Lettre tapuscrite signée datée du 31 janvier 1948, en allemand, accompagnée de sa traduction en français, manuscrite. Hartmann demande à Aelberts des partitions de Schöenberg : « je tiens beaucoup à montrer à notre jeunesse la musique de Schöenberg, car cette jeunesse est très décidée et réellement désireuse de s’occuper de problèmes nouveaux ». Hartmann précise également en fin de lettre qu’il faut « vous faire savoir que je suis antifasciste ». 2 pages in-8.