Dans la NOUVELLE REVUE FRANÇAISE , n° 305, février 1939 (pp. 212-232). Exemplaire du rare tirage de luxe numéroté sur vélin pur fil. Très bon état.
" M. Mauriac a choisi la toute-connaissance et la toute-puissance divine. Mais un roman est écrit par un homme pour des hommes. Au regard de Dieu, qui perce les apparences sans s'y arrêter, il n'est point de roman, il n'est point d'art, puisque l'art vit d'apparences. Dieu n'est pas un artiste ; M. Mauriac non plus. "