Belin 1928 308 pages in12. 1928. cartonné. 308 pages.
jauni
Henri Béziat in12. Sans date. Broché.
Etat correct sous papier de soie couverture défraîchie tranche cuite livre jauni tampons sur faux titre page titre et dernière page qq annotations
Jean-jacques pauvert 1961 495 pages in8. 1961. Broché. 495 pages.
Etat Correct pages + tranche assez jaunies
Classiques Larousse in12. Sans date. Broché.
tranches fânées intérieur propre bonne tenue
Classique larousse 1956 in12. 1956. Broché.
tranches fânées intérieur propre bonne tenue
Gibert jeune 1949 in8. 1949. Broché.
Etat correct de conservation couverture et tranche défraîchies bonne tenue générale
Le livre de poche 1969 510 pages in12. 1969. relié. 510 pages.
Bon Etat
Desenne 1831 433 pages in12. 1831. Relié. 433 pages. du 4 juin 1763 (399) au 30 octobre 1765 (622)
coin cartonnage frotté intérieur frais avec qq rousseurs près des plats
Larousse 1937 100 pages in12. 1937. Broché. 100 pages.
Bon Etat
Bibliotheque Larousse 240 pages 20x14x1.5. Sans date. Broché. 240 pages.
légèrement taché. pages jaunies
Aristide quillet 1930 370 pages in12. 1930. Relié. 370 pages.
Très Bon Etat
Plon/rombaldi in8. Sans date. Broché. frontispice noir et blanc
Bon Etat jauni
Plon/rombaldi 1930 in8. 1930. Broché. frontispice noir et blanc
Bon Etat jauni pages non découpées
Classiques plon 1934 345+415 pages in8. 1934. Broché. 345+415 pages.
Bon Etat pages tome II non-coupées coiffes assez frottés
Larousse 1965 115 pages in12. 1965. Broché. 115 pages.
Très Bon Etat inscription haut 1er plat
J. de gigord 1932 236 pages in12. 1932. Relié. 236 pages.
Bon Etat
Henri beziat 255+252 pages in12. Sans date. Broché. 255+252 pages.
Etat Passable le prix tient compte de l'état plusieurs passages et annotations crayon papier ne gène pas la lecture trace colle bas et haut dos tome premier
La technique du livre 225 pages in12. Sans date. Relié. 225 pages.
Etat Correct pages jaunies
Paris, P. Didot l'Aîné, An IX (1801) 22 volumes in-8 de VIII, 314 pp. - (2) ff., 298 pp. - (2) ff., 423 pp. - (2) ff., 298 pp. - (2) ff., 337 pp. - (2) ff., 426 pp. - (2) ff., 532 pp. - (2) ff., 408 pp. - (2) ff., 412 pp. - (2) ff., 340 pp. - (2) ff., 412 pp. - 299, (1) pp. - (2) ff., 431 pp. - (2) ff., LXIII, 355 pp. - (2) ff., 504 pp. - (2) ff., 416 pp. - (2) ff., IV, 352 pp. - (2) ff., 464 pp. - (2) ff., 519 pp. - (2) ff., 428 pp. - (2) ff., 376 pp. - 379 pp., veau Lavallière glacé, roulettes dorées en encadrement sur les plats, dos lisses ornés de caissons frappés d'un fer historié, pièces de titre et de tomaison de maroquin noir, roulettes dorées sur les coupes et bordures intérieures, tranches dorées (R. P. Bozerian).
"Édition collective de Jean-Jacques publiée par Didot, sous le Consulat. Dès avant sa mort, l'engouement suscité par les écrits de Jean-Jacques encourage les éditeurs à proposer des éditions collectives. Le renom du citoyen de Genève atteint des sommets sous la période révolutionnaire, stimulant un intérêt pour ses écrits politiques. Établie par Jacques-André Naigeon - le disciple de Diderot -, François Joseph Fayolle et l'abbé François Bancarel, cette nouvelle édition entend se ""distinguer de toutes celles qui ont paru jusqu'ici"", et servir ainsi ""de type à celles qu'on donnera dans la suite"". Le soin des éditeurs s'est porté sur l'établissement des textes. ""Le Contrat Social, et le Discours sur l'Origine de l'inégalité […], ont été imprimé sur un exemplaire corrigé de la main de l'auteur […]. L'Emile a été collationné avec le plus grand soin sur deux manuscrits autographes, […] ; nous n'avons pas balancé à rétablir divers passages […] pour lesquels on avait exigé des cartons […]. Le texte des Confessions a été rétabli dans toute sa pureté d'après le manuscrit que Rousseau avait enveloppé et cacheté […] que sa veuve vint offrir, dès 1793, à la Convention nationale. […]. Le citoyen Clos, nous a généreusement offert l'exemplaire des Lettres de la Montagne, qu'il tient de l'amitié de Jean-Jacques, et dans lequel on remarque plusieurs corrections de sa main, […]"". Cette édition comprend 20 volumes auxquels ont été réunis les 2 tomes de la Correspondance originale et inédite de J.-J. Rousseau avec Mme Latour de Franqueville et M. Du Peyrou, Paris, Giguet et Michaud, an XI-1803. L'ouvrage comprend 14 planches de musique notée ""airs principaux du Devin du village"" (t. IX), 13 planches hors-texte repliées de partitions et schémas (t. XII, Dictionnaire de musique) ainsi qu'une reproduction en fac-similé imprimé à l'encre brune d'une lettre manuscrite de Rousseau adressée à Madame de Créqui, en 1751 (t. XVIII). Cette édition de Didot ne comporte initialement pas d'illustrations, mais notre exemplaire a été enrichi de 25 planches issues de la ""collection Dupréel"" (Cohen, 913 ; Girardin, pp. 112-146), dont 10 gravées sur des dessins de Moreau le Jeune et 4 d'après Le Barbier. Parmi cet ensemble de tailles-douces, on note, à côté des illustrations des écrits de Rousseau, son portrait en médaillon numismatique à l'antique par Augustin de Saint-Aubin, ainsi que son tombeau sur l'île des Peupliers à Ermenonville. Très bel exemplaire en reliures uniformes de Jean-Claude Bozerian, dit Bozerian l'Aîné, actif à Paris, de 1790 à 1811. Le fer répété au dos des volumes représente une figure de la Charité allaitant, assise entourée de trois autres enfants. L'un brandit un bonnet phrygien au bout d'un bâton, tandis que deux d'entre eux allument le feu d'un vase ardent. De la bibliothèque Rudolf Gutman (1880-1966) avec ex-libris. Bulletin Morgand n° 4, nov. 1905, n° 558, exemplaire cité. - Girardin, Iconographie des Œuvres de Jean-Jacques Rousseau, Paris, 1910, pp. 112-146. - T. Dufour, Recherches bibliographiques sur les œuvres imprimées de J.-J. Rousseau, 1925, t. I, 402 et 363. - P. Stewart, Éditer Rousseau Enjeux d'un corpus (1750-2012), ENS, 2012."
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ROUSSEAU (Jean-Jacques), STANISLAS Ier LESZCZYNSKI Roi de Pologne, MENOUX (Joseph de)
Reference : 38265
3 ouvrages reliés en un volume in-8 (182 x 112 mm), demi-maroquin acajou à coins, dos à nerfs orné de compartiments garnis d'un décor d'encadrement doré, titre doré, tête dorée (rel. fin XIXe).
1- Edition originale, exemplaire bien complet du frontispice gravé par Ch. Baquoy : "Satyre, tu ne le connais pas", qui n'a été joint qu'à un nombre réduit d'exemplaires. Louvrage a été imprimé à Paris, sous la fausse adresse de Genève, par les soins de Diderot pour le compte du libraire Pissot."Le livre qui rendit Rousseau célèbre"; son succès foudroyant propulsa le Citoyen de Genève sur lavant-scène de la République des Lettres. En répondant par la négative à la question mise au concours par l'Académie de Dijon, Rousseau prend le contre-pied de ses contemporains pour dénoncer un ordre social fondé sur le luxe et les inégalités, corrompu et bafouant les véritables valeurs. Et de démontrer que les progrès indéniables des sciences et des arts ne se sont pas accompagnés dun progrès moral. La descendance de cet essai sera immense."Une force insoupçonnée et sincèrement rebelle apparaît dans ce Premier Discours, une pensée novatrice qui sonne juste. Et la lumière que Rousseau jette sur l'homme et sur le lien social va contribuer à remettre en cause une certaine idée du progrès" (Jacques Berchtold).(Dufour, n°13. Gagnebin, III, p. 1854-1855).2- Edition originale. (Conlon, Ouvrages relatifs à J.J. Rousseau, n°2).3- Edition originale de la réponse de Rousseau à la brochure de Stanislas Leszczynski (cf. ci-dessus). (Dufour, n°23, p. 24).Mors légèrement frottés.Très bon exemplaire, frais, grand de marges, bien relié.
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[ Chez Marc-Michel Rey] - ROUSSEAU, Jean-Jacques ; [ MERCIER DU ROCHER, André Charles François ]
Reference : 60167
(1777)
4 vol. in-12 reliure demi-basane marbrée, Chez Marc-Michel Rey, Amsterdam, 1777, xi-338 pp. (dernier f. de table paginé 337-338 monté par erreur en fin du tome 4) ; 2 ff., 255 pp. ; 2 ff., 240 pp. ; 2 ff., 318 pp., avec 5 planches hors texte, non signées
Exceptionnel exemplaire tout à fait remarquable pour les diverses longues notes manuscrites, couvrant plusieurs des gardes blanches (et quelques marges), rédigées par l'avocat poète et militant jacobin André Mercier du Rocher. Il y évoque notamment ses souvenirs et rapporte les témoignages vécus d'une connaissance directe de Jean-Jacques Rousseau. Né à La Rochelle, André-Charles-François Mercier du Rocher (1753-1816) est bien connu pour son parcours politique mais également pour son Journal ainsi que pour ses Mémoires, source importante pour l'histoire de la Révolution Française en Vendée.Dans le tome premier on peut lire cette note manuscrite importante : "Lorsque j'arrivai à Paris au mois de mai 1780, un des commis de la Douane se présenta au Bureau de la Diligence rue contre escarpe pour fouiller les paquets des voyageurs. Lorsqu'il voulut bouleverser les miens, je lui observai que je n'avais ni sel ni tabac, ni marchandises de contrebande ; n'importe dit-il, il faut voir il tombe sur cet ouvrage, en lut le frontispice et s'écria : L'Emile de Rousseau ! Monsieur c'est un livre prohibé, et il s'en serait emparé si deux de mes compagnons de voyage, un capitaine de la Marine Royale et [ Puyard ? ] de Montjourdain qui a péri depuis avec tant d'autres gens lettrés, ne s'y fussent opposés. Ce livre était donc bien confisqué partout !". L'annotateur signale également qu'un "M. C*** a imprimé un Emile chrétien en 3 vol. in-12 dont le librairie Crapet place St Michel à Paris ne put se défaire au très bas prix d'une livre dix sousn dans l'année 1787", et copie en regard un extrait d'une "Epître à la Raison" évoquant Voltaire, tirée du Mercure de février 1785. En dernière garde du même tome, Mercier du Rocher commente une note de la page 28 : "On ne se tue point pour les douleurs de la goutte dit l'auteur. J'ai connu à Paris un homme très [ ... ] des Principes de J. J. Rousseau, qui s'est coupé le cou avec un rasoir pour éviter les douleurs de la gravelle. Il se nommait Murice, il avait été Prêtre et curé et avait abandonné sa cure pour vivre en laïque avant 1780".En garde du tome second, on découvre une autre longue et remarquable note manuscrite : "j'ai rencontré le onze 8bre 1806, à Paris, un M. De Vouron, fils naturel du Duc de Grammont, c'est un homme d'une figure agréable, et d'une éducation soignée, c'est la Bonté, la douceur, la Bonhomie personnifiées. Il a vécu très familièrement avec J. J. Rousseau et a demeuré ensuite [ chez ] un des ennemis de Rousseau, c'est tout dire, chez Palissot qu'il n'aime pas autant que le Bon Jean-Jacques. Il m'a raconté plusieurs particularités de ce dernier. Avez-vous lu Télémaque lui demandait J.J. (De Vouron était alors jeune). Oui, Monsieur Rousseau. Comment trouvez-vous ce livre ? Il est bon, dit Vouron, mais... "Quoi ? Mais, repart vivement Rousseau ? Il manque de feu, dit Vouron. Monsieur, répond J. Jacques, le feu y est sous la cendre. Une autre fois, M. de Vouron se promenant seul rencontra Rousseau seul aussi. Comment, dit le Philosophe, jeune homme, vous êtes seul ? Vous êtes bien seul aussi, Monsieur Rousseau. Oh ! je suis plus âgé que vous ; et puis [j'ai ] l'expérience des hommes. M. de vouron dit un jour à Rousseau qui se plaignait de ses malheurs, c'est le sort des grands hommes ; vous devez vous attendre à cela. Mais répondit Rousseau d'un air fâché, vous n'êtes pas consolant Monsieur de Vouron. Cette réponse montre clairement que Rousseau voulait être plaint plutôt que flatté. Il était logé près d'un Maréchal Ferrant. En rentrant chez lui il failli avoir la cuisse cassée d'un coup de pied de cheval qui ne fit que l'effleurer. Rousseau racontait cet accident avec des yeux affectés d'un sentiment si extraordinaire que Vouron ne put s'empêcher d'en rire. Le Philosophe se tut alors en se regardant à un Miroir. M. de Vouron dit M. Palissot très aimable, il la [illisible] avec François de Neufchâteau, qu'il croit plutôt un politique qu'un homme de Lettres."Etat très satisfaisant (manques en coiffe, accroc à un dos, reliure un peu frottée, ex-libris ms. "ex bibliotheca A.C.Fr. Mercier du Rocher, Rupellensis, 1782"). Dufour, 201 ; McEachern, Emile, 29
3 ouvrages reliés en un volume in-8 (196 x 123 mm), plein veau marbré de l'époque, dos lisse orné de compartiments richement fleuronnés, pièce de titre de maroquin bordeaux, tranches rouges.
1- Deuxième édition publiée quelques semaines après l'originale, de ce brûlot qui envenima la "querelle des Bouffons" pour des décennies. "Le résumé des idées de Rousseau sur la musique (...), le plus impitoyable des réquisitoires contre la musique française qui fit scandale (). En manière de représailles, les musiciens de l'Opéra brûlèrent Rousseau en effigie dans la cour du théâtre" (Catalogue exposition Rousseau, B.N. 1962, n° 116). Rousseau ne critiquait pas seulement l'infériorité de la langue française, mais aussi l'esthétique de l'opéra français de son temps, "le conventionnel des représentations, les airs à roulades sans rapport avec les sentiments, l'apparat ridicule des scènes à machines, les éclats vocaux et les excessives gesticulations des interprètes (), l'absence d'action dramatique, l'abus d'une mythologie ressassée et la pompeuse niaiserie des livrets" (Cf. Jacques Gheusi, "E. Universalis").(Bibliothèque Cortot, p. 171. Fétis, 3943. Dufour, 32. Gregory, p.237. RISM B/VI/2 p.734. Sénelier, 120. Tchemerzine-Scheler, V, 529).-2- Edition originale. La réponse de Rousseau à l'article "Genève" qui venait de paraître dans l'Encyclopédie, dans lequel D'Alembert suggérait des réformes pour la ville de Genève: projet pour une "cité philosophe" de liberté politique et culturelle, notamment par la levée de l'interdiction d'un théâtre permanent. Rousseau résume, dans sa critique, tout ce qu'il dénonçait déjà comme une illusion: "le théâtre comme école de l'hypocrisie, le bel esprit, la civilité telle qu'on la conçoit à Paris sont inconciliables avec les murs de véritables citoyens. Ses thèses sur les spectacles ne sont qu'un aspect de sa réflexion sur la modernité: à quelles conditions la république est-elle possible ? Comment lier adéquatement morale, esthétique et politique" (cf. B. Bachefen, ENS éditions). Quelques piqûres aux premiers feuillets.(Gagnebin, V, 1812. Tchemerzine-Scheler, V, 535). -3- Édition originale de cette réfutation en règle du "Discours" de Rousseau présentée par Charles Borde devant lacadémie de Lyon. La "Dernière réponse" de Rousseau figure, en première édition, sous faux-titre particulier à partir de la page 61. (Conlon, n°5. Dufour, n°24).Très bon exemplaire, très bien relié à l'époque.
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Ensemble de 6 pièces reliées en un volume in-8 (195 x 122 mm), plein veau marbré de l'époque, dos à 5 nerfs orné de compartiments fleuronnés et cloisonnés, pièce de titre de veau orange, roulette sur les coupes, tranches rouges.
Recueil factice, peut-être unique, réunion à l'époque des premières uvres de Rousseau, premières éditions comme réimpressions, qui serait une première tentative du libraire parisien Pissot pour offrir une édition collective des écrits du "citoyen de Genève". Par la suite, dès 1756, Pissot fit paraître un recueil désigné comme tel ("Oeuvres diverses de Mr. Jean Jaques [sic] Rousseau citoyen de Genève, Chez Pissot, quai de Conti") légèrement différent dans sa composition que celui-ci, sous page de titre générale, accompagné d'une table des pièces (cf. Bibliothèque de Genève, OCLC, 718016431 et Dufour, n°366 sans détail).Pour le détail des pièces contenues ici:1- Troisième édition en 63 pages, parue l'année de l'originale, à sa suite du "livre qui rendit Rousseau célèbre"; son succès foudroyant propulsa le Citoyen de Genève sur lavant-scène de la République des Lettres. Elle est illustrée de la même planche frontispice que celle du premier tirage, gravée par Ch. Baquoy: "Satyre, tu ne le connais pas".Selon Rousseau ("Confessions", livre VIII), Diderot remit "gratuitement" le manuscrit à son libraire parisien Pissot pour impression. Louvrage parut sous la fausse adresse de Barrillot à Genève peut être à la demande de Rousseau qui souhaitait laccorder avec le titre de "Citoyen de Genève" quil se donnait ici pour la première fois (cf. Sénelier, p. 57-58). Gagnebin (O.C. éd. de la Pléiade) souligne que ce tirage qui corrige un certain nombre de fautes typographiques est meilleur que les précédents. (Dufour, n°14. Gagnebin, I, n°3, p. 1855-1856).2- Edition originale. Vignette de titre, lettrine et bandeau (signé : "N" = Nioul) gravés sur bois. (Conlon, Ouvrages relatifs à J.J. Rousseau, n°2).3- Edition originale de la réponse de Rousseau à la brochure de Stanislas Leszczynski (cf. ci-dessus). Bien complet du feuillet blanc final. (Dufour, n°23). 4- Édition originale de cette réfutation en règle du discours de Rousseau présentée par Charles Borde devant lacadémie de Lyon. La "réponse" de Rousseau figure, sous faux-titre particulier, à partir de la page 61. (Conlon, n°5. Dufour, n°24).5- Edition originale. Borde revient à la charge, dans ce "second discours" lu à l'académie de Lyon les 1er et 31 août 1752. "Le Lyonnais avait compris que le Discours de Rousseau ne relevait pas du paradoxe, mais d'un système concerté dont on commençait à entrevoir l'ampleur" (R. Trousson, 'J.J. Rousseau jugé par ses contemporains', p. 29). (Conlon, n°10).6- Deuxième édition, quasi identique à la rarissime originale (cf. Gagnebin). Rousseau composa cette comédie à l'âge de 18 ans et la fit jouer en décembre 1752 par les comédiens du Roi, sans succès. Il accompagne le texte de la pièce dune importante nouvelle préface dans laquelle il relate les conditions de sa rédaction et revient sur sa thèse concernant linfluence des Sciences et des Arts sur les murs, pour compléter, préciser et se justifier devant la critique. Rousseau avait toujours manifesté un intérêt particulier pour cette pièce, "sorte de miroir du moi profond de son auteur". (Dufour, n°53. Gagnebin, II, B, p. 1979).Infime trace de restauration à la reliure.Bel exemplaire, grand de marges, très frais, bien relié à l'époque.
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