Paris, Calmann-Lévy, 1892, 1 volume, in-12, broché, IV-389 p.. Seconde édition. Couverture poussièreuse, manque de papier, le dos commence à se fendiller, intérieur très propre.
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Paul de Saint-Victor (1827-1881), écrivain. L.A.S., sd, 1p in-8. A Marc Fournier (1818-1879), directeur du théâtre de la Porte Saint-Martin. Il lui demande « une bonne loge ». [373]
Reçu signé par Paul de Saint-Victor, à l’en-tête du « Journal Le Pays », concernant un article sur les Beaux-arts, reçu établi pour la somme de cinquante francs, « pour honoraires de rédaction du mois d’avril 1854 ».
« Je viens d’apprendre votre indisposition. Guérissez-vous bien vite et en attendant ayez la bonté de remettre au porteur de ce billet le coupon du gymnase qui vous a été envoyé aujourd’hui. J’ai l’intention d’y aller… ». Dans la seconde lettre, il lui recommande de conserver « la loge » et s’il consent de se rendre au spectacle, il lui conseille de n’amener que Mme Dutacq, car « nous serions trop gênés en plus grand nombre ».
SAINT-VICTOR (Paul de), essayiste et critique littéraire français (1827-1881).
Reference : HCJA95
« Le nom que vous portez ne m’est pas inconnu, je l’ai souvent admiré au bas d’œuvres très remarquables et il m’est très doux de le retrouver dans la signature de cette lettre si cordiale et si bienveillante. L’hiver prochain, je publierai un volume qui sera bientôt suivi de 2 autres. Vous me permettrez de vous l’adresser comme un témoignage de la reconnaissance que m’inspire votre démarche amicale.».