1929 Paris Librairie Honoré Champion 1929 Un volume in°8 broché 212 pages A22
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1917 Paris Ernest Flammarion éditeur 1917 Un volume in°12 broché 360 pages A22
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1926 Prague Edition Plamja 1926 Un volume grand in-4 broché Avec 52 pages de texte, avec 100 planches en noir et 10 en couleurs. Tirage limité à 300 exemplairesTRES BON ETAT LR23
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1951 STALINE ET LES FORCES ARMEES DE L'URSSMoscou Editions des Langues Etrangères 1951 Un volume in°12 reliure éditeur plein skivertex bordeaux 130 ppAvec un portrait en couleur de Staline en frontispiceTRES BON ETAT
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1903 Paris Librairie Hachette 1903 Un volume in-12 reliure demi toile à coin bleu à la bradel,couv conservée pièce de titre en cuir (reliure postérieure) 274 pp Ouvrage illustré de 51 gravures photographiquesTRES BON ETAT Manque de papier sur la couverture
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ANNA FEODODOVNA (Julienne de Saxe-Cobourg-Saalfeld) Grande duchesse de Russie (1781-1860 à Elfenau), par son mariage avec le grand-duc Constantin Pavlovitch de Russie, fils de Paul 1er de Russie et de Marie Féodorovna.
Reference : 42hC27
Octobre 1838, elle est dans sa résidence d'Elfenau, près de Berne en Suisse, qu'elle avait acquise en 1814 pour s'y installer définitivement. Ce furent les conséquences d'une union malheureuse avec le grand duc Constantin Pavlovitch de Russie, qui l'amena à quitter définitivement la Russie impériale pour ne jamais y revenir. Le mariage fut officiellement dissout en 1820, par l'empereur d'Alexandre 1er de Russie. Ces lettres sont adressées au neveu de Marguerithe de Wilderneth, qui fut la gouvernante d'Alexandra Féodorovna, mais aussi la gouvernante et surtout la confidente de Marie Féodorovna. Elle est confuse et chagrinée que ses paroles n'ont pas été comprises lors du dernier échange de lettres, mais surtout, lors de la dernière promenade en sa compagnie ; Mr de Wildermeth supposant que sa sœur, pouvait se tenir à son service. Elle s'en explique : « Lorsque j'énonçais ma répugnance à voir occuper la place devenue vacante dans ma maison ; envisageant cette nécessité avec une sorte de méfiance quant à la réussite satisfaisante, je disais toute ma pensée : cet éloignement subsiste toujours également en moi, jusqu'à ce que l'expérience m'en aura guérie. Force fut cependant de former enfin un choix. Depuis quelque mois déjà ce choix est fait, que des considérations aux affaires de famille de la personne m'oblige à tenir secret encore, jusqu'au moment où elle pourra me rejoindre dans ce pays pour se rendre à son poste. Je n'ai pas besoin d'ajouter, qu'il me serait impossible actuellement de rompre ce qui a été voulu à cet égard, sans me rendre coupable d'une grande inconséquence ». Toutefois, si un évènement imprévu permettait de recourir à un nouveau choix, elle ne manquerait pas de revenir vers lui, où elle pourra témoigner avec beaucoup d'empressement, sa considération sincère, pour « l'aimable frère de ma digne et si chère amie !...». Janvier 1839, alitée par une santé diminuée, causée par la goutte, elle ne peut lui répondre, « préférant ne rien dire que dire deux mots insignifiants ». Le 1er avril 1839, sur sa demande, elle lui conseille d'inscrire sur la tombe de sa tante, récemment décédée, un passage de la Bible. « Il est si beau si simple et vrai ! et va si bien à cette admirable amie, sacrée à nos cœurs ». Elle lui rappelle que sa tante avait servi l'impératrice, et qu'il serait mieux, peut-être, de ne point se servir du langage poétique à son égard et que dans le cas où il conviendrait, « de faire cependant mention de la haute vocation que Mademoiselle votre tante eut auprès delle. ». Le lendemain, elle lui assure que la voie la plus sure, par rapport à une lettre pour le roi de Prusse, serait de l'adresser directement au roi, « auquel j'écrierai en même temps, et le prierai d'accorder sa protection et sa recommandation ». Elle adressera en complément de son côté une lettre à l'impératrice. Quelques jours plus tard, le 4 avril, elle lui adresse la lettre pour le roi (Frédéric Guillaume III de Prusse, 1770-1840), qu'elle a rédigée à son attention, en espérant qu'elle lui facilitera « toutes les aspérités de la route », ajoutant, qu'elle a mis le roi au fait « de l'envoi précipité ; et je lui ai communiqué le désir de notre précieuse Russie concernant la continuation de la pension, en même temps que je l'ai prié de vous prendre vivement sous sa protection et de vous recommander en Russie ». La grande enveloppe à l'adresse du Roi, qu'elle lui a fait porter, servira pour renfermer sa lettre, ainsi que les deux autres, qu'elle écrira pour le roi et l'impératrice ; « Vous aurez la complaisance Monsieur, de couler ensuite un peu de cire sous mon cachet volant et de faire mettre ce paquet à l'adresse du roi, à la poste ». C'est seulement le 11 avril qu'elle lui adresse les lettres. « J'aurai désiré pouvoir vous faire parvenir plus tôt, si le triste état de mes yeux ne m'en avais empêché. Cette infirmité me servira d'excuse auprès de l'Imp (ératrice) : j'espère, pour mon insigne gribouillage dans le volume que je viens de lui adresser, que mes misères m'excusera également auprès de vous. ». Enfin, elle lui demande de lui adresser la liste de prix des objets qui seront mis en vente à l'occasion de la succession de sa tante, « j'aimerais pouvoir en acquérir ».
[Napoléon, Campagne de Russie, 1812], Deuxième bulletin de la Grande Armée : justification de la campagne de Russie et fameuse proclamation de l'empereur du 22 juin 1812 à Wilkowisky qui lance le départ en Russie. [Paris], imprimerie de Chaignieau aîné, [1812]. 4p in-4. Célèbre périodique, ici dans sa 4e série qui connut 29 numéros, soit en livraison comme ici, soit en placard. Les nouvelles données étaient évidemment enjolivées et l'expression « menteur comme un bulletin » s'est développée au sein des grognards. Nous vendons plusieurs numéros de cette rare série. [40-2]
MECKLEMBOURG-STRELITZ (Georges de) prince de la Maison de Mecklembourg, qui régna sur le grand-duché de Mecklembourg-Strelitz de 1816 à sa mort. (1779-1860) Lettre autographe signée à Marguerithe de Wildermeth (1777-1839), dame des ordres impériaux et royaux de Sainte-Catherine, gouvernante de l’impératrice de Russie Marie Feodorovna (1777-1839), et de sa belle-fille Charlotte de Prusse, la fille ainée de Frédéric Guillaume III, future épouse de Nicolas 1er empereur de Russie, sous le nom d’Alexandra Feodorovna.
Reference : 28C22
Il faut savoir que la pierre malachite était utilisée communément en Russie par les tsars en tant que pierre de décoration, mais était surtout connue pour ses vertus protectrices, également pour lutter contre les énergies néfastes, notamment préconisée pour protéger les enfants contre les maladies mortelles. «…Aujourd’hui, où je me trouve enfin en possession de ces charmants petits objets, rien ne devra plus m’empêcher de laisser un libre cours à la joie que j’éprouve mais jamais je ne pourrais décider si c’est votre complaisante amitié, ou l’excellence de votre goût, que je dois admirer le plus. Croyez ma chère Wildermeth que je sais apprécier l’une et l’autre comme je le dois, et que par conséquent ma reconnaissance est extrême. Malgré tout cela vous ne serez pas surprise d’apprendre que les Malaquits n’ont fait que la partie inférieure de votre envoi et que ce qui l’emporte mille fois sur eux en prix et en agrément ». A propos de Charlotte, la future impératrice de Russie (en 1825), « C’est vraiment une bonne œuvre que vous avez faite ma chère Wildermeth que d’être entrée dans tous ces intéressants détails car quoique je savais Charlotte heureuse autant que je pouvais le savoir par des voies que vous connaissez, vous sentez bien que de telles données ne pouvaient me suffire. Soyez donc (vous qui savez combien j’aime Charlotte) de l’espèce de jubilation auxquelles je me suis livré en me disant que c’était vous qui m’apprîtes tout ce que je pouvais désirer à son sujet. Dieu vous le rende, ma chère Wildermeth et qu’il daigne continuer à bénir cette si digne Fille de la céleste Mère. J’imagine que votre solitude doit vous paraître bien douce, quand vous vous dites que c’est vous qui avez développé ce charmant naturel, qui l’avez préservé du souffle empoisonné du monde, qui avez dirigé enfin son esprit et son cœur de manière à en pouvoir trouver que le bonheur dans ce monde moins dans l’autre. Je vous en remercie pour ma part et au nom de celle que nous regretterons éternellement. Je vous dis cela bien du fond de mon cœur. Quand vous écrirez à Charlotte dite-lui mille choses tendres et affectueuses de ma part et parlez-lui de la satisfaction qu’à reproduit l’envoi des Malaquits. Elle m’a écrit une longue et délicieuse lettre peu de temps après votre départ, pour me féliciter de la bien heureuse naissance de mon fils […] Oui ma chère Wildermeth, il est le seul tyran qui me suffit, car depuis que Dieu m’a donné ce garçon je suis vraiment aussi heureux que l’on peut l’être ici -bas, et je sens vivement que jamais je ne pourrais mériter ce bonheur autant que je voudrais. Je n’ai plus qu’un seul vœu, c’est que Dieu me conserve ce qu’il m’a donné et tout autre vœu aussi serait le comble de la témérité et de l’indiscrétion… ». Il en arrive à parler de lui-même ainsi que sur la dame Marchetti, « et son ci-devant compagnon d’infortune. Comme cette bonne femme n’a jamais ambitionné un amant en forme et qu’elle avait grandement besoin d’en trouver un pour sa voix j’ai été vraiment enchanté d’apprendre que son bon génie le lui a fait rencontrer à Moscou, sans pourtant être tout à fait exempt de jalousie, vu que je suis également un de ses amants de ce genre et que par conséquent mon amour propre est très blessé, qu’elle n’a pas seulement voulu m’apprendre d’avoir trouvé ma pareille. J’espère de déterrer son adresse pour lui faire de tendres reproches… ».
Paris, Maradan 1801 6 volumes in-8, plein veau raciné époque, dos lisses teintés en vert et richement ornés, roulette dorée encadrant les plats et sur les coupes, XX-400- 451- 464- 432- 419- 384 pp. Bel exemplaire
Edition originale de la traduction française donnée par l'abbé de Bassinet de cette importante histoire de la Russie traitant principalement de la géographie, de l'économie et de la population. L'auteur avait une bonne connaissance de la Russie pour y avoir séjourné près de 20 ans en tant que chapelain de l'église anglicane de Saint-Pétersbourg. Bon état d’occasion
Capitaine Jacques Sadoul - Membre de la Mission militaire en Russie
Reference : Zu452
(1919)
Paris La Sirène 1919 Fort et grand In8 - broché - non coupé - 465 pages - édition originale sur grand papier , un des 18 exemplaires sur vélin ( N.5) C'est avec une mission officielle très confidentielle que le capitaine Jacques Sadoul part en 1916 en Russie tsariste : Albert Thomas, ministre socialiste dans le cabinet de Clemenceau, veut avoir des renseignements de première main sur les événements politiques qui agitent le pays « allié ». Arrivé le 1er octobre 1917 à Pétrograd et rattaché, avec son grade, à la mission militaire française en Russie, Jacques Sadoul commence, avec Albert Thomas, une correspondance précise et passionnante, qui demeure - plus de cinquante ans après avoir été écrite - l'un des plus importants documents sur la Révolution russe édité en France. Poursuivie jusqu'en janvier 1919, cette correspondance décrit les événements capitaux, rapporte les attitudes, les comportements, les décisions des hommes de la Révolution. Jacques Sadoul est à l'Institut Smolny, le soir du 7 novembre ; il y rencontre, le 8, les responsables bolcheviques, fait connaissance avec Lénine, avec Trotsky. D'abord témoin, très extérieur, d'un bouleversement aux répercussions mondiales, il sympathise de plus en plus avec les révolutionnaires. Les notes sur la révolution bolchevique s'arrêtent à la date du 17 janvier 1919. Leur auteur n'en poursuit pas moins son action. Il adhère au communisme, prend part à la guerre civile, en tant qu'instructeur de l'Armée rouge, accomplit différentes missions en Italie et en Allemagne. En France, ce livre publié en 1919, fit quelque bruit .
Bon Edition originale
[Imprimerie J. R. Lottin, imprimeur de la Préfecture de Police, Cour de la Sainte-Chapelle, n° 1, division du Pont-Neuf, An XIV] 34ème bulletin. 9 décembre 1805. « L’empereur a reçu aujourd’hui M. le prince Repnin fait prisonnier à la bataille d’Austerlitz à la tête des chevaliers-gardes, dont il était le colonel. S.M. lui a dit qu’elle ne voulait pas priver l’empereur Alexandre d’aussi braves gens, et qu’il pouvait réunir tous les prisonniers de la garde impériale russe et retourner avec eux en Russie. S.M. a exprimé le regret que l’empereur de Russie eût voulu livrer bataille, et a dit que ce monarque, s’il l’avait cru la veille, aurait épargné le sang et l’honneur de son armée… ». 35ème bulletin. 10 décembre 1805. « L’armée russe s’est mise en marche le 17 frimaire sur trois colonnes, pour retourner en Russie. La première a pris le chemin de Cracovie et Therespol : la seconde, celui de Kaschau, Lemberg et Brody, et la troisième, celui de Cizrnau, Wotrell et Hussiatin. À la tête de la première, est parti l’empereur de Russie avec son frère le grand-duc Constantin. Indépendamment de l’artillerie de bataille, un parc entier de cent pièces de canon a été pris aux Russes avec tous leurs caissons. L’empereur est allé voir ce parc ; il a ordonné que toutes les pièces prises fussent transportées en France. Il est sans exemple que, dans une bataille, on ait pris cent cinquante a cent soixante pièces de canon, toutes ayant fait feu et servi dans l’action. Le chef d’escadron Chaloppin, aide-de-camp du général Bernadette, a été tué… ».
SENAC DE MEILHAN Gabriel [MARIA FEODOROVNA Impératrice de Russie]
Reference : 82241
(1786)
S.n., A Londreset se trouve à Paris 1786, in-8 (12x19,6cm), (4) XV, 267pp., relié.
Edition originale. Reliure aux armes de Maria Feodorovna, impératrice de Russie, néePrincesse Sophie-Charlotte de Wurtemberg-Montbéliard (1759-1828),mère des Tsars Alexandre 1er et Nicolas 1er, et épouse de Paul 1er.Aigle à deux têtes soutenant à droite l'emblème de l'Empire russe et à gauche celui du Wurtemberg, encadré du ruban de l'ordre de Sainte Catherine. Reliure russe en plein maroquin rouge d'époque, dos cinq nerfs orné de caissons et fleurons dorés, pièce de titre de maroquin vert, plats frappés en leurs centres des armes de la tsarine, filets et roulette dorés en encadrement, filet à froid sur les coupes, toutes tranches dorées. Petite virgule noire en bas du plat supérieur, un coin légèrement accidenté. Papier bien frais avec quelques rares piqûres et des brunissures dans les marges des pages de garde. Provenance: de la bibliothèque du Palais de Pavlovsk avec son étiquette de rangement apposée au premier contreplat. Catherine II de Russie offrit ce domaine, dont la construction s'étala de 1782 à 1786, à son fils unique Paul Ier pour célébrer la naissance de son premier enfant. C'est Maria Feodorovna qui fut chargée de l'aménagement des pièces et qui, avec son époux, fit l'acquisition en Europe de nombreux meubles, livres, tapisseries et tableaux, faisant de ce fastueux palais l'une des plus belles propriétés de Russie. C'est là qu'elle créa son salon littéraire et organisa des soirées théâtrales et musicales pour son entourage. En lectrice très assidue, elle constitua une importante bibliothèque dont tous les ouvrages, habillés de maroquin rouge, portent ses armes. Au décès de Catherine II et devenue impératrice, Maria Feodorovna soutint fortement les arts qu'elle aimait, créant de nombreux organismes de bienfaisance mais aussi les toutes premières écoles pour femmes de Russie. L'impératrice vécut au Palais de Pavlovsk jusqu'à sa mort en 1828. Après la révolution de 1917, une partie des livres et des collections, fut vendue par le gouvernement soviétique, et le palais subit d'importants pillages par les nazis lorsqu'ils l'occupèrent en septembre 1941. Superbe exemplaire d'une illustre provenance, renfermant les mémoires de la princesse Anne de Gonzague de Clèves importante figure de la Fronde, initialement destinée à la vie monastique, et dont la vie rocambolesque fut rythmée par les amours secrètes, le travestissement, la conspiration et la tenue d'un important salon littéraire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Librairie d’éducatiob d’Alexis Eymery 1824 In-16. Reliure de l’époque plein veau raciné, dos lisse orné de roulette dorée, pièce de titre en maroquin vert avec titre doré, plats encadrés de roulette dorée, 382 pp., 8 gravures hors-texte. En l’état.
“La Russie, disait Churchill, est un mystère enveloppé dans une énigme”. De fait, on s’est beaucoup trompé sur ce pays. Pourtant le monde russe est beaucoup plus simple que n’est le monde des vieilles nations européennes, beaucoup plus simple que ne le sont les États-Unis. Alors, où se situe la difficulté? L’auteur tente d’y répondre en ce début du XIXe siècle. Bon état d’occasion
Paris, P., à la librairie d’Aug. Vaton 1859 In-8 broché, VII- 196 pp. Couverture ternie avec petits manques, rousseurs éparses.
Edition originale de ce mémoire sur la situation moderne de la Russie, à l’instigation du cercle des familiers de l'Empereur Alexandre, selon le témoignage de Rodolphe de Maistre, son fils et éditeur de ses oeuvres. Achevé en 1911, il traite de la liberté et de l'émancipation des serfs, de la science et des réformes de l'éducation, de la religion et de influence des Lumières, enfin le dernier chapitre traite de l'Illuminisme. Bon état d’occasion
Paris, Combet & Cie 1900 In-8 22,5 x 14 cm. Cartonnage éditeur percaline verte, fer de la Ville de Paris sur le premier plat, 297 pp., table des matières. Exemplaire en bon état.
Les dédicaces sont datées : "1895" et "1897". Bon état d’occasion
[Napoléon, Campagne de Russie, 1812], Dixième bulletin de la Grande Armée : mouvement des troupes russes, l'empereur de Russie et le grand-duc Constantin ont quitté l'armée, détail du « combat d'Ostrovno » et défaite des russes, fuite des russes vers Smolensk, entrée à Witepsk [Vitebsk, Biélorussie actuelle], attaque du prince d'Ekmülh par Bagration. [Paris], imprimerie de Chaignieau aîné, [1812]. 4p in-4. Célèbre périodique, ici dans sa 4e série qui connut 29 numéros, soit en livraison comme ici, soit en placard. Les nouvelles données étaient évidemment enjolivées et l'expression « menteur comme un bulletin » s'est développée au sein des grognards. Nous vendons plusieurs numéros de cette rare série. [40-2]
[Napoléon, Campagne de Russie, 1812], Onzième bulletin de la Grande Armée : désertion en masse dans l'armée de Bagration, situation des armées françaises, détails sur quelques combats et victoire de Drissa [bataille de Kliastitsy] et « nous avons appris qu'on s'amusait en Russie à chanter des Te Deum à l'occasion des victoires obtenues par les russes ». [Paris], imprimerie de Chaignieau aîné, [1812]. 4p in-4. Célèbre périodique, ici dans sa 4e série qui connut 29 numéros, soit en livraison comme ici, soit en placard. Les nouvelles données étaient évidemment enjolivées et l'expression « menteur comme un bulletin » s'est développée au sein des grognards. Nous vendons plusieurs numéros de cette rare série. [40-2]
[Napoléon, Campagne de Russie, 1812], Seizième bulletin de la Grande Armée : avancée des troupes françaises, entrée dans Viazma [Russie] pillée par les cosaques, fuite des habitants dans Moscou. [Paris], imprimerie de Chaignieau aîné, [1812]. 4p in-4. Célèbre périodique, ici dans sa 4e série qui connut 29 numéros, soit en livraison comme ici, soit en placard. Les nouvelles données étaient évidemment enjolivées et l'expression « menteur comme un bulletin » s'est développée au sein des grognards. Nous vendons plusieurs numéros de cette rare série. [41-2]
Russie LEVESQUE Atlas de l'Histoire de Russie, et des principales nations de ...
Reference : 5175
Non Renseigné. 1906. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Carte pliée au deux tiers de la hauteur (voir scan). Tachée au dos. Assez bon état.. . . . Classification : 281.21-Russie
Classification : 281.21-Russie
Non Renseigné. 1917. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Bon état.. . . . Classification : 281.21-Russie
Classification : 281.21-Russie
L'art et les artistes,L'Art et les artistes ; n. 2 Numéro spécial de juin 1917 ,[s.n.],1 vol.broche, (48 p.) ; 29 cm
dos renforce,rare
MICHEL-NICOLAIEVITCH (Grand Duc de Russie) - (Photo de la 2e collection Félix Potin)
Reference : 51644
(1900)
- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.
Photo. Né en Russie en 1832. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.
MICHEL-NICOLAIEVITCH (Grand Duc de Russie) - (Photo de la 2e collection Félix Potin)
Reference : 51929
(1900)
- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.
Photo. Né en Russie en 1832. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.
Limoges et P., Ardant, sans date, in folio relié pleine percaline rouge décorée de l'éditeur, tranches dorées, 191 pages ; quelques rousseurs ; salissures marginales à quelques pages ; cartonnage un peu fané ; exemplaire entièrement déboité.
Ouvrage illustré de 20 belles planches lithographiées hors-texte : 4 pour la Russie, 7 pour l'Allemagne (sur 10, les planches n°2, 3 et 6 manquent), 8 pour l'Angleterre (sur 10, les planches n° 7 et 9 manquent), et une rajoutée (Grèce-Italie). ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69