Paris Musée National D'Art Moderne 1974 212x212mm, 32p., broché sous couverture à double rabat, portrait photographique de l'artiste en couverture. Catalogue de l'exposition organisée par le Musée d'art moderne de la Ville de Paris, du 1er au 31 mai 1974, par Bernadette Contensou, commissaire et Eleonore de Lavandeyra, collaboratrice. L'ouvrage contient des citations de Nicolas Schöffer, une notice biographique, la liste des films sur les recherches de Nicolas Schöffer, la liste des oeuvres exposées, la table des illustrations. (101002)
Bon Couverture souple
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Paris, Galerie Denise René avril-mai 1970, 220x220mm, 36p., broché sous couverture photographique à rabats. Texte de Philippe Sers, très nombreuses reproductions photographiques en noir et en couleurs, biographie. Quelques défauts.(101550)
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SCHÖFFER (Nicolas) sculpteur et peintre cinétique français d’origine hongroise. (1912-1992) Grand prix de la Biennale de Venise en 1968.
Reference : 167C30
Très bel ensemble lié à la conception du ballet KYLDEX (Kybernetische Luminodynamische Experiment 1), ballet qui fut créé en 1973 à l’opéra de Hambourg (Hamburgische Staatsoper), dirigé par Rolf Liebermann, avec une chorégraphie d’Alwin Nikolais, une musique de Pierre Henry et des décors de sculptures et de lumières de Nicolas Schöffer. Dans sa lettre, Schöffer explique à son correspondant les plans des séquences, ainsi que la programmation de S1, plans qu’il lui joint. « les autres suivront, que vous pourrez coller sur les autres plans. Nous nous reverrons fin de mois comme prévu. ». Cette œuvre comportait 15 séquences de base de 3 à 15 minutes avec des effets obtenus par 150 flashs électroniques complétés par 25 projecteurs à programmation colorée. Le décor comportant 5 sculptures géométriques de 6,50 m de haut soutenant des miroirs mobiles. Parmi les 15 séquences sur lesquelles le public pouvait agir, un solo de danse se doublait des effets saisissants d'un eidophore. Deux caméras permettaient de faire apparaître la danseuse entière ou en partie, démultipliée par des effets d'échos... Ce spectacle « pluri-artistique » original, ouvert à l'intervention du spectateur et nourri de techniques audiovisuelles expérimentales qui pouvait être redemandé par le public, selon leur désir et la curiosité : répétition pure et simple, ou accélérée (double vitesse). Il y eut même le rythme cardiaque d'un spectateur qui apparut sur l'écran en même temps que le bruit des battements, et la danseuse eut l'esprit d'en jouer avec beaucoup d'humour.