René Pincebourde, Libraire-éditeur, Paris, 1894 1 fascicule grand in-8 (28,5 x 20 cm), broché de 25 pages + 1 cahier en feuille sous feuillet imprimé comprenant 10 photogravures des devises (ici chacune en 3 états, soit 30 épreuves au total, tirées en sanguine, noir et bistre). Couverture imprimée ornée de la vignette dessinée par Rops pour Charles Baudelaire. Exemplaire tel que sorti des presses, absolument comme neuf. La couverture a été protégée durant tout ce temps (plus d'un siècle) par une autre couverture muette en papier de Chine épais (déchirée). Edition originale tirée sur divers papier. Celui-ci, 1 des 6 rarissimes exemplaires sur papier de Chine contenant 3 états des gravures. Cet exemplaire a été offert par Félicien Rops à un amateur et accompagné de : - 1 spirituel petit billet autographe daté du 2 mars 1894 à Paris. Adressé à un "Cher Monsieur", Rops lui demande de venir le lendemain dans la matinée. Rops écrit : "je n'écris plus, j'ai assez écrit depuis que je suis au monde." Ce petit billet est épinglé sur une bande de papier faisant office de marque-page. Joint également le catalogue des oeuvres de Félicien Rops en vente chez Pincebourde à Paris (4 pages in-8). On joint : - 1 portrait de Félicien Rops gravé par Burney en 1887. Tirage sur vélin fin appliqué. Signature de Félicien Rops en fac-similé au bas de la gravure. Dimensions de la feuille : 28 x 18 cm environ. Dimensions du portrait : 12,5 x 8 cm environ. Très belle épreuve sans rousseur, parfaitement conservée. - 3 héliogravures imprimées à la fin de l'année 1884 par E. Charreyre d'après une aquarelle originale de Félicien Rops pour Son Altesse la Femme d'Octave Uzanne. Le Vray Mirouër de Sorcellerie. L'amour aux champs. La femme au pantin. Du rare tirage à 100 exemplaires sur Japon. Onglet de brochage en marge gauche. Feuilles : 28,5 x 18,5 cm. Gravure : 17,5 x 12 cm. Il s'agit d'épreuves tirées sur vélin comme il se doit et recollées partiellement sur feuille de grand Japon. La correspondance de Félicien Rops permet de savoir les détails de cette "brochurette" destinée aux collectionneurs de Félicien Rops, initiée par Eugène Demolder (son cousin éloigné et futur gendre - il épouse sa fille Claire en 1895). Rops n'était pas satisfait de cette publication qui selon lui vantait trop ses mérites et son histoire personnelle. Par ailleurs il dénonce dans ses courriers les nombreuses fautes d'impression qui émaillent ce travail et l'appât du gain du libraire Pincebourde. Rops s'est réservé quelques exemplaires qu'il a distribué à ses amis les plus proches. Rops dénonce également le procédé de reproduction médiocre de ces devises. Sur les 10 devises, 4 sont de Félicien Rops lui-même et les 6 autres ont été dessinées pour Charles Baudelaire, Catullet Mendès, Jules Barbey d'Aurevilly, Anna Judic, Armand Sylvestre et l'éditeur Auguste Poulet-Malassis. Le tirage de cette plaquette est composé d'exemplaires sur Hollande non justifiés (1 seul état des planches), 50 exemplaires sur Japon (avec 1 seul état des planches), de 6 exemplaires sur Chine (avec 3 états des planches). Rops dans sa correspondance parle d'une nouvelle édition dont les fautes affreuses seraient corrigées mais nous n'en n'avons pas trouvé la trace dans les bibliographies. A propos des devises dessinées et écrites par Rops voir Anamorphoses décadentes: l'art de la défiguration, 1880-1914 (Hélène Védrine, Devises et bigarrures, p. 95 et suiv. Exemplaire de la plus grande rareté du tirage à 6 exemplaires sur Chine contenant 3 états des gravures, enrichi d'un spirituel billet autographe de Félicien Rops, d'un portrait et de 3 héliogravures publiées en 1884. Superbe exemplaire absolument dépourvu de rousseurs (ce qui est exceptionnel pour ce papier).
Phone number : 06 79 90 96 36
Daniel Rops. "Qu'est-ce que la Bible ?" "Qu'est-ce que la Bible ?" est un ouvrage écrit par Daniel-Rops, un auteur et historien français renommé pour ses travaux sur l'histoire religieuse. Publié pour la première fois en 1955, ce livre vise à offrir une introduction complète et accessible à la Bible, tant pour les croyants que pour les non-croyants. Contenu du Livre : Introduction à la Bible : Daniel-Rops commence par expliquer ce qu'est la Bible, son importance dans la culture occidentale, et pourquoi elle a été une source d'inspiration et de débat pendant des millénaires. Il aborde aussi la nature divine et humaine de la Bible, considérée comme Parole de Dieu et œuvre littéraire. Structure et Composition : Le livre détaille la structure de la Bible, divisée en l'Ancien Testament et le Nouveau Testament. Daniel-Rops présente les différents livres, leur ordre, et leur rôle dans la narration globale de la Bible. Il explique également les diverses traductions et versions existantes. Histoire et Contexte : L'auteur plonge dans l'histoire de la rédaction de la Bible, explorant les contextes historiques, culturels, et géographiques dans lesquels les différents livres ont été écrits. Il examine les auteurs présumés et les époques de composition, ainsi que les principales étapes de la formation du canon biblique. Thèmes et Messages : Daniel-Rops explore les thèmes centraux de la Bible, tels que la création, le péché, la rédemption, l'amour divin, la justice, et l'espérance. Il analyse comment ces thèmes se manifestent à travers les récits, les prophéties, les psaumes, et les enseignements de Jésus. Interprétation et Influence : Une partie importante de l'ouvrage est consacrée à l'interprétation biblique. Daniel-Rops examine les différentes approches exégétiques et herméneutiques utilisées au fil des siècles. Il aborde également l'impact de la Bible sur la théologie, la philosophie, l'art, la littérature, et la société. Réflexions Personnelles : Enfin, Daniel-Rops partage ses réflexions personnelles sur la signification de la Bible dans le monde moderne. Il invite les lecteurs à découvrir ou redécouvrir ce texte fondamental avec un regard neuf, tout en respectant sa profondeur spirituelle et historique. Style et Approche : Daniel-Rops est connu pour son style clair et engageant, rendant des sujets complexes accessibles à un large public. Son approche est à la fois académique et pastorale, combinant rigueur historique et sensibilité spirituelle. Il s'efforce de rendre la Bible compréhensible et pertinente pour les lecteurs contemporains. En somme, "Qu'est-ce que la Bible ?" de Daniel-Rops est une introduction riche et informative qui aide les lecteurs à comprendre la richesse et la profondeur de la Bible, tout en situant ce texte sacré dans son contexte historique et culturel. vol relié pleine toile, 215x140, 216pp, bel exemplaire exemplaire numéroté , tirage limité Club Français du Livre 1955
[Félicien Rops] - Villiers de l'Isle-Adam / Félicien Rops
Reference : DMI-1172
(1890)
Comte de Villiers de l'Isle-Adam, Chez les passants (Fantaisies, Pamphlets et Souvenirs), couverture et frontispice de Félicien Rops, Paris, Comptoir d'Édition, Librairie de l'Art Indépendant, 1890, 320 p., relié, 11,8 x 18,5 cm. Édition originale sur papier d'édition après 15 exemplaires sur papier Japon. Charmante reliure de l'époque en demi-percaline chinée bleue, pièce de titre brune avec nom de l'auteur et titre dorés, dos lisse avec fleuron et date de publication en queue dorés, relié à la Bradel. Couvertures et dos bien conservés. Couverture bien conservée avec le médaillon ovale du graveur belge Félicien Rops, répété sur le catalogue de la librairie de l'art indépendant en fin d'ouvrage (p. 307), encadrant la figure d'une sirène avec la devise : Non hic piscis omnium (ce n'est pas le poisson de tous). Il s'agit du cartouche intitulé Poisson rare (Exsteens 422). Selon Hélène Védrine : "La réussite de cette devise [...] tient sans doute à la singularité de la figure qui prend à contre-pied le précepte horacien de la monstruosité d'une imagination incontrôlée. [...] Poisson rare propose la représentation d'une muse étrange, bigarrée, inutile et nuisible, incarnant le principe de l'hétérogénéité, où se mêle l'inspiration débridée du peintre et du scripteur. En elle se combinent sous un mode logogriphique les espèces inattendues de la sirène, du vampire et de la sphinge féline, que le texte du motto ne vient en rien élucider en la désignant sous le terme de "piscis". Ce texte ajoute au dévoiement, faisant allusion à l'interprétation idéogrammatique du terme désignant le poisson, ἰχθύς, dans se liraient les différents noms du Christ. Là se réalise le principe de confuse complémentarité de la sentence et de la figure, de l'âme et du corps de la devise. [...] En ce sens, le Poisson rare de Rops constitue une impresa artistique et restitue, conformément à la dimension héroïque de la devise, le projet élitiste, intime et esthétique du graveur." Extrait de l'ouvrage Anamorphoses décadentes / L'Art de la défiguration (1880-1914), Études offertes à Jean de Palacio, sous la direction d'Isabelle Krzykowski et de Sylvie Thorel-Cailleteau, Presses Universitaires de Paris-Sorbonne, 2002, p. 96-97. Le frontispice de Félicien Rops représente un personnage squelettique déposant la tête coupée de Villiers de l'Isle-Adam au tombeau sur lequel est inscrit "Tribulat Bonhomet RIP" en référence au personnage du docteur du recueil de nouvelles éponyme de Villiers paru en 1887. Il représente les armes du comte Villiers de l'Isle-Adam et reprend l'inscription du tombeau de l'ancêtre du comte Philippe Villiers de l'Isle-Adam, grand maître de l'ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, mort à Malte en 1534 : Hic jacet virtus victrix fortunae. Selon Félicien Rops, le frontispice de Chez les passants est sa pire réalisation en la matière. Sa correspondance révèle toutes les difficultés et empressements qu'il a eu à réaliser cette illustration à la demande de la veuve de Villiers de l'Isle-Adam pour que paraisse cette édition posthume préparée par Stéphane Mallarmé et Joris-Karl Huysmans. Dans une lettre à Armand Rassenfosse du 17 novembre 1889, Félicien Rops évoque d'abord de nombreux problèmes liés au vernis utilisé et au manque de temps : "Je devais faire au galop & même au triple galop, pour venir en aide à la veuve de Villiers de l’Isle-Adam, un bout de frontispice pour son livre : Chez les Passants et j’ai voulu le faire avec notre nouveau vernis. J’ai décalqué mon croquis avec un crayon dur, puis j’ai fait mordre le trait. J’ai reverni à nouveau après la morsure, qui était d’ailleurs un peu trop forte, pour un simple trait, et j’ai ensuite ajouté au crayon tous les travaux. À la remorsure tous les travaux premiers ; le trait, se sont mis à remordre partout, même sur la pierre tombale o[ù] vous pourrez lire : Tribulat Bonhomet, car je vous envoie une épreuve du 2e État et une épreuve du 3e état. Dans ce troisième état, la planche a été a peu prèssauvée à l’aide de la pointe sèche et de la roulette." Puis, dans une lettre du 24 décembre au même, ce jugement sévère sur son oeuvre sur l'impression réalisée par Nys qui a fini d'achever le mauvais traitement accordé au fronstipice : "Je vous envoie le frontispice du livre : Chez les Passants de Villiers. C’est fort mauvais, et même l’un des plus mauvais frontispices de mon œuvre. Ce malheureux cuivre a éprouvé tous les accidents possibles, et pour comble, Nys, pressé, l’a fort mal tiré. Mais enfin, puisque vous en désirez une épreuve, je vous l’expédie. Remarquez que la tête qui se trouve dans la main du fantôme est presqu’illisible. C’est encore un accident de la dernière heure. En coupant les marges, l’ouvrier avait enlevé d’un coup de burin le nez et un des verres des lunettes du Bonhomet ! C’etait complet !!" Jugement sévère que l'on retrouve dans une lettre adressée à Eugène Demolder le 4 février 1890 : "– Mon opinion sur mon Bonhomet ? frontispice de chez les Passants ? – Très mauvais ce frontispice : voilà. C’est lourd, veule & l’idée est quelconque. Un mauvais Rops !!" L'ouvrage a paru sous la direction de Stéphane Mallarmé et J.-K. Huysmans au Comptoir d'Édition dont on confie au poète Henri de Régnier l'évocation : "Il y avait en 1890, au numéro 9 de la Chaussée d'Antin, une étroite boutique dont la devanture offrait au passant un étalage de livres, accompagnés de tableaux et de gravures d'un symbolisme qui ne laissait aucun doute sur les tendances de la maison. Cette boutique avait d'ailleurs déjà un passé littéraire. Edouard Dujardin y avait installé les bureaux de la Revue Indépendante, et ces bureaux avaient reçu plus d'une fois la visite de Stéphane Mallarmé, de Villiers de l'Isle-Adam, de Paul Verlaine, de Jules Laforgue. Cette brillante collaboration n'avait pas cependant suffi à assurer la durée de la publication d'Edouard Dujardin qui, passée aux mains de François de Nion, avait abandonné la Chaussé natale où l'éditeur Edmond Bailly avait établi son « Comptoir d'édition » devenu bientôt la « Librairie de l'Art Indépendant », d'où sortirent plusieurs volumes maintenant non sans rareté et qui portent pour marque un médaillon ovale encadrant la figure d'une sirène dessinée par Félicien Rops, avec la devise : Non hic piscis omnium. Cette boutique de la Chaussée d'Antin n'était pas un lieu ordinaire. La porte poussée, on se trouvait en présence d'une forte dame à cheveux blancs, d'un petit homme à lunettes d'or, Edmond Bailly lui-même. Or Edmond Bailly, personnage singulier, n'était pas seulement éditeur, il était occultiste et musicien. Il composait des mélodies et rédigeait une revue de science ésotérique. J'ajoute qu'il était poète et qu'on le disait ancien artilleur de la Commune, mais il n'était resté révolutionnaire qu'en poésie et en musique et c'était pour satisfaire ce goût qu'il publiait des ouvrages de symbolistes. Aussi fus-je un de ses auteurs, et les auteurs d'Edmond Bailly entretenaient avec lui d'excellentes relations, de même qu'il en avait de fort bonnes avec l'au-delà ! La boutique de la Chaussée d'Antin servait souvent de point de réunion et de lieu de rencontre à un petit groupe d'écrivains au nombre desquels je me trouvais. On allait chez Bailly causer de littérature. Parfois on y interrogeait les esprits au moyen d'une sorte de trépied en bois auquel les mains imposaient des soubresauts alphabétiques. Edmond Bailly dirigeait les expériences tout en caressant la chatte Aziza. Parfois, il se dérangeait pour satisfaire un client qui s'en allait en emportant sous son bras l'Upanishad du grand Aranyaka, traduit du sanscrit par Ferdinand Hérold, soit l'Antre des Nymphes, de Porphyre, traduit du grec par Pierre Quillard, soit les Chansons de Bilitis, de Pierre Louys, soit la Damoiselle élue, de Claude-Achille Debussy, que Bailly avait luxueusement éditée." Magnifique exemplaire, parfaitement conservé.
"Dis-lui & à tout le monde d'ailleurs que l'on me trouvait le premier dessinateur d'ici - tout simplement. Il faut s'affirmer ! C'est de toute nécessite ! Je le vois de plus en plus. A charge et à décharge de revanche. F." Félicien Rops, autographe à Henri Liesse, non daté Eugène Demolder. Félicien Rops. Etude Patronymique par Eugène Demolder, avec quelques reproductions brutales de devises inédites du temps. René Pincebourde, Libraire-éditeur, Paris, 1894 1 fascicule grand in-8 (28,5 x 20 cm), broché de 25 pages + 1 cahier en feuille sous feuillet imprimé comprenant 10 photogravures des devises. Couverture imprimée ornée de la vignette dessinée par Rops pour Charles Baudelaire. Exemplaire tel que sorti des presses, absolument frais. Edition originale tirée sur divers papier. Celui-ci, un des exemplaires sur papier de Hollande contenant 1 état des gravures. Exemplaire accompagné d'un spirituel billet autographe de Félicien Rops à son ami Henri Liesse (voir photo), monté en tête. Le tirage de cette plaquette est composé d'exemplaires sur Hollande "à petit nombre" non justifiés (1 seul état des planches), 50 exemplaires sur Japon (avec 1 seul état des planches), de 6 exemplaires sur Chine (avec 3 états des planches). Rops dans sa correspondance parle d'une nouvelle édition dont les fautes affreuses seraient corrigées mais nous n'en n'avons pas trouvé la trace dans les bibliographies. A propos des devises dessinées et écrites par Rops voir Anamorphoses décadentes : l'art de la défiguration, 1880-1914 (Hélène Védrine, Devises et bigarrures, p. 95 et suiv. Bel exemplaire resté très frais et enrichi d'un autographe de Félicien Rops.
Phone number : 06 79 90 96 36
Namur, Musee Felicien Rops, 1998., 1998 Reliure pleine toile d' diteur sous jaquette illustr e. 279 pages, Texte en Francais, 305 x 243 mm, *bon etat.
expo Mus e provincial F licien Rops [Namur] [Provinciaal Museum F licien Rops [Namen]] ROPS cent legers croquis sans pretention pour rejouir les honnetes gens / F licien Rops.
Anvers / Bruxelles, Van De Velde / Keitelman, 1996 joliment reli et imprim , 88 pp., dos renforc , gardes marbr es, en fran ais, 14 planches en couleurs. Met Nederlandse bijlage.
publi pour co ncider avec les expositions belges en 1996 Anvers et Bruxelles de peintures, aquarelles et dessins de l' minent artiste belge F licien Rops (1833-1898), dont l' rotisme tr s charg et teint de satanisme a boulevers le monde de l'art du XIXe si cle - essai introductif de Jan Ceuleers sur Cordes ---Published to coincide with the 1996 Belgian showings in Antwerp and Brussels of paintings, watercolors and drawings by the outstanding Belgian artist Felicien Rops (1833-1898) whose highly charged, Satanic-tinged erotica convulsed the 19th Century artworld - introductory essay by Jan Ceuleers on Rops
Revue "La Plume" n° 172 du 15 juin 1896, numéro spécial consacré à Félicien ROPS. Paris, 1896. 24,5x17,5 cm, pagination de 388 à 514 + 16 pp. (catalogue de l'oeuvre de F. Rops). Broché, couverture illustrée, dos très abimé avec manques de papier, en partie débroché. Intérieur en bon état.En fin de ce numéro catalogue de l'uvre gravé de Félicien Rops (16 pages). Ensemble illustré de très nombreux dessins in et hors texte d'après l'uvre de Rops et diverses reproductions photos. Textes et poèmes de Bailly, Demolder, Detouche, J.M. de Heredia, J.K. Huysmans, Mirbeau, Peladan, Rops, Verhaeren...
Revue au format petit in-4° broché, couvertures illustrées, 126 pages, très nombreuses reproductions. A la fin, catalogue de l'oeuvre de Félicien Rops,papier un peu jauni.Ensemble illustré de très nombreux dessins in et hors texte d'après l'œuvre de Rops et diverses reproductions photos.Textes et poèmes de Bailly, Demolder, Detouche, J.M. de Heredia, J.K. Huysmans, Mirbeau, Peladan, Rops, Verhaeren...
Photo et description sur demande.Picture and description upon request.
1 Relié, demi-maroquin bleu à coins du XIXème (probablement réemboîté ?), dos à 5 nerfs avec auteur, titre et millésime au fer doré (petit coup sur la coiffe sup.), couvertures conservées, intérieur avec quelques rares rousseurs. In-12°, 19,5 x 12,5 cm, (4)-163pp-(1), frontispice gravé de Félicien Rops sur papier de Chine. Bruxelles, Chez Tous Les Libraires (typ. de Ch. Vanderauwera), 1874.
Troisième édition des 'Épaves' après la première publiée par les soins de A. Poulet-Malassis durant sa période bruxelloise, en 1866 avec le frontispice de Rops et son explication ; et la seconde, toujours par le même P.-M. (Impr. J.H. Briard) sans frontispice, éditée la même année (1866), la première à 250 ex. num. (et 10 Chine), la seconde à 500 ex. sur vélin. Cette troisième édition, Oberlé la référence comme imprimée sur vergé de Hollande - nous avons rencontré d'autres exemplaires également sur Hollande - notre exemplaire est sur vélin. Il mentionne justement (n° 847-848) que cette édition comporte, tantôt le frontispice réalisé pour la première édition, gravé sur Chine avec l'explication en regard, tantôt une (fort) mauvaise version de l'image de Rops réalisée par le procédé Gillot, parfois imprimée en rouge sur vélin jaune, pour d'autres exemplaires, en noir sur un vélin blanc. Enfin, il mentionne un exemplaire possédant les deux versions. Cette célèbre image, une des plus connues de F. Rops, sera également utilisée sous forme de gillotage pour l'ouvrage 'Le Tombeau de Charles Baudelaire'. La mention de deux versions différentes du frontispice pour cette troisième édition est absente de Rouir, Carteret, Vicaire, Ronny van de Velde. A moins que l'explication ne se situât ailleurs. Par exemple, que les ropsiens amateurs de Baudelaire en face de ce vilain Gillot se soient mis en quête du beau frontispice de Rops pour enrichir leur exemplaire ou plus radicalement de le remplacer est une hypothèse vraisemblable. Notre frontispice est bien celui de la première édition, gravé sur Chine à l'eau-forte et à la pointe sèche, ici contrecollé sur papier fort. L'explication de celui-ci est absent. Bon etat.
1 Broché, sous couv. ill. de Félicien Rops. In-8°, 18,5 x 12 cm, [2]-163pp-[7]. Paris, Société du Mercure de France, 1897. Edition originale
Edition originale sur papier d'édition (après 5 Chine, 5 Japon et 10 Hollande). Étienne Morannes n'est autre que l'alias de Claire Rops, fille de l'artiste et Madame Demolder depuis 1895. Le papier uniformément jauni comme toujours, 2 plis au second plat de couv., sinon vraiment beau. Très bon état
Fayard, 1960, fort in-12, 1045 pp, biblio, tableaux chronologiques, index, broché, bon état (Coll. Les Grandes études historiques). Edition originale sur papier Alfa des Papeteries Navarre
"Cet ouvrage constitue la première partie du tome VI de l'« Histoire de l'Eglise du Christ » que M. Daniel Rops publie depuis une vingtaine d'années. C'est l'œuvre d'un excellent historien, mais d'un historien « engagé ». Historien engagé, c'est-à-dire qui croit non seulement à la vérité de l'Eglise catholique, mais qui écrit pour la défendre. Engagé, donc subjectif, mais impartial. Daniel Rops conçoit avec raison « les révolutions » comme un immense mouvement qui atteint tout le monde occidental. Dans ce gros ouvrage, un peu plus du quart est consacré à ce que, traditionnellement, on appelle « la Révolution française ». Le récit est clair, vivant, assez bien documenté, les erreurs sont rares. Daniel-Rops rend hommage au clergé constitutionnel dont il s'est efforcé de comprendre et de faire comprendre l'attitude. Pour l'auteur, la révolte de la Vendée est essentiellement d'origine religieuse. « Le sabre et l'esprit » : tel est le titre du chapitre qui retrace l'histoire de l'Eglise sous Napoléon. Pour Daniel-Rops, Napoléon ne manifestait aucune sincérité dans ses démonstrations religieuses, c'était un athée, tout au plus un vague déiste. Il a voulu faire de l'Eglise une espèce de police supplétive, et y a, en France, en partie réussi. Les luttes entre Pie VII et Napoléon sont retracées avec beaucoup de clarté, jamais l'abondance de la documentation ne vient masquer les lignes directrices de cette histoire. Ainsi que nous le disions, les trois quarts du volume sont relatifs à la période qui s'étend de 1815 à 1870. Il est impossible ici de les analyser en détail. Signalons les très belles pages que Daniel Rops consacre à Lamenais, et le chapitre consacré à Pie IX, beaucoup plus favorable à ce pape que le livre du chanoine Aubert dans l'« Histoire de l'Eglise », de Fliche et Martin. Le livre de Daniel-Rops est une histoire de l'Eglise au sens le plus général du terme : l'auteur ne se borne pas à étudier l'histoire des papes et celle des relations entre l'Eglise et les Etats, mais aussi, quand c'est possible, la foi et la pratique religieuses, l'art religieux, les missions et les œuvres. Une bibliographie fort complète, des tableaux chronologiques et un index terminent l'ouvrage et en font un bon instrument de travail." (Jacques Godechot, Annales historiques de la Révolution française, 1961) — "Ces mille pages d'une typographie serrée nous conduisent des États généraux de 1789 aux dernières années du règne de Pie IX. C'est bien, pour l'Église elle-même, l'ère des révolutions : si féconde en bouleversements de toutes sortes, la rupture politique qui anéantit la monarchie française atteint profondément la tradition chrétienne ; elle sera suivie d'autres révolutions où « le social » se mêlera de plus en pîus au politique, sans épargner toujours la vie religieuse ; et nous nous retrouverons, à l'issue de cette période, en face d'une Église, à certains égards renouvelée, qui aura perdu, en son centre, son domaine temporel, mais renforcé son autorité doctrinale. Un siècle si plein de violences ne pouvait être, dans l'ordre de l'esprit et tout spécialement de la foi, qu'un siècle tourmenté. (...) Bien construit, s'efforçant de ne laisser dans l'ombre aucun des grands problèmes qui ont surgi en marge de tous les courants religieux du siècle et leur ont communiqué souvent un peu de leur propre vigueur, riche en portraits suggestifs et en tableaux impressionnants, bourré de noms et de faits (voire de menus faits), sans négliger pour autant d'opportunes synthèses, ce livre substantiel est vivant comme la vie qu'il retrace." (Charles Ledré, Revue d'histoire de l'Église de France, 1961) — "Avec ce huitième volume de son « Histoire de l'Eglise du Christ », D.-R. couvre la période qui s'étend de 1789 à 1870. Comme les précédentes, cette synthèse repose sur une abondante bibliographie. L'ouvrage se termine par un tableau chronologique, un index des noms et une table des matières détaillée, qui en facilitent la consultation." (Revue française de science politique, 1961)
Fayard, 1960, fort in-12, 1045 pp, une carte, biblio, tableaux chronologiques, index, reliure demi-toile brique, dos lisse, pièce de titre chagrin carmin, tranches mouchetées, C. de bibl., bon état (Coll. Les Grandes études historiques)
"Cet ouvrage constitue la première partie du tome VI de l'« Histoire de l'Eglise du Christ » que M. Daniel Rops publie depuis une vingtaine d'années. C'est l'œuvre d'un excellent historien, mais d'un historien « engagé ». Historien engagé, c'est-à-dire qui croit non seulement à la vérité de l'Eglise catholique, mais qui écrit pour la défendre. Engagé, donc subjectif, mais impartial. Daniel Rops conçoit avec raison « les révolutions » comme un immense mouvement qui atteint tout le monde occidental. Dans ce gros ouvrage, un peu plus du quart est consacré à ce que, traditionnellement, on appelle « la Révolution française ». Le récit est clair, vivant, assez bien documenté, les erreurs sont rares. Daniel-Rops rend hommage au clergé constitutionnel dont il s'est efforcé de comprendre et de faire comprendre l'attitude. Pour l'auteur, la révolte de la Vendée est essentiellement d'origine religieuse. « Le sabre et l'esprit » : tel est le titre du chapitre qui retrace l'histoire de l'Eglise sous Napoléon. Pour Daniel-Rops, Napoléon ne manifestait aucune sincérité dans ses démonstrations religieuses, c'était un athée, tout au plus un vague déiste. Il a voulu faire de l'Eglise une espèce de police supplétive, et y a, en France, en partie réussi. Les luttes entre Pie VII et Napoléon sont retracées avec beaucoup de clarté, jamais l'abondance de la documentation ne vient masquer les lignes directrices de cette histoire. Ainsi que nous le disions, les trois quarts du volume sont relatifs à la période qui s'étend de 1815 à 1870. Il est impossible ici de les analyser en détail. Signalons les très belles pages que Daniel Rops consacre à Lamenais, et le chapitre consacré à Pie IX, beaucoup plus favorable à ce pape que le livre du chanoine Aubert dans l'« Histoire de l'Eglise », de Fliche et Martin. Le livre de Daniel-Rops est une histoire de l'Eglise au sens le plus général du terme : l'auteur ne se borne pas à étudier l'histoire des papes et celle des relations entre l'Eglise et les Etats, mais aussi, quand c'est possible, la foi et la pratique religieuses, l'art religieux, les missions et les œuvres. Une bibliographie fort complète, des tableaux chronologiques et un index terminent l'ouvrage et en font un bon instrument de travail." (Jacques Godechot, Annales historiques de la Révolution française, 1961) — "Ces mille pages d'une typographie serrée nous conduisent des États généraux de 1789 aux dernières années du règne de Pie IX. C'est bien, pour l'Église elle-même, l'ère des révolutions : si féconde en bouleversements de toutes sortes, la rupture politique qui anéantit la monarchie française atteint profondément la tradition chrétienne ; elle sera suivie d'autres révolutions où « le social » se mêlera de plus en pîus au politique, sans épargner toujours la vie religieuse ; et nous nous retrouverons, à l'issue de cette période, en face d'une Église, à certains égards renouvelée, qui aura perdu, en son centre, son domaine temporel, mais renforcé son autorité doctrinale. Un siècle si plein de violences ne pouvait être, dans l'ordre de l'esprit et tout spécialement de la foi, qu'un siècle tourmenté. (...) Bien construit, s'efforçant de ne laisser dans l'ombre aucun des grands problèmes qui ont surgi en marge de tous les courants religieux du siècle et leur ont communiqué souvent un peu de leur propre vigueur, riche en portraits suggestifs et en tableaux impressionnants, bourré de noms et de faits (voire de menus faits), sans négliger pour autant d'opportunes synthèses, ce livre substantiel est vivant comme la vie qu'il retrace." (Charles Ledré, Revue d'histoire de l'Église de France, 1961) — "Avec ce huitième volume de son « Histoire de l'Eglise du Christ », D.-R. couvre la période qui s'étend de 1789 à 1870. Comme les précédentes, cette synthèse repose sur une abondante bibliographie. L'ouvrage se termine par un tableau chronologique, un index des noms et une table des matières détaillée, qui en facilitent la consultation." (Revue française de science politique, 1961)
Librairie Fayard, 1946-1945 ; quatre tomes in-8 (228 mm), brochés, couvertures rempliées décorées ; 238; 329, [5 bl.] ; 410, [3 bl.], 1 carte dépliante ; 392, un plan dépliant ; frontispices, figures, lettrines, culs-de-lampe gravés sur bois et tirés en bistre.
Edition bibliophilique : I imprimé par Coulouma à Paris, un des 200 hors-commerce sur vélin de Rives BFK (N° HC 31), bel envoi “à M. et Mme Delaroche Vernet pour leur souhaiter bon Noël en amical hommage Daniel-Rops décembre 1946”.II imprimé par Chaix à Paris, un des 1400 sur Vélin du Marais (N°463) ; bel envoi “à Monsieur Joseph Belle, en union de foi et d’espérance, cette esquisse du seul Modèle. Daniel-Rops” ; on ajoute : photographie du portrait au crayon à papier de Daniel Rops par Henri de Nolhac daté du 1er juin 1943, avec envoi autographe signé : “à M. J. Belle en souvenir cordial de nos rencontres. Daniel-Rops” et lettre autographe signée plus enveloppe manuscrite à J. Belle, 1 f. in-8 plié en deux, adresse en cachet sec : “8 mai (1946). Cher Monsieur, je serai extrêmement heureux de vous revoir si vous pouvez venir jusqu’à moi lundi 13 à 6 heures du soir. D’avance je vous dis mon très fidèle souvenir Daniel-Rops. Metro Sablons descendre en queue de train rue du marché au bout à droite.”Les quatre volumes sont en parfait état. Seconde partie de l’Histoire Sainte, “Jésus en son temps” fut probablement son plus grand succès de librairie, traduit en plus de quatorze langues, il fut vendu à plus de 500 000 exemplaires, la présente édition étant la plus belle, elle est parue presque en même temps que l’édition ordinaire.
Phone number : 06 60 22 21 35
Paris LIBRAIRIE FÉLIX ALCAN 1925 1 Paris, Librairie Félix Alcan, Art et Esthétique, 1925, in-12, broché, couverture illustrée d'une reproduction de Rops représentant une mère et son enfant, 162 pp., XVI pl., table.
Biographie du célèbre illustrateur : l'oeuvre et la vie Rops dessinateur et lithographe Eau-forte Pointe sèche Vernis mou Le peintre de la femme Rops réaliste et Rops symboliste. Petites usures.
1 Bruxelles, Imprimerie Félix Callewaert, 1876.18 x 12 cm, (4)-50pp-(6) avec un frontispice à l'eau-forte (et pointe-sèche) de Félicien Rops. Broché, couverture muette, dos absent et ouvrage en partie débroché, gravure en bel état.
Édition originale et première oeuvre de Théodore Hannon, ici sur papier d'édition (les grands papiers sont au nombre de 70 : 30 Chine et 40 Hollande). S'il ne fait aucun doute que l'image est bien de Rops, comme le précise Rouir, nous ne pouvons souscrire entièrement à son assertion lorsqu'il analyse cette estampe comme étant le travail de l'unique Rops (d'aucuns avaient prétendu à une oeuvre de Hannon). Selon nous, la correspondance citée par Rouir lui-même, notamment la lettre de Rops à Hannon datée du 1er juin 1876, laisse à penser que Th. Hannon aurait pu mettre la main à la rectification de la planche ainsi que Rops lui a écrit de le faire.
Paris, Librairie Félix Alcan / Coll. ''Art et Esthétique'', 1925. Un vol. au format pt in-8 (204 x 148 mm) de 166 pp., broché.
Edition originale. Belle impression sur vergé d'édition agrémentée de 14 (sur 15) planches d'après Félicien Rops. Table : L'oeuve et la vie - Rops, dessinateur et lithographe - Eau-forte, pointe-sèche et vernis mou - Le peintre de la femme - Rops et réaliste et Rops symboliste. Belle condition. Exemplaire non rogné.
1 Relié, demi-percaline bleu clair à coins, dos lisse orné du titre et d'un fleuron dorés, couv. ill. conservées. La reliure est très lég. défraîchie, coin infér. externe de la couv. arrière déchiré (avec manque), bords infér. des 4 derniers ff renforcés). Grand in-8°, 26 x 19 cm, 144 pp. paginées de 385 à 514 + XVI, nombreuses illustrations en noir. Paris, Administration et Rédaction (de la Plume), N° 172, 15 juin 1896. Édition originale.
Abondante iconographie au sein des 9 fascicules consacrés à F. Rops, avec les contributions de textes et poèmes de : Edmond Bailly, Eugène Demolder, Henry Detouche, José-Maria de Heredia, J.-K. Huysmans, Octave Mirbeau, Joséphin Péladan, J. Pradelle, Félicien Rops, Émile Verhaeren, Philippe Zilcken,... L'ensemble est illustré de très nombreux dessins in et h.-t. d'après l'oeuvre de l'artiste et diverses reprod. photographiques. Bon exemplaire. Bon état.
1851 1 Chez Caquet-Bonbec et Cie Éditeurs, Bruxelles, 1851. Une plaquette brochée š(18 x 12,5 cm), 48pp.-[2], 14 illustrations (5 lithographies et 9 gravures sur bois) in et hors-texte dont 1 à double p. Couverture illustrée de l'éditeur. Première livraison de cette publication illustrée par Rops (couverture), rare. Cette publication aura en tout trois livraisons, nous ne vous proposons que la première.Couverture usée et salie, fentes au dos, léger manque au deuxième plat de la couverture (voir photos).
Jean-Guillaume-Antoine Luthereau (1810-1890) était lui-même peintre d'histoire, mais aussi imprimeur-éditeur et rédacteur en chef du journal La Célébrité. Mais le pseudonyme du titre désigne bien Félicien Rops, avec ce clin d'oeil à Cham, son "frère en caricature" : le dessinateur namurois est l'auteur de la plupart des scènes de cette immense parodie.
1 Broché, couverture imprimée d'édition. Grand in-8°, 26,5 x 17 cm, 39pp-[1]. Paris, Maulde, Doumenc & Cie, 1896. Edition originale
Intéressant catalogue d'une vente complète d'oeuvres de Félicien Rops ayant eu lieu à Drouot les 12 et 13 Novembre 1896. La préface au catalogue (14 pp.) est signée par E.(rastène) Ramiro. 246 lots furent dispersés selon les catégories - Dessins et aquarelles encadrés (48), Peintures à l'huile (1), Gravures encadrées, avec dessins en marges et Autographes de Rops (7), Dessins non encadrés et eaux-fortes Ornés de Croquis originaux en marge (7), Gravures encadrées (2), Gravures (168), Lithographies (13). Très bon état général pour ce catalogue peu commun, quelques piqûres et lignes verticales (défauts du papier ?) sur certaines pages, un cachet de provenance au second plat de couv. (A. Bertrand). Bon etat
1 Broché, couverture muette titrée à l'encre par Edouard Dujardin qui signe. In-8°, 27 x 18,5 cm, [2]-29pp-[5], un ex-libris hors-texte de Félicien Rops. Paris, Librairie de la Revue Indépendante, 1887. Edition originale
Édition en partie originale, tirée à 55 exemplaires sur (beau) vélin français à la cuve (dont les 5 premiers sur grand papier). Exemplaire offert par Edouard Dujardin : à ... amicalement (le nom du dédicataire a été gratté), l'envoi est signé sous la justification. L'exemplaire est partiellement non coupé, quelques rousseurs, la couverture poussiéreuse avec quelques plis. L'ouvrage avait été initialement publié dans la Vogue en 1886 avec erreurs et sans révision finale de l'auteur. Second ouvrage de Dujardin après Les Hantises. Contrairement à ce qu'annonce Rouir, le frontispice n'est pas une copie mais bien un dessin de Rops reproduit par Dujardin (photograveur). Bon etat
1 Reliure bradel en demi-percaline bleu de Prusse, dos lisse, pièce de titre bordeaux. In-12°, 19,5 x 12,5 cm, (4)-xvii-(ii)-221pp-(3), avec un frontispice à l'eau-forte et aquatinte de F. Rops en deux tirages, sépia et noir. Sur l'imprimé de Paris MDCCCXXXIII, Amsterdam, A l'Enseigne du Coq, [Bruxelles, Poulet-Malassis], MDCCCLXVI [1866].
Très jolie édition réalisée par les soins de A. P.-M., avec la page de titre en rouge et noir, tirée à 5 exemplaires sur Chine et 200 ex. sur vergé de Hollande, les uns et les autres numérotés, à l'encre. Nous rajoutons : et non, pas tous numérotés : celui-ci est un des 5 exemplaires sur Chine non numéroté, ou un exemplaire de passe, avec le frontispice de F. Rops tiré sur ce même papier. Pour l'explication de ce frontispice, Oberlé et Rouir retranscrivent la lettre de Rops adressée à ce propos à Maurice Bonvoisin. Quelques très rares rousseurs, petites usures à la reliure avec fine perte de toile. Provenance : Majolier (ex-libris). Très bon état
1 2 albums reliés sous cartonnages ill. d'éd. (pleine toile jaune pour le premier et demi-percaline pour le second). Grands in-4°, 59pp-[1] et 63pp-[1]. Importante iconographie h.-t. sur papier couché pour les 2 vol. Berlin, Marquardt & Co, S.d. [1905 (?)] et Berlin, Otto Beckmann, S.d. [1905 (?)].
Édition en langue allemande pour ces deux ouvrages également paru en français. Les couv. sont un petit peu poussiéreuses, l'intérieur très frais. Très bon état
1 Relié, demi-maroquin tabac à coins bordés d'un filet doré, dos à 5 nerfs richement orné, titre et auteur dorés, tête dorée, couvertures ill. et dos conservés. Reliure signée de V. Champs. In-8°, 20,5 x 15 cm, 54 ff. n.ch., portrait de l'auteur par Félicien Rops, ill. in. et h.-t. Paris, E. Dentu et C°, 1887. Edition originale
Edition originale, ici un des 25 exemplaires sur Japon, seul tirage de tête complet du portrait de l'auteur par Félicien Rops. 13 hors-texte et 36 vignettes, tête de chapitre ou encadrement tirés en rouge, mauve ou noir, par Jules Chéret, Detouche, Galice, Grévin, Louis Morin, Félicien Rops, Lunel, Ranft, Van Beers, Willette. 9 lithographies h.-t. de Jules Chéret, imprimées sur papier fort à fond teinté (le verso vierge). Quelques petites taches et frottements au plat arrière ; nom de Félicien Rops souligné de point rose au verso de la page de titre ; quelques notes grattées et trace de papier collé sur les gardes blanches, 1 f. blanc manquant avant la table des matières (Vicaire note 56 ff. n.ch.). Le dos est légèrement éclairci, un coin élimé. Rare en grand papier. Bon etat
Bruxelles Galerie Georges Giroux 1921 1 vol. broché in-4, broché, 144 pp., 29 reproductions hors-texte. Tirage limité à 1000 exemplaires, celui-ci l'un des 400 numérotés sur vergé blanc. Catalogue de la vente aux enchères des 1055 pièces de la collection Mascha, organisée à Bruxelles en décembre 1921. Bon exemplaire.
"L'Église des temps classiques : L'ère des grands craquements" est un autre ouvrage de Daniel Rops faisant partie de sa série intitulée "L'Église des Origines à nos jours." Dans ce livre, Rops explore la période correspondant aux temps classiques de l'histoire de l'Église catholique, couvrant les siècles qui ont suivi la Renaissance jusqu'à l'époque des grands bouleversements et des transformations religieuses. L'ouvrage se penche sur les développements majeurs de cette période, notamment les conflits religieux, les mouvements de réforme et les bouleversements politiques qui ont affecté l'Église catholique. Parmi les événements importants de cette époque, on peut citer la Contre-Réforme, le Concile de Trente, les guerres de religion, les développements artistiques et culturels, ainsi que les changements dans la vie quotidienne des fidèles. Daniel Rops explore également les vies et les contributions de figures religieuses marquantes de cette époque, ainsi que les défis auxquels l'Église catholique a dû faire face. L'ouvrage offre ainsi une vision complète de l'histoire de l'Église catholique pendant la période classique. Comme pour les autres volumes de sa série, "L'Église des temps classiques : L'ère des grands craquements" de Daniel Rops est reconnu pour sa recherche historique détaillée et sa narration informative, en faisant une ressource précieuse pour ceux qui s'intéressent à l'histoire religieuse et à l'histoire de l'Église catholique en particulier. vol in-8, 185x130, broché, 540pages non coupées, très bon exemplaire. Arthème Fayard, 1958 d'autres livres de Daniel Rops en vente, groupez les achats ! ref/162