7 books for « sartre jean paul rou... »Edit

‎Entretiens sur la politique.‎

‎ In-12, broché, couverture imprimée, 215 p. Paris, Gallimard, 1949.‎

‎Edition originale. ‎

‎ENTRETIENS SUR LA POLITIQUE.‎

‎ Paris, Gallimard, 1949. In-12 broché, 215 pages. Edition originale. Un des 60 exemplaires numérotés sur vélin (n° 41), seul tirage en grand papier. Bel exemplaire. ‎

‎EDITION ORIGINALE SUR GRAND PAPIER ‎

‎Entretiens sur la politique‎

‎Gallimard, Paris 1949, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 60 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Deux petites traces d'insolation en tête et en pied du dos, sinon agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Entretiens sur la politique ‎

‎Gallimard, 1949, in-12 br. (12 x 18,5), 215 p., E.O., exemplaire de SP, papier uniformément jauni, sous papier cristal, bon état. ‎

4 Images

‎Voir le sommaire sur photos jointes. ‎

‎Entretiens sur la Politique.‎

‎ Gallimard, 1949, in-12, 215 pp, broché, bon état‎

‎"Que le titre d'entretiens, consacré par une longue tradition philosophique, ne nous fasse pas illusion : il s’agit bel et bien d’un pamphlet politique. Malgré le ton extrêmement vif des polémiques engagées, l’intérêt philosophique et éthique de ces pages ne se relâche point. Ce livre (ou du moins certaines de ses parties) survivra aux événements qui lui ont donné naissance. D’abord par sa critique du communisme qui relève de la même inspiration· que celle que l’on retrouve dans le beau livre de M. Merleau-Ponty, Humanisme et Terreur (Paris, 1947). Cette critique est loyale parce qu’elle se situe dans la ligne du marxisme ; elle ne juge pas le communisme à d’autres critères que celui dont il se réclame, l’orthodoxie marxiste ; elle porte sur trois points capitaux : 1) le communisme n’a pas organisé la démocratie ouvrière, alors que Marx soutenait pourtant que chaque moment de la lutte des classes devait être un palier de rémancipation ouvrière et qu’on ne peut sérieusement rechercher cette fin si on la bafoue pendant la lutte ; 2) le communisme n’a pas vu qu’il ne suffisait pas de briser les rapports actuels de production pour amener le socialisme ; 3) sans doute le marxisme enseigne bien la nécessité de l’avènement du socialisme après la dislocation du régime capitaliste, mais cette nécessité est subordonnée à un dépérissement effectif de la puissance de l’Etat, ce qui paraît être le dernier souci de l’actuel communisme. D’autre part M. Sartre, en quelques pages très denses (p. 105-106), fait apparaître la valeur éthique du besoin et de la revendication qui se fonde sur le besoin : «...La faim, c’est beaucoup plus que la faim : tout besoin se dépasse lui-même vers un humanisme. » Tout besoin qui s’avoue devant autrui devient une cause en même temps qu’un générateur d’idées. C’est pourquoi la seule politique honnête est une politique expérimentale, qui s’élabore au niveau des besoins concrets de l’homme, qui se vérifie dans la confrontation des revendications particulières, qui est donc à l’opposé de l’idéologie et de toute mystification idéaliste." (R. Mehl, Revue d'Histoire et de Philosophie religieuses, 1950) ‎

‎Entretiens sur la politique.‎

‎ Paris, Gallimard 1949, 190x120mm, 215pages, broché. Bel exemplaire.‎