Paris, Librairie Baranger. In-8 broché, XXII-131 pages plus table des matières. Cinq planches hors-texte.
Paris, Baranger fils, 1904 grand in 8 (190x285 mm) de VIII et 416 pages, demi chagrin poli avec coins, tête dorée.
Très bel exemplaire, illustré de 120 gravures dans le texte et 12 planches hors texte et 1 chromolithographie.
Reliure postérieure pleine percaline verte. Illustré de 120 gravures dans le texte, de 12 planches et 1 chromolithographie hors-texte. Mouillures claires.
Paris. Librairie G. Baranger Fils 1904 416 pp. Fort in-8. Relié. En bon état. 1 volume.
1 volume in-4° broché, couverture illustrée, VIII, 416 p. Réimpression en fac-similé de l'édition originale. TIRAGE LIMITÉ À 300 EXEMPLAIRES NUMÉROTÉS ICI N°246 - Partie supérieure de la couverture inférieure et une dizaine de page en bordure supérieure légèrement gondolée (humidité), nonostant ce défaut exemplaire en parfait état.
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NOGENT-LE-ROI LIBRAIRIE DES ARTS ET METIERS-EDITIONS 1977 Un fort volume grand in-4 de 617 pages , dans son cartonnage éditeur pleine toile bleu et bien complet de sa jaquette avec le premier plat en couleurs , ouvrage orné de 500 gravures , dont un grand nombre tirées hors-texte d' après les dessins et les photographies de l' auteur , très bon exemplaire . Très bon Couverture rigide
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"""Les Monédières"". 1981. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 392 pages - nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 908.4486-Régionalisme : Midi-Pyrénées"
Classification Dewey : 908.4486-Régionalisme : Midi-Pyrénées
Brive, Impr. Roche, s.d. In-8, 117 pp. (suivi de) La Bresseira, paraulas de Margaretta Genes, musica de Madama la Bne Le Clere. (8) pp., broché. (petit accroc au dos). (B5)
Lib. G. Baranger, Paris 1904, 19x28,5cm, relié.
Edition originale. Reliure en demi chagrin noir à coins, dos à cinq nerfs, traces de frottements sur le dos et les mors, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées, tête dorée. Ouvrage illustré de 120 gravures dans le texte, 12 planches et 1 chromolithographie hors-texte. Rares rousseurs, agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -
P., Alphonse Picard, 1890. Grand in 8, demi-chagrin aubergine, dos orné de fers dorés, tête dorée, couverture (reliure de l'époque).
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L’oeuvre de Limoges de Ernest Rupin chez Alphonse Picard, Éditeur en 1890. Édition originale, tirage à 200 exemplaires. Le livre est illustré de 500 gravures, dont un grand nombre tirées hors texte d'après les dessins et les photographies de l'auteur, 49 Planches hors texte légendées et 660 figures dans le texte.. Le livre mesure 26x34 cm et pèse 5,500 kg (c) pour 618 pages. Reliure d'époque cartonnée. Le livre est en très bon état, petite odeur de tabac, quelques rousseurs éparses, émoussé.
I- Histoire de l'émaillerie limousine II- Les monuments La question de l'Émaillerie limousine est une de celles qui ont passionné le plus les archéologues depuis un grand nombre d'années. On a voulu faire dériver notre art limousin d'Écoles lointaines, moins anciennes pour la plupart, et, dans tous les cas, absolument distinctes; on a voulu lui con tester ce caractère national qui lui a valu une réputation réellement universelle et qui a contribué, pour sa bonne part, à faire connaître l'art français à l'Étranger. Nous ne reviendrons pas sur les luttes, parfois un peu vives, auxquelles ont pris part du Sommerard, Laborde, Labarte, Verneilh, Maurice Ardant, l'abbé Texier et Ferdinand de Lasteyrie. Nos honorables devanciers n'avaient pu réunir assez de documents pour discuter la question sur des bases irréfutables, mais nous ne devons pas leur être moins reconnaissant de leurs efforts, car les premiers ils ont déblayé le terrain et ont tracé à grand peine une voie hérissée de difficultés. Devons-nous nous en étonner ? Les émailleurs de Limoges étaient si oubliés qu'au commencement de ce siècle, d'Agincourt, dans son Histoire de l'Art, en parlant des émaux de Limoges, se borne à citer une peinture de l'un des Nouailher, de l'époque de la décadence des émaux peints, et lorsque, sous le titre de Bronze émaillé, il en vient à la description de deux plaques d'émail incrusté qu'il a découvertes à Rome, il ne peut donner aucun renseignement sur leur origine. L'archéologie est une science essentiellement progressive, et la découverte de documents inédits et de monuments ignorés doit souvent modifier les systèmes et les conclusions adoptés précédemment. Dans le cours de différents voyages, nous avons eu la bonne fortune de pouvoir étudier et photographier un grand nombre de pièces d'émaillerie; notre collection s'est complétée par la reproduction des objets qui ont figuré aux Expositions de Limoges, de Tulle et du Trocadéro pendant les années 1886, 1887 et 1889. C'est en présence de tous ces monuments, et en les comparant entre eux, que nous avons songé à faire connaître l'Œuvre de Limoges. Notre travail est divisé en deux parties : l'une comprend l'histoire de l'Émaillerie limousine d'après les textes et les monuments connus, l'autre donne les spécimens les plus intéressants des différents objets sur lesquels nos émailleurs ont exercé leur talent. Il sera terminé par une table analytique très détaillée destinée à faciliter les recherches. On ne peut écrire avec utilité sur les arts sans mettre en quelque sorte sous les yeux du lecteur un certain nombre des monuments qu'ils ont produits; si minutieuses que soient des descriptions, elles sont nécessairement incomplètes parce qu'elles s'adressent à l'intelligence quand c'est aux yeux qu'il faudrait parler, aussi avons-nous inséré dans notre ouvrage 500 gravures qui appuieront nos exposés et nos dissertations. Nous nous sommes fait un devoir scrupuleux d'indiquer les sources où nous avons puisé, pour qu'on puisse, au besoin, contrôler nos affirmations. Nous citons toujours, lorsque l'occasion s'en présente, les noms des auteurs qui nous ont fourni des renseignements et ceux des amis dévoués qui ont bien voulu faciliter nos recherches. Ce serait nous répéter que de les nommer dans ce court préambule. Nous devons cependant faire une exception pour M. Émile Molinier, attaché à la conservation du Musée du Louvre. Non-seulement M. Émile Molinier nous a envoyé les photographies ou les dessins de nombreuses pièces émaillées disséminées dans les collections publiques et particulières, mais, tout en nous aidant de ses conseils, il a généreusement mis à notre disposition les notes précieuses du cours d'archéologie qu'il professe à Paris depuis trois ans. Tous ceux qui connaissent les ouvrages de M. Émile Molinier et sa haute compétence pour toutes les oeuvres d'art qui indistinctement se rattachent au Moyen-âge, comprendront combien son concours nous a été utile. Pour nous nous regardons comme un devoir et un plaisir de l'affirmer, et nous sommes heureux de pouvoir rendre ainsi justice à sa complaisance et à son talent.
L’oeuvre de Limoges, 2 tomes COMPLET de Ernest Rupin chez Alphonse Picard, Éditeur en 1890. Édition originale. Les livres sont illustrés de 500 gravures, dont un grand nombre tirées hors texte d'après les dessins et les photographies de l'auteur, 49 Planches hors texte légendées et 660 figures dans le texte. Les livres mesurent 26x34 cm et pèsent 5,500 kg (c) pour 618 pages. Reliure d'époque cartonné. Le livre est en très bon état, petite odeur de tabac, quelques rousseurs éparses.
I- Histoire de l'émaillerie limousine II- Les monuments La question de l'Émaillerie limousine est une de celles qui ont passionné le plus les archéologues depuis un grand nombre d'années. On a voulu faire dériver notre art limousin d'Écoles lointaines, moins anciennes pour la plupart, et, dans tous les cas, absolument distinctes; on a voulu lui con tester ce caractère national qui lui a valu une réputation réellement universelle et qui a contribué, pour sa bonne part, à faire connaître l'art français à l'Étranger. Nous ne reviendrons pas sur les luttes, parfois un peu vives, auxquelles ont pris part du Sommerard, Laborde, Labarte, Verneilh, Maurice Ardant, l'abbé Texier et Ferdinand de Lasteyrie. Nos honorables devanciers n'avaient pu réunir assez de documents pour discuter la question sur des bases irréfutables, mais nous ne devons pas leur être moins reconnaissant de leurs efforts, car les premiers ils ont déblayé le terrain et ont tracé à grand peine une voie hérissée de difficultés. Devons-nous nous en étonner ? Les émailleurs de Limoges étaient si oubliés qu'au commencement de ce siècle, d'Agincourt, dans son Histoire de l'Art, en parlant des émaux de Limoges, se borne à citer une peinture de l'un des Nouailher, de l'époque de la décadence des émaux peints, et lorsque, sous le titre de Bronze émaillé, il en vient à la description de deux plaques d'émail incrusté qu'il a découvertes à Rome, il ne peut donner aucun renseignement sur leur origine. L'archéologie est une science essentiellement progressive, et la découverte de documents inédits et de monuments ignorés doit souvent modifier les systèmes et les conclusions adoptés précédemment. Dans le cours de différents voyages, nous avons eu la bonne fortune de pouvoir étudier et photographier un grand nombre de pièces d'émaillerie; notre collection s'est complétée par la reproduction des objets qui ont figuré aux Expositions de Limoges, de Tulle et du Trocadéro pendant les années 1886, 1887 et 1889. C'est en présence de tous ces monuments, et en les comparant entre eux, que nous avons songé à faire connaître l'Œuvre de Limoges. Notre travail est divisé en deux parties : l'une comprend l'histoire de l'Émaillerie limousine d'après les textes et les monuments connus, l'autre donne les spécimens les plus intéressants des différents objets sur lesquels nos émailleurs ont exercé leur talent. Il sera terminé par une table analytique très détaillée destinée à faciliter les recherches. On ne peut écrire avec utilité sur les arts sans mettre en quelque sorte sous les yeux du lecteur un certain nombre des monuments qu'ils ont produits; si minutieuses que soient des descriptions, elles sont nécessairement incomplètes parce qu'elles s'adressent à l'intelligence quand c'est aux yeux qu'il faudrait parler, aussi avons-nous inséré dans notre ouvrage 500 gravures qui appuieront nos exposés et nos dissertations. Nous nous sommes fait un devoir scrupuleux d'indiquer les sources où nous avons puisé, pour qu'on puisse, au besoin, contrôler nos affirmations. Nous citons toujours, lorsque l'occasion s'en présente, les noms des auteurs qui nous ont fourni des renseignements et ceux des amis dévoués qui ont bien voulu faciliter nos recherches. Ce serait nous répéter que de les nommer dans ce court préambule. Nous devons cependant faire une exception pour M. Émile Molinier, attaché à la conservation du Musée du Louvre. Non-seulement M. Émile Molinier nous a envoyé les photographies ou les dessins de nombreuses pièces émaillées disséminées dans les collections publiques et particulières, mais, tout en nous aidant de ses conseils, il a généreusement mis à notre disposition les notes précieuses du cours d'archéologie qu'il professe à Paris depuis trois ans. Tous ceux qui connaissent les ouvrages de M. Émile Molinier et sa haute compétence pour toutes les oeuvres d'art qui indistinctement se rattachent au Moyen-âge, comprendront combien son concours nous a été utile. Pour nous nous regardons comme un devoir et un plaisir de l'affirmer, et nous sommes heureux de pouvoir rendre ainsi justice à sa complaisance et à son talent.