelle l'Écho de Paris. »
“Vous trouverez, je crois, dans le volume intitulé Fleurs d'adultère: Paternité légale, qui pourra vous convenir. Prenez, du reste, ce qui vous plaira. 10 exemplaires me suffiront amplement.”Fils de notaire né à Bordeaux en 1833, Aurélien Scholl fut surnommé « le petit neveu de Chamfort ». Après de bonnes études dans sa ville natale il fut vite attiré à Paris. Dès 1850, âge d'or du journalisme, cette nature ardente et batailleuse s'exprima dans le Corsaire qui comptera parmi les victimes du 2 décembre. On retrouvera sa plume dans Paris, au Mousquetaire de Dumas, à l'Illustration, au Satan qu'il fonda, puis dans la Silhouette où il travailla avec Noriac. Mais c'est au Figaro qu'il déploya sa prodigieuse activité. Ses chroniques pénétrantes, incisives et souvent cruelles lui valurent de nombreux duels, des poursuites judiciaires et des tracasseries de toutes sortes. Le talent de Scholl valait sans doute de s'attacher à des combats plus élevés que ces attaques personnelles mises à la mode par le Figaro. Au lieu de pondre tant de satires il aurait pu se consacrer aux grandes questions politiques et, ce faisant, Scholl aurait rendu des services efficaces à la cause de la liberté. Certains articles du Nain Jaune, du Club, du Jockey et de l'Evénement le prouvent! Outre ses travaux de journaliste Scholl a écrit des romans, un recueil de vers, des pièces de théâtre. « Esprit encyclopédique qui ne croit à rien, se moque de tout mais reussit en tout », écrit Larousse. Scholl mourut à Paris en 1902. Le Petit Bottin des Lettres et des Arts a ainsi défini le personnage : «le dernier journaliste d'esprit qui porte le monocle à gauche ». Maurice Talmeyr lui consacre une longue notice dans ses Souvenirs de Journalisme. Il situe sa naissance et sa jeunesse à La Rochelle. G. Claudin évoque Scholl dans Mes Souvenirs. Les Boulevards de 1840- 70 (pp. 177-178) : « Scholl était tout jeune et très joli garçon. Les belles filles le regardaient avec beaucoup de complaisance. Lui, très myope, ne baissait pas les yeux. L'histoire rapporte qu'il accrocha beaucoup de cœurs au croc de sa moustache. Habitant la même maison que lui, je fus à même de constater que ce bruit était fondé. Scholl a tenu tout ce qu'il promettait: il a écrit une foule de choses charmantes, et a eu autant de bonnes fortunes de pleurs qu'il peut en avoir eu dans ses amours. Scholl est le véritable inventeur de ce qu'on appelle l'Écho de Paris. »
Michel-Lévy frères Broché D'occasion bon état 01/01/1866 284 pages
Paris, Alphonse Lemerre, 1894 1 volume 9,2 x 16cm Modeste reliure d'amateur demi-percaline marron à coins, dos muet. 1faux-titre, 1titre, 1feuillet, 39p., 3 feuillets; petits ornements. Quelques premières feuilles visiblement recollées en marge de couture; quelques rousseurs.
Long poème narratif et coquin publié en 1857 (avec pour sous-titre "historiette bourgeoise") par Aurélien SCHOLL (1833-1902), le "chroniqueur plein de verve dont les mots donnaient la gloire ou la ruinaient" (R. Dumesnil) qui a régné sur le Tout-Paris littéraire du 2nd Empire, et dont la vente avait été interdite pour cause de "passages assez lestes" (Drujon, "Catalogue des ouvrages [...] poursuivis [...]"). Ici, réédition avec poème introductif de Paul VERLAINE en édition originale: "A Aurélien Scholl" (avec indication: "Hôpital Broussais, 28 août 1893") saluant ces "mots pleins de grâces et d'audaces".
Paris Ledoyen 1857 1 vol. Relié in-32, plein veau fauve, dos à nerfs soulignés d'incises à froid se rejoignant sur les plats, monogramme doré au centre des plats (E.D.), coupes filetées, tête dorée, dentelle intérieure dorée (Gruel), non paginé (32 ff.). Édition originale de ce poème satirique qui fut interdit par mesure administrative pour ses passages "assez lestes" (Drujon, 118). Exemplaire de présent relié au chiffre de l'actrice Eugénie Doche, créatrice notamment de La Dame aux Camélias : un des 20 exemplaires sur Hollande, seul tirage en grand papier, avec un spirituel envoi autographe signé de l'auteur à sa maîtresse, daté du 1er mai 1858 : "Je n'ai qu'un souvenir confus / D'une passion qui n'est plus. / Si Denise eut été fidèle, / Dans son amour trop assidu, / Je n'aurai pas trouvé chez elle / Ce que chez toi j'aurais perdu". Figure de la bohème journalistique dans la seconde moitié du XIXe siècle, doué d'un physique agréable, Aurélien Scholl avait une réputation de "coeur d'artichaut". Le Journal des Goncourt revient régulièrement sur ses frasques, et André Billy en brosse un portrait plein de verve dans sa biographie des deux frères (p. 118-119). Mors supérieur fragile, dos éclairci et petites piqûres sur les plats, mais charmant exemplaire.
Paris, Dentu, 1886 ; in-8 (238 mm), broché; [4], 62 pp., [1] f. achevé d’imprimer, 23 planches hors-texte, certaines gravées à l’eau-forte, couverture beige en couleurs.
Edition originale de ces fables qui ne manquent pas d’intérêt et d’humour. Edition tirée à petit nombre sur vergé de Hollande plus 25 sur Japon, non numérotées. Absence des rabats de la couverture? Petites traces d’usage sans aucune gravité malgré une tache au verso d’un planche. Peu courant.
Phone number : 06 60 22 21 35
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, 1858. Petit in-12 carré de (2) ff., 250 pp. Demi-maroquin rouge à coins, double filet sur les plats, dos à nerfs orné de caissons fleuronnés, tête dorée, couvertures conservées.
Edition originale. Antoine Aurélien Scholl, né à Bordeaux le 14 juillet 1833 et mort à Paris 9e le 16 avril 19021, est un journaliste, auteur dramatique, chroniqueur et romancier français. Un beau mariage contracté en 1866 avec Irène Perkins fille d'un riche brasseur de Londres, installe Scholl dans le Tout-Paris et lui permet de laisser libre cours à son humour cinglant3. Ses articles agressifs lui firent de nombreux ennemis qui lui vaudront plusieurs duels, dont un avec Paul de Cassagnac qui le blessera grièvement.
Paris, Ed. Rouvèyre et G. Blond, 1884. In-8 demi basane blanc, dos lisse, pièce de titre en maroquin rouge, plats couverts d'un tissu à fleurs, couverture d'origine conservée. 58 pp. Aquarelles de Grivaz, gravées par Arents. Tirage à petit nombre (100 ex) sur papier du Japon. Gravures en n&b et en bistre. Mise à part quelques rousseurs sur les pages avant le texte, l'intérieur très frais. Couverture un peu sallie. Les aquarelles de cet oeuvre poétique et légèrement érotique sont magnifiquement gravées.
- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.
Photo. Né à Bordeaux. 1833-1902. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.
- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.
Photo. Né à Bordeaux en 1833. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.
- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.
Photo. Né à Bordeaux. 1833-1902. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.
- Trois pages 19 x 27 cm.
Vieux papier. Vin Mariani, 1897.
Paris, E. Dentu, 1886. 1 feuillet blanc. Couverture conservée. 3 feuillet. 62 pages. 23 planches. 3 feuillets. (23x15 Cm). Demi-chagrin. Dos à nerfs. Titre doré. Coins légerement émoussés. Papier un peu bruni. Quelques taches et rousseurs. Bon état. Spirituelle interprétation des Fables par Aurélien Scholl, qui garde souvent l'essentiel du texte et de la structure originelle pour modifier la chute ou la morale. Tirage à petit nombre. Exemplaire sur vergé de Hollande. Illustré de 23 figures hors-texte en noir dont 10 eaux-fortes, et de nombreuses vignettes. Couverture d'origine illustrée en couleurs conservée.
Paris, à la Librairie illustrée, impr. Louis Boyer, à Asnières 1887 In-12 18,5 x 10,5 cm. Bradel polychrome, pièce de titre percaline rouge, 375 pp., tables des noms cités dans le volume, table des matières. édition originale d’un ouvrage peu courant. Accroc en tête de dos, rousseurs éparses.
Bon état d’occasion
1 page in-12 à l'en-tête imprimé du "Cercle de l'escrime", 17 février 1891. Mot à la tonalité amicale : "Tu serais bien aimable de me fixer un rendez-vous, soit dans ton cabinet directorial, soit même à la librairie Achille. Je vais faire deux petites absences, Bordeaux, puis Bruxelles, et j'aurais l'esprit plus calme si nous avions décidé quelque chose".
1883 1 Ex-libris. Tiré à petit nombre. Paris, Rouveyre et Blond, 1883, in-8° de 58 pages dont titre-frontispice gravé, relié demi-percaline bleue à la bradel, dos lisse légèrement passé, titre or sur pièce peau, date or en pied, tête dorée, couvertures conservées. (reliure signée de Petitot)
Les amusantes aquarelles de Grivaz encadrent finement ce poème satirique jugé si leste à sa parution en 1857 qu'il fut interdit à la vente. Aurélien Scholl (1833-1902) régna sur le Tout-Paris littéraire du Second empire. Vicaire VII, 427 - Carteret II, 331 - Drujon, p. 118.
Imprimerie des arts et manufactures et Dubuisson.. 8 avril 1894. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 8 pages environ, illustrées de gravures noir et blanc. Premier plat de couverture illustrée d'une gravure en couleur par Steinlen. . . . Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens
"Une maison honnête par Aurélien Scholl, Le Demi-crime par Paul Hugounet, Paralelle par Jean Rameau, Nocturne de la 12° heure par Henry d'Erville, Planche de dessins hors texte par Guillaume, Noël joyeux par Armand Silvestre avec gravure dans le texte par Japhet, Partition ""Alléluia du cheminot"" par Aristide Bruant avec gravure couleur dans le texte par Steinlen Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens"
JUNG-TREUTTEL. 1862. In-12. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos abîmé, Mouillures. 360 pages -Traces de mouillure en pied des pages sans conséquence réelle sur la lecture - Dos abimé et bruni - VENDU EN L'ETAT - . . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
COLLECTION HETZEL. // NOTA : Aurélien Scholl, né à Bordeaux le 14 juillet 1833 et mort à Paris le 16 avril 1902, est un journaliste, auteur dramatique, chroniqueur et romancier français.Il repose au cimetière de la Chartreuse à Bordeaux. Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Paris, E. Dentu, 1886. In-8, (4)-58-(6) pp., broché, couverture illustrée rempliée (défauts à la couverture ; sinon intérieur bien frais).
"Tirage à petit nombre sur vergé de Hollande". Illustré de 23 figures hors-texte en noir dont 10 eaux-fortes, et de nombreuses vignettes.* Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Tirage à petit nombre sur papier vergé de Hollande, illustrations de E. Grivaz, 1 vol. in-8 br., E. Dentu, Paris, 1886, 62 pp.
Spirituelle interprétation des Fables par Aurélien Scholl, qui garde souvent l'essentiel du texte et de la structure originelle pour modifier la chute ou la morale. Etat très satisfaisant (petits défauts en dos, très bon état intérieur)