Paris, Baudouin frères, 1827; 3 vol. in-8, XX-366 pp., 390 pp. et 397 pp., demi-veau framboise à coins, dos lisse orné de filets et fleurons dorés, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Dos passés. Abondantes rousseurs.
Edition originale du premier ouvrage notable de Louis-Clair Beaupoil de Sainte-Aulaire (1778-1854), qui fut préfet sous Napoléon et député du Gard sous la monarchie restaurée. C'est aussi l'une des premières monographies à s'intéresser exclusivement à ce mouvement de révolte.Ex-libris Bibliothèque de Mr de Barante. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, E. Ducrocq, Libraire-éditeur, coll. « Bibliothèque classiques des célèbrités contemporaines » 1860 2 volumes. In-8 22 x 13 cm. Reliures éditeur demi-chagrin vert, dos à nerfs ornés de cadres dorés, armoiries de Napoléon III sur les premiers plats, portrait de Sainte-Aulaire en frontispice, XXXI-344-348 pp., table.
Bon état d’occasion
Paris, Ladvocat, 1820; in-8, [4]-XXIV-76 pp., dérelié.
En raison de l'état de la législation en vigueur, l'affaire Donnadieu entre les familles victimes de la répression de 1817 à Grenoble et le général avait dégénéré en cause politique et s'était mêlée à l'opposition à Decazes (le ministre avait désavoué la répression). Le comte de Sainte-Aulaire essaye de ramener la question au droit pur. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Ladvocat, 1820 in-8, [4]-XXIV-76 pp., cartonnage Bradel de papier cerise, dos lisse, pièce de titre cerise en long, tranches mouchetées (reliure moderne). Bon exemplaire.
En raison de l'état de la législation en vigueur, l'affaire Donnadieu entre les familles victimes de la répression de 1817 à Grenoble et le général avait dégénéré en cause politique et s'était mêlée à l'opposition à Decazes (le ministre avait désavoué la répression). Le comte de Sainte-Aulaire essaye de ramener la question au droit pur. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1827 Paris, Baudouin frères, 1827, 3 tomes en 3 volumes in-8 de (4)-XX-366 pp. ; (4)-390 pp. ; (4)-397 pp., reliure de l'époque de demi-veau chamois à coins, dos à nerfs ornés de fers romantiques dorés, pièces de titres et de tomaisons brun foncé, travail de ver dans les marges à la fin du 3e volume ne génant pas la compréhension du texte.
Edition originale. Ex libris armorié gravé.
P., A la librairie française de Ladvocat, 1820. In-8 broché (217x139 mm), IV-76 pp.
Réponse au Mémoire de Pierre-Antoine Berryer, avocat, journaliste et député, sur l'affaire du général Donnadieu, faisant suite aux évènement de Grenoble des 4 et 5 mai 1816, au cours desquels il réprima l'insurrection menée par Didier. "Une justification de M. le général Donnadieu, dans une affaire qui lui est personnelle, est devenue sous la plume de son avocat un libelle diffamatoire contre le duc Decazes. [...] Il est possible que cet écrit, quoique borné à la défense de M. Decazes, fasse ressortir des vérités accusatrices pour ses adversaires; c'est un avantage que je prévois sans le chercher, ce sera la faute des faits et des pièces que j'ai cités." Manque la couv., rousseurs éparses, exemplaire correct. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
P., A la librairie française de Ladvocat, 1820. In-8 broché (217x139 mm), couv. imprimée, IV-76 pp.-[2] ff. volants (catalogue).
Réponse au Mémoire de Pierre-Antoine Berryer, avocat, journaliste et député, sur l'affaire du général Donnadieu, faisant suite aux évènement de Grenoble des 4 et 5 mai 1816, au cours desquels il réprima l'insurrection menée par Didier. "Une justification de M. le général Donnadieu, dans une affaire qui lui est personnelle, est devenue sous la plume de son avocat un libelle diffamatoire contre le duc Decazes. [...] Il est possible que cet écrit, quoique borné à la défense de M. Decazes, fasse ressortir des vérités accusatrices pour ses adversaires; c'est un avantage que je prévois sans le chercher, ce sera la faute des faits et des pièces que j'ai cités." Pâles rousseurs, bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris Firmin Didot frères 1848 in-8 dérelié
32 pp.Seulement deux exemplaires au CCF (BnF et Institut). Jean-Baptiste Maximilien Villot de Fréville avait été préfet de Jemmapes en 1810, puis intendant de la province de Valence en 1812, préfet du Vaucluse en 1813, puis préfet de la Meurthe. Révoqué du Conseil d'État en 1815, lors de la deuxième Restauration, il retrouva ses fonctions en 1824. Rallié à la Monarchie de Juillet, il fut nommé Pair de France le 11 octobre 1832
Paris : Hacquart, 1822 In-8, 15 pages. Broché, non rogné.