Couverture souple Paris, Editions du 9 février, 1997. In-8 (24 x 18 cm), reliure spiralée de l'éditeur, les plats sont illustrés d'un montage photographique composé des visages des auteurs, quelques marques marginales aux plats. Non paginé, l'ouvrage comporte 99 listes réparties en huit chapitres, et numérotées de 1 à 99. Le chapitre multiplications comprend 35 portraits, modulables pour le lecteur. Tirage limité à 3000 exemplaires. Le nôtre un des 50 exemplaires signés et numérotés par Roubaud et Boltanski (n°7). Artiste plasticien connu pour ses installations et son style conceptuel, Christian Boltanski est une figure majeure de l'art contemporain. Bon exemplaire, rare.
Très bon
1618 P., Chez Bauger, r. du Croissant, 16, Imp. dAubert & Cie, s.d. (1838), 1 planche encadrée (dimensions à vue : 280 x 230 mm), cadre du XIXe s. en placage de loupe (465 x 370 mm).Papier bruni, couleurs restées bien fraîches.
Superbe caricature, non signée, aquarellée et gommée sur blanc de Dumas, Hugo et Lemaître, chassés par Rachel, parue initialement dans la Caricature Provisoire de déc. 1838.Les exemplaires en couleurs dépoque sont rarissimes.Selon le site de La Maison de Victor Hugo :Description iconographique: Cette caricature montre Victor Hugo et Alexandre Dumas chassé du "Théâtre Français" et se dirigeant vers le "Théâtre de la Renais Cendre", allusion au Théâtre de la Renaissance qu'ils viennent de créer. Dumas porte un étendard avec la devise " Adultère Inceste ! Assassinat ! sang ! mort ! damnation ! ". Victor Hugo porte un sac inscrit "blague", une bouteille de "poison" et le texte de "Ruy Blas" sous le bras. Devant eux, de dos, l'acteur Frédérick Lemaître qui vient de créer le rôle de Ruy Blas, tient une paire de bottes et une épée de "Tolède".Commentaire historique: Cette caricature, parue dans « La Caricature provisoire », n° 6, du 23 décembre 1838, fit lobjet dune édition séparée sous la rubrique « Album théâtral », par Bauger, éditeur de "La Caricature" et du "Charivari". Elle fait allusion à la création du théâtre de la Renaissance, compagnie théâtrale Installée salle Ventadour, qui a été fondée à l'initiative de Victor Hugo et Alexandre Dumas par Anténor Joly, afin de disposer d'une troupe pour jouer le répertoire romantiques. Elle vient alors dinaugurer sa programmation le 8 novembre 1838 avec la création de « Ruy Blas », avec Frédérick Lemaître dans le rôle-titre. La lithographie, non signée, généralement attribuée à Benjamin Roubaud, est donnée dans le commentaire publiée en 2ème page du journal à « M. de Barray » : « dessins. / M. de Barray, qui estime beaucoup le talent de Mlle Rachel, nous la montre cependant sous des traits peu flattés : cest elle qui est ici la personnification de la tragédie renouvelée des Grecs, que lartiste naime guère, et dune administration théâtrale quil naime pas. Les romantiques, chassés du temple Védel, se réfugient dans celui de la Renais-Cendre, et font fort bien ». Il s'agit en fait d'un pseudonyme « provisoire » de Benjamin Roubaud créé par Philipon au moment du lancement de "La Caricature provisoire" comme le confirme un catalogue des publication de Beauger (Bauger) dans "Le Charivari" du 31 mars 1842 qui précise : " Les romantiques chassés du temple, par Benjamin....50".Nous tenons spécialement à remercier Jean-Paul Roubaud pour ces précieuses informations concernant l'attribution de cette gravure, n'hésitez pas à visiter l'excellent site qu'il consacre, en collaboration avec Pierre Quiblier, à Benjamin Roubaud.
Éditions du Seuil, 1984. In-8 br. Coll. " Fiction & Cie ". Texte de Jacques Roubaud sur le second plat. Journal d'Alix Cloé Roubaud accompagné de quelques photographies en noir & blanc. E.O.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 28 novembre 1833 (Planche n°335)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27.2cmx Largeur: 35.8cm - Image: Hauteur: 20.9cm x Largeur: 27.9cm - Titre en bas au centre : « Voyez Messieurs et Dames ! » ; légende plus bas au centre : « Voyez comme il est bien dressé, il donne la patte à tout le monde et se met à genoux et reçoit toujours avec un nouveau plaisir les petites // étrennes de la société. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°159 [160]. », en ht à dte : « Pl. 333. » [erreur de numérotation, planche 335] - Dans la lettre : « chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « Lith. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « Benjamin » [Benjamin Roubaud, dessinateur]Description iconographique:Dans une arène entourée de palissades de bois, Louis-Philippe est représenté avec un corps d’ours et une tête humaine, vue de dos, mais reconnaissable au haut toupet. L’explication de la pl. précise que Benjamin Roubaud a voulu montrer « le système de la paix à tout prix, dans un ours qui danse et qui fait le beau à volonté, sous le knout d’un Cosaque qui le tient enchaîné, et au son du fifre et du tambour qu’un Anglais fait sonner » (Guillaume IV, roi du Royaume-Uni ?). C’est sur un parapluie posé sur ses épaules que le roi fait reposer ses bras. A terre, à gche, gît un chapeau décoré de la cocarde tricolore. Derrière la palissade, une foule de monarques assistent au spectacle et semblent contents, à en juger par leur mine réjouie, « depuis le colosse d’Autriche jusqu’à la colossillonnette d’Espagne » (in explication). On peut notamment reconnaitre Méhémet Ali. L’explication spécifie que la pl. vise à montrer « la double nature d’un Système qui a toute la rudesse d’un ours envers les patriotes de l’intérieur, et toute sa gentillese et son obéissance pour les hommes de la sainte-alliance », faisant allusion en cela à l’attitude répressive et belliqueuse de Louis-Philippe envers le peuple français, et au contraire, sa docilité dans les affaires internationales, Louis-Philippe ayant mené une politique étrangère de non-intervention afin de se concilier les bonnes grâces des grands royaumes (notamment des trois pays formant la Sainte-Alliance). Cf. congrès de la Sainte-Alliance à Münchengraetz en septembre 1833.Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français
iconographie:Dans une arène entourée de palissades de bois, Louis-Philippe est représenté avec un corps d’ours et une tête humaine, vue de dos, mais reconnaissable au haut toupet. L’explication de la pl. précise que Benjamin Roubaud a voulu montrer « le système de la paix à tout prix, dans un ours qui danse et qui fait le beau à volonté, sous le knout d’un Cosaque qui le tient enchaîné, et au son du fifre et du tambour qu’un Anglais fait sonner » (Guillaume IV, roi du Royaume-Uni ?). C’est sur un parapluie posé sur ses épaules que le roi fait reposer ses bras. A terre, à gche, gît un chapeau décoré de la cocarde tricolore. Derrière la palissade, une foule de monarques assistent au spectacle et semblent contents, à en juger par leur mine réjouie, « depuis le colosse d’Autriche jusqu’à la colossillonnette d’Espagne » (in explication). On peut notamment reconnaitre Méhémet Ali. L’explication spécifie que la pl. vise à montrer « la double nature d’un Système qui a toute la rudesse d’un ours envers les patriotes de l’intérieur, et toute sa gentillese et son obéissance pour les hommes de la sainte-alliance », faisant allusion en cela à l’attitude répressive et belliqueuse de Louis-Philippe envers le peuple français, et au contraire, sa docilité dans les affaires internationales, Louis-Philippe ayant mené une politique étrangère de non-intervention afin de se concilier les bonnes grâces des grands royaumes (notamment des trois pays formant la Sainte-Alliance). Cf. congrès de la Sainte-Alliance à Münchengraetz en septembre 1833.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français
Paris, Dabin, Paris, DabinMessidor an XI (1803) ; plaquette in-8, brochée, couverture muette , entièrement non rogné. 2 ff., 35 pp.ÉDITION ORIGINALE qui semble fort rare. Inconnu de Barbier, de Monglond et de Gay.Poème en 5 chants. Oecuménique en effet, ce concile utopique où dans un Paradis idéal se retrouvent pontifs, bonzes, califes, derviches, prélats, druides, moines, imams et autres régiments de prêtres “tant savants qu’ignorants, d’opinion diverse” mais “tous en secret à leur secte adhérents.” Grand festin et joyeusetés très Ancien Régime, avec des nonnes lubriques, lorsque soudain, de ce Paradis en liesse, arrive le Préjugé, “ce noir tyran de l’homme.” On croise aussi Augustin, la papesse Jeanne, Bossuet, un pasteur genevois. Le St Esprit est fort courtois envers Marie. Après un discours de Minerve adressé aux Sociniens, Hussites, Orthodoxes, Juifs, Grecs, Hurons, Hindoux, Samoïdes, Moxes, Turcs, peuples camards, olivatres, cuivrés, noirs à tête laineuse et gens blonds, arrivent Sorbon, Championnet et Dupphot. Ninon de Lenclos lit un décret contre les Français discuté par S. Thomas d’Aquin, Mustapha-Kan, le rabbin Benjamin... A la fin, l’Eternel en personne vient au concile, Sorbon reprend la vie, le concile est dissous et tout se termine par une céleste farandole.Nous avons trouvé quelques rares exemplaires de ce volume dans des bibliothèques, entre autres à la Bibl. Nationale et à Rouen. Mais l’auteur n’est identifié dans aucun catalogue.Cet exemplaire permet de nommer ce dernier, car il porte sur la couverture cet envoi autographe : “de la part de l’auteur, le C[itoyen] Roubaud, ex-Conventionnel.” On ne connaît qu’un seul conventionnel Roubaud, un certain Jean-Louis, né à Aups dans le Var en 1744. Il fut médecin à Tourves, député du Var à l’Assemblée législative et à la Convention. Il vota pour la mort du roi et contre le sursis. Banni de France en janvier 1816, il s’exila à Bruxelles où il mourut en 1830. A Bruxelles il publia en 1826 un autre poème, signé celui-là : L’Helléniade ou la guerre des Grecs, poème en six chants. Reboul 1885 signale un Règlement de la Soc. Républicaine de Toulon rédigé par Roubaud en 1793.On ne connaît pas d’autres publications de ce personnage.
S.L., 1842. Manuscrit in-folio, rel. demi-basane verte, dos lisse orné de roulettes dorées, 283 pp. Index. 36 tableaux généal. à pleine page, nombreux tableaux dans le texte. Additions manuscrites.
Le rédacteur indique dans l'introduction que le nom Roubaud viendrait du nom Roubaudy, originaire de Turin, en Piémont, et s'installa en Provence, notamment à Grasse. Les généalogies des différentes branches commencent au milieu du XVIIe s. Chaque couple fait l'objet d'un chapitre assez détaillé et indique les enfants et les alliés le cas échéant. Les sources sont indiquées assez souvent. Bon état. - Frais de port : -France 9,7 € -U.E. 13 € -Monde (z B : 23 €) (z C : 43 €)
1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 29 août 1833 (Planche n°308)- La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No 147.coloriée. Plate 308. [Paris de Becquet for Maison Aubert [29 August 1833] Lithograph. Overall paper size 34.5 × 25.8 cm.French caricature of Talleyrand’s proposal to Lord Palmerston to form an alliance with Britain to counter-balance the continental league of the autocratic states of Russia, Austria, and Prussia.The print represents Talleyrand standing, supported on a crutch, reining in the infant Louis-Philippe, whilst King William IV bemus- edly looks on, commenting: ‘this child will never walk alone’. One rein is marked ‘Traite de 1815’, the other ‘Sainte Alliance’. Louis- Philippe is depicted from behind as a small boy in skirts playing with a miniature fortress and pulling a toy cannon. As usual with this artist, Talleyrand’s surgical boot is attached in error to his left foot.1 Benjamin Roubaud (1811–1847), lithographer, etcher and painter, made his name as an inspired Parisian caricaturist, contributing to the humorous comic journal La Caricature (1830–1835); he signed himself ‘Benjamin’or ‘A.B.’Dwyer 762 (misdated 1834).
signature : « Benjamin et Paillet » [Benjamin Roubaud, dessinateur, et Paillet, graveur]- Inscription - Sur le château de sable, un graffiti en forme de poire ; sur les laisses avec lesquelles Talleyrand tient le roi : « Traités de 1815 » et « Sainte alliance »Description iconographique:Talleyrand, à dte de la composition, vu de profil, appuie son bras gche sur une béquille. Il tient en laisse un enfant vêtu d’une robe rose et d’un petit fichu bleu (« en moutard tricolore » in explication). Vu de dos, il est reconnaissable au toupet et aux favoris : il s’agit du roi Louis-Philippe, occupé à construire un château de sable avec une truelle. Il tient en laisse un petit canon posé sur une plate-forme à roulettes. Allusion à son désir d’édifier des forts autour de Paris. Derrière eux se trouve Guillaume IV, roi du Royaume-Uni. Il montre Louis-Philippe du doigt tout en regardant Talleyrand avec un sourire moqueur. Il semble donner des ordres à Talleyrand. Cette pl. est une référence au projet de rapprochement avec l’Angleterre tenté par Talleyrand en direction de Palmerston pour contrer l’alliance continentale de la Russie, l’Autriche et la Prusse (Sainte-Alliance de 1815 entre ces trois pays, puis rejointe par la France en 1818 grâce à l’action de Talleyrand). Or, Guillaume IV s’y opposa, fervent défenseur de l’isolationnisme (le Royaume-Uni avait déjà refusé, en 1818, d’entrer dans la Sainte-Alliance). La pl. se moque du manque d’autonomie et d’autorité de Louis-Philippe sur l’échiquier européen.Personnages représentés:Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de; Louis-Philippe Ier, roi des Français
1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 27 décembre 1833 (Planche n°345)- Lithographie sur blanc- Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 18cmxLargeur: 28cm - Titre en bas au centre : « La France traine [traîne] son boulet. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) 164. », en ht à dte : « Pl. 345. » Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie vero dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « Benjamin » [Benjamin Roubaud, dessinateur],pli à gauche,sinon bon.
Dans un paysage de plaine désolée, un monticule de pierres à dte, sur lequel est assise la figure de la France, sous les traits d’une femme plantureuse vêtue d’une robe sombre ouverte sur un large décolleté, couronnée d’une maquette de fortifications (la désignant comme l’allégorie de la France). Son bras gche est posé sur ses jambes, tandis qu’elle appuie son front sur sa main dte, le bras plié et posé sur une pierre. La pl. propose une image de la France affligée. La cause de cet accablement est accrochée à son pied gche : elle est en effet enchaînée à un boulet de prisonnier dont la forme s’apparente à celle d’une poire. Il est représenté au premier plan à gche. Il s’agit de la représentation caricaturale du visage du roi Louis-Philippe. Ainsi la pl. critique vivement la politique menée par le roi Louis-Philippe, en assimilant ce dernier à un boulet, c’est-à-dire une entrave au bon développement du pays. C’est une manière de dénoncer le bafouement des principes républicains. Une souche d’arbre mort située derrière la France contribue à amplifier l’atmosphère pathétique qui se dégage de cette pl. Enfin, à l’arrière-plan, deux hommes, habillés en gardes, surveillent la France. Il s’agit de Soult et Lobau. Critique de la situation présente jugée intolérable, cette pl. est également un encouragement à faire évoluer les choses et est signe d’espoir, si l’on en croit l’explication : « La France n’est pas condamnée au boulet à perpétuité, et tôt ou tard la Liberté le lui détachera ».Personnages représentés: Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Mouton, Georges, comte de Lobau
( Oulipo ) - Georges Perec - Raymond Queneau - François Le Lionnais - Harry Mathews - Italo Calvino - Jacques Roubaud - Paul Fournel - Paul Braffort - Jacques Bens - Noël Arnaud - Marcel Bénabou - Jacques Duchateau.
Reference : 26665
(2014)
Genève-Paris / Editions Slatkine 1981. In-8 broché de 365 pages au format 16 x 5 x 24 cm. Couverture décorée avec titre imprimé. Dos carré. Plats et intérieur frais. Préface par Jacques Roubaud. Dessins et partitions en noir in-texte, indications liminaires, table des matières, Réédition des 16 premiers volumes de la Bibliothèque Oulipienne enrichie de deux textes inédits de François Le Lionnais. Textes de Georges Perec, Raymond Queneau, Harry Mathews, Italo Calvino, Jacques Roubaud, Paul Fournel, Paul Braffort, Jacques Bens, Noël Arnaud, Marcel Bénabou, Jacques Duchateau et François Le Lionnais. Edition originale collective en état superbe, proche du parfait.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Nyons, imp. Bonnardel, "adresser les demandes à mlle Roubaud, à Visan (Vaucluse)", 1878, 1 br., tampon de colportage sur la 1ère de couverture. in-8 de 56 pp. ;
Roubaud habitait Visan dans le Vaucluse.
Phone number : 06 80 15 77 01
Pierre REVERDY, Henri DELUY, Joseph GUGLIELMI, Jacques ROUBAUD, Juan GRIS, Dylan THOMAS, Yves BERGERET, Marie ETIENNE, Alain LANCE.
Reference : 43845
Revue trimestrielle. Paris, rédacteur en chef : Henri Deluy. Comité de rédaction : Bernard Vargaftig, Martine Broda, Charles Dobzynski, Pierre Lartigue, Mitsou Ronat, Jacques Roubaud, Lionel Ray, Alain Lance, etc. Un volume 13x21cm broché de 93 pages. Couverture de Juan Gris. Bon état. A propos de Pierre Reverdy, textes d'Henri Deluy, Jacques Garelli, Joseph Guglielmi, Gil Jouannard, Paul Louis Rossi, Jacques Roubaud.
Fondée au début des années 1950 à Marseille par Gérald Neveu, Action poétique est une des revues de poésie de la seconde moitié du XXème siècle en France qui connut la plus grande longévité. Animée par Henri Deluy, de 1958 jusqu'à sa dernière livraison en 2012 (210 numéros), Action poétique inscrit la poésie dans le champ théorique de la création française : désir de changer le monde, de s’ouvrir à lui, à travers des traductions défricheuses, et d’interroger la langue qui permet de lui donner forme. "Une des plus vastes encyclopédies de la poésie, couvrant tous les âges, tous les pays, de Gilgamesh à la poésie multimédia." (Jean-Yves Lacroix, Catalogue Revues, janvier 2019, p.4).
ROUBAUD (Jacques) - OBINO (Maria) - ROYET-JOURNOUD (Claude) - BRODA (Martine) - COULANGE (Alain) - LAPEYRERE (Josée) - DAVREU (Robert) -
Reference : 43850
Revue trimestrielle. Paris, rédacteur en chef : Henri Deluy. Comité de rédaction : Bernard Vargaftig, Martine Broda, Charles Dobzynski, Pierre Lartigue, Mitsou Ronat, Jacques Roubaud, Lionel Ray, Alain Lance, etc. Un volume 13x21cm broché de 96 pages. Comprend notamment 98 sonnets français (1550-1625), présentés par Jacques Roubaud.
Fondée au début des années 1950 à Marseille par Gérald Neveu, Action poétique est une des revues de poésie de la seconde moitié du XXème siècle en France qui connut la plus grande longévité. Animée par Henri Deluy, de 1958 jusqu'à sa dernière livraison en 2012 (210 numéros), Action poétique inscrit la poésie dans le champ théorique de la création française : désir de changer le monde, de s’ouvrir à lui, à travers des traductions défricheuses, et d’interroger la langue qui permet de lui donner forme. "Une des plus vastes encyclopédies de la poésie, couvrant tous les âges, tous les pays, de Gilgamesh à la poésie multimédia." (Jean-Yves Lacroix, Catalogue Revues, janvier 2019, p.4).
Paris Gallimard 1977 1 vol. Broché in-8, broché, 347 pp. Edition originale avec un bel envoi de Florence Delay, constrsigné par Jacques Roubaud, à une romancière et critique.
"... Michel Lhomme Pascal Roubaud Jacques Lesage de la Haye Patrice Hemmond Dominique Daveau Dominique Mansour Bob Nadoulec Ma Bensa Yves Maraux"
Reference : 17768
(1979)
"1979. Paris Marge mai 1979 - Plié 28 cm x 38 5 cm 10 pages - Directeur de la Rédaction: Pascal Roubaud textes de Michel Lhomme Pascal Roubaud Jacques Lesage de la Haye Patrice Hemmond Dominique Daveau Dominique Mansour Bob Nadoulec Ma Bensa Yves Maraux ... - Très bon état dernier numéro paru"
Editions Baudinière, Paris, 1931
Un volume in-12°, broché, reliure souple éditeur. Le premier plat est illustré par CLAUDEL (image inquiétante d’un dragon crachant des flammes surmontée de silhouettes en noir brandissant leurs armes sous un soleil d’aube@)... L’ouvrage comprend 235 pages. Louis ROUBAUD (1884-1941) était ce qu’on appelle un grand reporter aujourd’hui à l’instar d’Albert LONDRES et de Joseph KESSEL. Il travailla pour divers journaux tels : La FLAMME, L’EXPLORATEUR FRANÇAIS, LE QUOTIDIEN, LE PETIT PARISIEN, L’INTRANSIGEANT, PARIS SOIR, LES ANNALES, DETECTIVE. Il s’intéressa donc à de nombreux dossiers (Prostitution, crime organisé, mode, pénitenciers etc...) Il se passionna aussi pour l’ASIE. Il publie LE DRAGON S’EVEILLE en 1928, puis VIET NAM en 1931. A l’époque où fut publié l’édition originale, la CHINE était encore animée de courants divers. Louis ROUBAUD capte donc des opinions différentes sur l’aveni de la CHINE. Mais un sentiment majoritaire s’exprime: la CHINE ne veut plusd être en tutelle. En 1931, MAO TSE TOUNG Proclame la République soviétique chinoise... Exemplaire en TRES BON ÉTAT
Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) (Roquevaire, 01–06–1811 - Alger, 14–01–1847), dessinateur lithographe
Reference : 25262
Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 30 janvier 1834 (Planche n°355) - Œuvre : Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image : Hauteur: 21.2cmx largeur: 28.8cm- Titre en bas au centre : « Verse, verse, verse encore. // (Chanson Bachique) » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°169. », « Pl. 355. » - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « Benjamin » [Benjamin Roubaud, dessinateur] - Inscription - Au bout des autres branches de vigne se trouvent diverses sommes d’argent touchées par le gouvernement suite aux amendes infligées aux journaux de l’opposition : « 2200 », « 24000 », « 6000 »…Description iconographique:Parodie d’une représentation du triomphe de Bacchus. Une des œuvres de référence est-elle "Le cortège de Bacchus" réalisée au XVIIe siècle par Cornelis de Vos (Madrid, musée du Prado)? Il semblerait que la pl. entretienne quelque ressemblance avec cette œuvre (le choix de représenter un âne, la disposition des personnages…). C’est Louis-Philippe qui est représenté en Bacchus ventripotent et nu. Il chevauche un énorme coq gaulois. Il tourne la tête vers Persil, représenté en corybante, en train de presser dans la coupe du roi la récolte de raisin, se transformant en écus de cents sous, fruit des procès et amendes dont furent frappés les journaux de l’opposition (le « NATIONAL », la « Tribune » et le « CHARIVARI »). Derrière le coq se trouve Viennet en Orphée chevauchant « un pégase d’Estagel » (in explication), qui est en fait un âne (en référence aux ânes d’Estagel) et jouant de la lyre. Un autre personnage (?) chevauche aussi le coq, et cache les parties génitales du roi avec une branche de vigne. Il est coiffé d’un bicorne. A dte, madame Athalin, en ménade vêtue d’une grande robe, suit le cortège tout en buvant une coupe de « CERISES // A // L’EAU DE VIE » dont elle porte le bocal sous son bras gche. La pl. dénonce le plaisir et l’ivresse procurés aux membres du gouvernement par la récolte de l’argent issu des amendes infligées aux journaux de l’opposition. Le titre est la phrase qu’on imagine Louis-Philippe prononcer pour continuer à se délecter de ce délicieux breuvage.Personne / Personnage représenté:Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Viennet, Jean Pons Guillaume
iconographie:Parodie d’une représentation du triomphe de Bacchus. Une des œuvres de référence est-elle "Le cortège de Bacchus" réalisée au XVIIe siècle par Cornelis de Vos (Madrid, musée du Prado)? Il semblerait que la pl. entretienne quelque ressemblance avec cette œuvre (le choix de représenter un âne, la disposition des personnages…). C’est Louis-Philippe qui est représenté en Bacchus ventripotent et nu. Il chevauche un énorme coq gaulois. Il tourne la tête vers Persil, représenté en corybante, en train de presser dans la coupe du roi la récolte de raisin, se transformant en écus de cents sous, fruit des procès et amendes dont furent frappés les journaux de l’opposition (le « NATIONAL », la « Tribune » et le « CHARIVARI »). Derrière le coq se trouve Viennet en Orphée chevauchant « un pégase d’Estagel » (in explication), qui est en fait un âne (en référence aux ânes d’Estagel) et jouant de la lyre. Un autre personnage (?) chevauche aussi le coq, et cache les parties génitales du roi avec une branche de vigne. Il est coiffé d’un bicorne. A dte, madame Athalin, en ménade vêtue d’une grande robe, suit le cortège tout en buvant une coupe de « CERISES // A // L’EAU DE VIE » dont elle porte le bocal sous son bras gche. La pl. dénonce le plaisir et l’ivresse procurés aux membres du gouvernement par la récolte de l’argent issu des amendes infligées aux journaux de l’opposition. Le titre est la phrase qu’on imagine Louis-Philippe prononcer pour continuer à se délecter de ce délicieux breuvage.Personnages représentés:Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Viennet, Jean Pons Guillaume
Grandville , dessinateur- Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) , dessinateur- Forest, Eugène-Hippolyte , dessinateur-lithographe
Reference : 25632
(1834)
1834 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 16 janvier 1834 (Planche n°351-352) - Vic. col. 72.- Lithographie, Pli vertical médian - Œuvre: Hauteur: 35.5cmx Largeur: 52.5cm - Image: Hauteur: 28.3cmx Largeur: 46.3cm - Titre en bas au centre : « Grand enterrement du gros Constitutionnel décédé en son hôtel rue Montmartre N°121, enface [en face] de l’apothicaire et du Marchand de Brioches. » ; légende plus bas au centre : « Cet infortuné vieillard tombé, après la révolution de Juillet, dans l’enfance et le philippisme fut attaqué de tous les fleaux [fléaux] qui marquerent [marquèrent] ce temps de calamités publiques, la croix dite d’honneur, la poignée de main, la truffe ministérielle enfin, il mourut frappé de l’affreux // désabonnement et s’éteignit dans les bras de ses actionnaires St. Albin (le Rousselin de 93) Chevassus (jadis attaché à la personne de Mr. de Stael) Jay (ancien censeur), Etienne (ancien censeur) », « que la terre te soit légère, ô naif [naïf] Constitutionnel !.... De profundis. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°167. », en ht à dte : « Pl. 351. 352. » - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « JJ. Grandville X Benjamin // EF » [Jean-Jacques Grandville et Benjamin Roubaud, dessinateurs, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Grandville porte les « titres de gloire » (in explication) du journal : « articles Béotiens // banc d’huîtres // Lune de Mme de Sevigné. // Araignée diletante // Cosmétiques de Mme Ma // Articles Charadias de Mr XXX // horizons Politiques // Culte du vrai // napoles tricorniger // Fusées chromatiques // vaisseau de l’état // char de l’état ». Un pâtissier présente devant lui un registre comportant une colonne de nombreux « desabonnés [désabonnés] » et une colonne vide d’ « abonnés ». Sur l’affiche sur le mur de gche : « VENTE // par [suite ?] de décès // s’adresser // rue montmartre n°121 // en face le marchand de brioches ». Inscription en haut du mur à dte : « AUX LARMES D’ARGENT // denoyers fabricant de tombes épitaphes mausolées [ ?] »
Plusieurs articles de La Caricature s’étaient, précédemment, moqués du Constitutionnel et de ses désabonnements, qui allaient entraîner, à terme, sa chute. C’est donc la fin du journal Le Constitutionnel que la pl. propose de mettre en image. Sa mort provoque la joie d’un grand nombre de personnes et est un jour de fête. Au centre, le cercueil noir, décoré d’un motif de lune (lune-Sévignée), d’une araignée (dilettante), d’un bateau, d’une frise de poires, et d’une tête de mort. Des volatiles « fournisseur // de // plumes » sont devant. Un bonnet blanc, attribut caricatural traditionnel du Constitutionnel, se trouve au bout d’une tige et porte la croix d’honneur. Le cercueil est porté par les journaux d’opposition : le fou hilare de la « CARICATURE », le « CORSAIRE », Le National et La Tribune. Le Charivari, au premier, plan, joue du tambour pour célébrer cette mort. La marche funèbre est en réalité une grande fête pour l’opposition. Forest à dte porte un fauteuil d’académie, en forme de chaise percée (« ACADEMIQUE ET DIGESTIF »). Benjamin tient le portrait du Constitutionnel signé « Daumier » : représenté en buste, les bras croisés sur son gros ventre, assoupi, portant le bonnet de coton et la visière. Décoré de la croix d’honneur. Desperet tient l’encrier du journal en forme de poire à face humaine (Louis-Philippe). A gche au second plan, un épicier (figure du tamerlan) se lamente, et un carliste se réjouit. L’explication précise le nom des personnages se trouvant à l’arrière-plan, figures de l’opposition se réjouissant de la mort du Constitutionnel : Armand Marrast (rédacteur en chef de La Tribune), Charles Philipon (gérant de La Caricature), Becquet (imprimeur), Grégoire, Albert Cler (caricaturiste ?), Derville (contributeur à La Caricature), Altaroche (contributeur à La Caricature) et Jacques-Julien Dubochet (il participa à la création du journal d’opposition Le National).
Paris Publications Langues'o, Inalco 2001 1 vol. broché in-8, broché, 427 pp., bibliographie. Bon état.
Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) (Roquevaire, 01–06–1811 - Alger, 14–01–1847), dessinateur lithographe - TALLEYRAND
Reference : 25148
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 3 juillet 1834 (Planche n°400)Inscription - Titre en bas au centre : « hop !…………. hop ! ……………… hop !!!! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°191. », en ht à dte : « Pl. 400. »Inscription - Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith. Delaunois, rue du Bouloy, 19. » [imprimeur] ; dans l’image, sur le socle à gche, signature : « BenjAMIN [le N est écrit en sens inverse] » [Benjamin Roubaud, dessinateur] - Sur le socle, un graffiti représentant une tête piriforme
Sur la piste d’un cirque, Louis-Philippe (vu de dos mais reconnaissable aux favoris et au toupet) bondit de son cheval et passe à travers un cercle de papier représentant la « CHARTE // constitutionn […] [constitutionnelle] » tenu par deux personnages. Il s’agit de Talleyrand, à gche, juché sur un petit socle, incarnant la diplomatie, et de Persil en habit de magistrat, à dte, au milieu du public, de l’autre côté d’une palissade. Il incarne la « jugerie » (in explication), c'est-à-dire le ministère de la justice. Parmi les spectateurs, on peut reconnaître Lobau à gche, portant un bicorne, et Viennet derrière lui. Dans la partie de dte : Bugeaud, Fruchard, ainsi qu’Odier et Jollivet derrière eux. Enfin d’Argout se trouve à l’extrême dte. Les autres sont plus difficilement identifiables. L’explication précise la signification des attributs du roi : « (…) avec le rifflard qui représente la prudence, les culottes rapiécées qui représentent l’économie, et le faux toupet qui représente la maturité, vigoureuse encore et virile ». De plus, à gche au premier plan gît à terre un chapeau haut de forme décoré de la cocarde tricolore. A dte, enfin, un cosaque excite le cheval, un fouet à la main. Il représente « l’indépendance nationale » (in explication). La pl. ironise sur l’immense dépendance de la France de Louis-Philippe vis-à-vis de la Russie dans les affaires diplomatiques. D’après la presse d’opposition, le roi des Français va dans le sens des décisions prises par la Sainte-Alliance afin de ne pas la contrarier et risquer un incident. La pl. se propose de mettre en image une phrase extraite d’un numéro récent du Journal des débats : « On verra bientôt que le système sait surmonter toutes les difficultés, traverser tous les obstacles et briser toutes les résistances ». Le roi est ainsi présenté comme un acrobate, un pantin obéissant aux exigences de la Russie, quitte à renier les principes fondamentaux de la Charte constitutionnelle française.Personnage représenté:Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Viennet, Jean Pons Guillaume; Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de; Mouton, Georges, comte de Lobau; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Jollivet, Adolphe; Bugeaud, Thomas-RobertCaricature of the liberalized Charter of 1830 which lifted censorship of the press and increased the electorate to double its previous size. Talleyrand is portrayed as a circus master in a long frock-coat standing on a pedestal in an arena, holding up a hoop with a paper screen marked ‘Charte Constitutionelle’ with the aid of a lawyer from the side of the audience: at a command, Louis-Philippe has jumped through the hoop from the back of a galloping horse to the applause of the audience, still clutching his umbrella. Talleyrand’s orthopaedic boot is here shown correctly on his right foot.
Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) (Roquevaire, 01–06–1811 - Alger, 14–01–1847), dessinateur-lithographe
Reference : 25526
(1842)
1842 LE CHARIVARI Aubert et Cie, imprimeur-lithographe- Marie-Joseph dit Eugène Sue (1804-1857) (Titre factice), PANTHEON CHARIVARIQUE, nº97. (Titre de l'ensemble)- Vers 1841 — 1843- Lithographie-Description:-1 feuillet ; illustration page 3.-- texte imprime au dos,bon etat,marges courtes,rogné en haut,petit manque papier à l'angle du bas,dans l'etat. Hauteur: 36cmx Largeur: 27.3cm - Au recto, sur la lithographie, en bas à gauche, imprimer à l'encre noire : "Chez Bauger & Cie R. du Croissant 16.", au centre : "Chez Aubert & Cie Pl. de la Bourse." et à droite, imprimé à l'encre noire : "Imp. d'Aubert & Cie." ("ie" de "Cie" en exposant sur un point). impressionInscription concernant le titre - Au recto de la lithographie, en haut, imprimé à l'encre noire à gauche : "(Romanciers)" ; au centre : "PANTHEON CHARIVARIQUE." Impression - Au recto de la lithographie, en bas à droite, sur l'image, imprimé à l'encre noire : "Benjamin". (souligné). ImpressionInscription concernant le titre - Au recto de la lithographie, en bas au centre, sous l'image, imprimé à l'encre noire : "Sur la mer littéraire orageuse parfois, / En habile marin navigue Eugène Sue / Sans l'arreter jamais la critique déçue / Voir sa plume filer un succès tous les mois."
Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 6 février 1834 LA CARICATURE (JOURNAL)/(N°170)(Planche n°358-359) - Œuvre : Hauteur: 35.5cmx Largeur: 53cm - Image : Hauteur: 29cm x Largeur: 47.5cm - Titre en bas au centre : « Le père si tendre avait promis (bis) // De fair’ égorger nos amis (bis) // Mais son coup a manqué // Grâce à nos bons jurés. // Dansons la Carmagnole, // Vive le son, vive le son // Dansons la Carmagnole // Vive le son du Canon. » ; indications : en ht à gche : « La caricature (Journal) N°170 », en ht à dte : « Pl. 358 et 359. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « Litho. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « Benjamin » [Benjamin Roubaud, dessinateur]Inscription - Sur les bâtiments à l'arrière-plan : « COUR D’ASSISES » et « PALAIS DE JUSTICE ». Un des patriotes tient un mât dont le sommet est couronné par un bonnet phrygien, et auquel est accrochée une pancarte portant la mention « Declaration [déclaration] // DU // jury // non // ils ne sont // pas coupables ». Le surnom emblématique de ce procès (« conspiration // de la poele a [poële à] frire ») est inscrit sur une feuille à terre, que les patriotes ne tarderont certainement pas à piétiner. Sur les affiches collées sur le mur à gche : « L’ENRAGE », « Un scandale », « LE [ ?] », « FAUSSAIRE », « scandale », et d’autres titres et inscriptions, illisibles.La foule, composee d’ouvriers, de gardes nationaux, d’etudiants, de journa- listes, danse la farandole autour du Palais de Justice. Philippon bat la mesure devant le Charivari ; a gauche, Persil s’enfuit mais on a attache une poele a frire a la queue de sa robe.
iconographie:Célébration de l’acquittement des suspects dans la conspiration dite de la poële à frire, et de manière générale, expression de joie face aux diverses relaxes prononcées par la justice dans des affaires de conspiration montées de toutes pièces, d’après la presse d’opposition, par le gouvernement. La scène de la pl. prend place devant le palais de justice, alors que vient d’être rendu le verdict de l’affaire dite de la poële à frire. A gche, deux patriotes jettent par la fenêtre les pièces à conviction, déversées du grand sac du « COMPLOT » : s’y trouvent un fusil, une bouteille, une feuille (sur laquelle l’inscription est illisible), divers ustensiles, un parapluie… Sous la fenêtre, Persil s’enfuit à toutes jambes, en rasant les murs. Mais il n’est pas assez rapide puisqu’un homme est occupé à lui faire une farce en accrochant une poële au bas de sa robe de juge. Il tient sous le bras l’ « acte [d’] // accusation ». C’est la farandole formée par les patriotes en train de fêter la fin heureuse du procès que Persil fuit. Les parties dte et médiane de la composition sont occupées par la représentation de la ronde d’hommes se tenant la main et chantant la chanson formant le titre de la pl. Narguant Persil, au premier plan à gche se trouvent la figure de "La Caricature" (fou portant un bonnet à plumes et grelots et un vêtement à grelots) dansant au son du tintamarre joué par la figure du "Charivari" avec des ustensiles de cuisine. Le titre est teinté d’une note républicaine très prononcée, puisqu’il reprend les premières paroles du chant révolutionnaire La Carmagnole. Les paroles du premier couplet (qui sont, dans le chant original : « Madam’ Veto avait promis (bis) // De faire égorger tout Paris (bis) // Mais son coup a manqué // Grâce à nos canonniers ») sont adaptées à la situation contemporaine. En revanche, le refrain qui leur fait suite est inchangé, puisqu’il est repris tel quel. Peut-être ce complot dit de la poële à frire fait-il référence au procès des vingt-sept, dont les accusés furent en définitive acquittés.Personnage représenté:Persil, Jean-Charles
Amsterdam et Paris, Delalain, 1770. In-8 de XVI-237 pp., veau havane, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition originale. Critique des théories de l'abbé Galiani exposés dans ses Dialogues sur le commerce des bleds sur les rapports entre la structure physique d'un pays et son économie, l'interdépendance de l'agriculture, des manufactures et du nombre des habitants. La première lettre réfute les idées générales de Galiani sur le commerce des blés ; la deuxième juge les lois que Galiani voudrait donner aux petites républiques comme Genève ; Roubaud y relève des méprises nombreuses. La quatrième a pour objet de réconcilier Zanobi avec les peuples agricoles. Dans la sixième, nécessité d'accorder la liberté indéfinie du commerce des grains etc. Les premières lettres furent imprimées dans les Ephémérides (vol. XII, 1769), puis retouchées et augmentées par leur auteur l'abbé Pierre-Joseph-André Roubaud (1730-1792). Exemplaire à grandes marges. Coiffe de pied arasée. INED, 3924.
[REVUE.] Charles Dobzynski, M.-L. Halperu, M. Kulbak, Jacques Roubaud, Joseph Guglielmi, Thérèse Bonnelalbay, Alain Lance, Pierre Lusson, Jacques Roubaud, Mitsou Ronat, Elisabeth Roudinesco, Maurice Regnaut...
Reference : 16612
Action poétique, N°45, Le pavillon, Roger Maria éditeur, 4e trimestre 1970. Un volume in-8°, broché.
[16612]
[REVUE.] Charles Dobzynski, M.-L. Halperu, M. Kulbak, Jacques Roubaud, Joseph Guglielmi, Thérèse Bonnelalbay, Alain Lance, Pierre Lusson, Jacques Roubaud, Mitsou Ronat, Elisabeth Roudinesco, Maurice Regnaut...
Reference : 16613
Organisation de coopération et de développement économiques, février 1962. Un volume in-8°, cartonné, sous jaquette imprimé.
[16613]
Paris, Lemer, 1870, 1 br. in-8 de 88 pages non coupées ;
Roubaud habitait Visan et fut médecin à Entraigues (Vaucluse). Exilé politique en 1869 en Suisse.
Phone number : 06 80 15 77 01