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La vénerie royale - divisée en IV parties ; qui contiennent les chasses du Cerf, du Lièvre, du Chevreuil, du Sanglier, du Loup, & du Renard. Avec le denombrement des forests & grands buissons de France, où se doivent placer les Logemens, Questes, & Relais, pour y chasser.
A Paris chez Antoine de Sommaville et André Soubron, 1655. In/4 reliure (19è) demi-chagrin noir, dos lisse à caissons ornés, 14 ff. (beau frontispice gravé sur cuivre, préface, tables), 437 p., 4 f. n. p. Erreur de pagination en fin de volume où les numérotations sont reprises ; également 2 pages sont doublées en milieu d'ouvrage : 168/169 (intercallée entre les pages 189/190) ; rousseurs éparses et auréoles claires en bordure de certains feuillets. Edition originale.
Traité, destiné, dans l’esprit de l’auteur à remplacer celui de Du Fouilloux, que l’auteur trouvait écrit dans un langage trop libre. Doué d’un prodigieux esprit d’observation, il avait appris à connaître les animaux de nos forêts. Il nous a laissé des détails, non seulement sur la manière de les chasser, mais aussi sur leurs habitudes, leurs ruses et leurs instincts. Il contient les chasses du cerf, du lièvre, du chevreuil, du sanglier, du loup et du renard. Avec la manière d’élever les chiens et un traité des remèdes pour leurs maladies. Brunet T.5, Thiebaud col. 823/824.
La vénerie royale divisée en IV parties ; qui contiennent les chasses du Cerf, du Lièvre, du Chevreuil, du Sanglier, du Loup, & du Renard. Avec le denombrement des forests & grands buissons de France, où se doivent placer les Logemens, Questes, & Relais, pour y chasser.
A Paris André de Sommaville et chez André Soubron, 1655. In/4 reliure plein veau du temps, dos à caissons aveugles, 12 f.(épitre, préface, tables), 437 p., bandeaux, lettrines historiées et culs de lampes. Reliure forttée et usure marquée sur un coin. Erreur de pagination en fin de volume où les numérotations sont reprises ; également 2 pages sont doublées en milieu d'ouvrage : 168/169 (intercallée entre les pages 189/190) comme toujours ; rousseurs éparses.
traité célèbre, destiné, dans l’esprit de l’auteur, à remplacer celui de Du Fouilloux, que l’auteur trouvait écrit dans un langage trop libre. Doué d’un prodigieux esprit d’observation, il avait appris à connaître les animaux de nos forêts. Il nous a laissé des détails, non seulement sur la manière de les chasser, mais aussi sur leurs habitudes, leurs ruses et leurs instincts. Il contient les chasses du cerf, du lièvre, du chevreuil, du sanglier, du loup et du renard. Avec la manière d’élever les chiens et un traité des remèdes pour leurs maladies. Brunet T.5, Thiebaud col. 823/824.
