1921 PARIS, 1921, édition de la nouvelle revue critique, document pour servir à l'histoire de la littérature française, volume in-8 broché, 143 pages, bon état.
Paris, revue Europe N° 439-440 de novembre décembre 1965, volume in-8 broché, 392 pages, couverture illustrée, illustrations hors texte, très bon état
1926 Paris, Rieder, 1926, volume in-8 broché, 185 pages, numéro spécial de la revue Europe du 15 fevrier 1926, portrait d'après une eau-forte de A. de Székely, très bon état
1928 Paris, Albin Michel, 1928, volume in-12 relié demi basane beige, 189 pages, dos lisse orné d'un large fer doré et noir, titre doré, agréable reliure, très bon état
1932 Paris, Albin Michel, 1932-1933, 3 volumes in-12 brochés, 369 322 et 343 pages, bon état
1932 Paris, Albin Michel, 1926, volume in-12 brochés, 354 pages, bon état
1931 Paris, Editions du sablier 1931, volume in-8 broché, 130 pages, bon état
1932 Paris, Ollendorff, sans date (1910), volume in-12 broché, 355 pages, très bon état
1932 Paris, Ollendorff, sans date (1912), volume in-12 broché, 315 pages, très bon état
1926 Paris, Albin Michel, 1926, volume in-12 relié demi basane beige, 218 pages, dos lisse orné d'un large fer doré et noir, titre doré, agréable reliure, très bon état
Paris, Calmann Lévy, 1885, volume in-12 reliure pleine percaline marron chocolat à décor floral blanc de chez Girard et Cie, 323 pages, dos lisse orné d'un décor floral blanc, titre en noir, quelques rares rousseurs claires, très bon état
Paris, Albin Michel, 1944, 2 volume in-8 brochés, 353 et 331 pages, illustrations hors texte, bandeau de librairie, très bon état
Loche Bertault s. d. (vers 1919) In-f° oblong (244 x 319 mm), 20 pp. - [2] ff., ligature de ruban de soie crème, couverture à décor gaufré avec titre et logo doré
Élégant catalogue promotionnel du constructeur tourangeau Rolland-Pilain Ce catalogue, illustré notamment de 9 grandes chromolithographies, s'ouvre après le titre sur l'une d'entre elles à pleine page intitulée : « La Rolland-Pilain en Touraine : Le joyau sort de son écrin » signée par l'illustrateur et affichiste Jean-Raoul Chaurand-Naurac, élève de Gustave Moreau. Suit un texte de Jacques de Gachons, « Dans les allées du jardin de la France », illustré par N. Loyot, où se mêlent de manière amusante éloge de la Rolland-Pilain et guide de la région tourangelle : "Elle nous reçoit et s'élance. Comme elle file ! On dirait un cheval de sang sur la piste de son écurie... C'est un peu cela : notre « Rolland-Pilain » est heureuse de nous ramener vers son pays natal, car elle aime sa Touraine, comme sa Touraine est fière d'elle. Et ce ne fut pas le moindre attrait de cette rapide promenade dans le mystérieux passé que de la faire sur une voiture qui représente si bien le net, le rapide, l'impérieux présent." Viennent ensuite les fiches techniques de trois modèles proposés par le constructeur, illustrées de 6 belles chromolithographies à pleine page (« Torpédo 2 baquets et Spider », « Petite Conduite Intre », « Phaéton Landaulet démontable », « Coupé grand luxe », « Torpédo Sport », « Conduite Intre 4 places »). Dont un modèle annulé, la 14 HP 6 cylindres - Type M6. La mention « annulé », manuscrite à l'encre rouge dans les marges, ne paraît pas sur l'autre exemplaire du catalogue que nous avons pu consulter. Il se conclut par une page de conditions générales suivit de deux chromolithographies à plein page intitulée : « La Rolland-Pilain en Alsace : l'arrivée à l'Hotellerie » et « La Rolland-Pilain à Paris : Les salons de l'avenue Montaigne » dues à nouveau à Jean-Raoul Chaurand-Naurac. Née de l'association de François Rolland, riche propriétaire passionné d'automobiles, et Émile Pilain, jeune technicien de 25 ans, l'entreprise Rolland-Pilain est fondée à Tours en 1906. Elle s'installe place Rabelais en 1911, riche du soutien de 142 souscripteurs et d'un capital de 1150000 francs. L'entreprise contribue à l'effort de guerre puis reprend ses activités malgré des effectifs considérablement réduits. La marque rencontre néanmoins un certain succès au début des années 1920, notamment grâce au lancement de son modèle C23 au salon de l'Automobile : en 1923, un magasin d'exposition et de vente ouvre sur les Champs-Élysées. Mais en 1926, le conseil d'administration prend le pouvoir, et Émile Pilain et François Roland sont évincés - la firme fait faillite en 1932. Des véhicules construits par Rolland-Pilain participèrent à des raids en Afrique et en Asie et aux 24 heures du Mans, et établirent des records de vitesse à Monthléry en plus de remporter de nombreux prix d'élégance. D'après l'Association des Amis de Rolland-Pilain, la production totale du constructeur est estimée à 10000 véhicules entre 1906 et 1932 - aujourd'hui, 110 Rolland-Pilain existeraient à travers le monde, et plus de la moitié roulerait encore. Quelques taches brunes sur la couverture.
1 vol. grand in-8 reliure de l'époque plein chagrin bleu, dos à 5 nerfs orné, filet d'encadrement en plats, chasses richement ornées, tête dorée, Librairie des Auteurs, Paris, 1867, 211 pp. et 2 ff. n. ch.
L'exemplaire est truffé de plusieurs documents intéressants : un ex-dono autographe signé de Jules Rolland, frère d'Amédée Rolland, "A Monsieur Jules de Marthold, souvenir d'une bonne action, le frère de l'auteur" ; un billet autographe signée d'Amédée Rolland "A M. Paul Foucher, e la part de l'auteur" ; une coupure de presse datée à la main du 27 septembre 1891 : "Nous apprenons la mort de M. Jules Rolland, le frère d'Amédée Rolland, l'auteur de Nos Ancêtres. C'est Jules Rolland qui récemment mena à bien l'édition luxueuse de cette tragédie nationale d'une si puissante inspiration" ; un billet autographe signé J. M. (probablement Jules de Marthold) : "Cher Ami, Ecrivez-moi, je vous prie, le nom de la Ville et du Journal (si vous l'avez) vous me l'avez dit hier, mais il ne m'en souvient plus" ; un prospectus contrecollé in-fine indiquant les horaires à la Salle des Conférences, 39 boulevard des Capucines, dont conférences de Léon Hennique, François Coppée, Francisque Sarcey, et surtout Jules de Marthold sur le thème suivant : "Amédée Rolland - Le Poème de la Mort" ; une notice nécrologique d'Henry Murger. Rare exemplaire de l'édition originale, de belle provenance. Etat satisfaisant (petits accrocs en coiffe, reliure un peu frottée). Vicaire, VI, 1176
Paris Editions Albin Michel 1959 in 8 (20,5x15) 1 volume broché, portrait en frontispice, 387 pages [1]. Romain Rolland, Clamecy 1866 - Vézelay 1944, écrivain français, prix Nobel de littérature de 1915. Préface de Umberto Zanotti-Bianco. Choix de lettres de Romain Rolland à Sofia Bertolini Guerrieri-Gonzaga ( 1901-1908 ). Cahier 10. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Broché
Paris Editions Albin Michel 1960 in 8 (20,5x15) 1 volume broché, 374 pages [1]. Romain Rolland, Clamecy 1866 - Vézelay 1944, écrivain français, prix Nobel de littérature de 1915. Choix de lettres de Romain Rolland à Sofia Bertolini Guerrieri-Gonzaga ( 1909-1932 ). Cahier 11. Bel exemplaire
Très bon Broché
Anvers éditions « Lumière » 1922 In-16° carré (160 x 146 mm) 334 pp., broché, non découronné
POUR UN THÉÂTRE POPULAIRE. Édition originale rare, un des 70 exemplaires sur Hollande, seul grand papier (celui-ci un des 20 hors-commerce, marqué D). Tirage total de 1070 exemplaires. Envoi autographe signé : « A. M. le dr A. Dufour / en cordial et reconnaissant hommage / Romain Rolland / décembre 1922 » Historien du théâtre puisant pour ses propres drames dans les sujets antiques, Romain Rolland est profondément marqué, en 1892, par les expériences de son ami Maurice Pottecher autour du théâtre du Peuple. 5 ans plus tard, il compose Les Vaincus, drame ibsénien bien différent de sa production habituelle puisquinspiré par lassassinat du président Carnot. La pièce demeure inachevée, ce qui nempêche pas Romain Rolland de continuer à réfléchir aux enjeux socio-politiques de lart dramatique. En 1899, il propose un projet de congrès européen consacré au théâtre populaire ; mais celui-ci peine à aboutir, et le Théâtre finalement fondé ne correspond en rien à ses idéaux. Il se désole dans son carnet : « Dimanche dernier, le ministre exécutait en partie le projet dont nous étions menacés et a inauguré lUniversité Populaire de la Rue Mouffetard avec le concours des quatre théâtres subventionnés représentés par Mounet-Sully, Coste, Delmas, Delna. Point de spectacle mais des récitations (Les Pauvres Gens de Hugo une fable de La Fontaine, une scène du Mariage Forcé). Cérémonie dailleurs très snobique où assiste à peine 1/8 du peuple. » (« Petit carnet inédit », 2 février 1900 [BNF RR], cité par Meyer-Plantureux) Romain Rolland trouvera cependant une consolation dans sa collaboration avec le metteur en scène Firmin Gémier, qui fonde en 1920 le Théâtre National Populaire. Cest dans ce contexte que paraît enfin Les Vaincus, toujours inachevé. Le dramaturge souligne cependant : « Si je commençais à y faire quelques additions ou retouches, on pourrait me soupçonner de lavoir adapté aux événements et aux pensées daujourdhui. Son originalité est de les avoir devancés dun quart de siècle » (p. 13) Dos insolé ; Meyer-Plantureux, Chantal. « Romain Rolland, premier théoricien du théâtre populaire » in Romain Rolland : théâtre et engagement. Presses universitaires de Caen, 2012. pp. 17-27.
Albin Michel Cahiers Romain Rolland 1978 Albin Michel, Cahiers Romain Rolland (N°24), 1978, 251 p., broché, couverture un peu insolée et salie, bords de la couverture froissés, intérieur propre.
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Paris: A. Michel 1973 in8 Br ,Collection : Cahiers Romain Rolland ; 22,348 p. : portr. ; 21 cm, Contient aussi la correspondance entre Romain Rolland et André Bourgeois, et des lettres de Pierre Valdagne. Notes bibliogr. Index.
envoi autographe de la fille de Romain Rolland,
Albin Michel, Cahiers Romain Rolland, n° 6, 1954. In-8, broché, 356 pages, photo de la mère de Romain Rolland en frontispice. Edition originale de cette correspondance établie par Marie Romain-Rolland. Un des 76 exemplaires numérotés sur vélin de Renage (n° 24), seul tirage en grand papier. Très bel exemplaire non coupé.
EDITION ORIGINALE SUR GRAND PAPIER
K221- ROLLAND d’ERCEVILLE ( Barthélémy Gabriel), MEURGEY de TUPIGNY (Jacques) : Le « Typus religionis ». Description d’un tableau conservé au Musée de l’Histoire de France. Avant-propos de Charles BRAIBANT. Paris, Imprimerie Nationale, 1956.
Reference : K221
(1956)
TEXTES : l’ouvrage débute par un « Avant-Propos » par Charles BRAIBANT (Villemomble [93], 1889 - Paris [XVI°], 1976), archiviste-paléographe (1914), directeur des Archives de France depuis 1948. L’essentiel de l’ouvrage porte sur le « Rapport » présenté au Parlement de Paris, le 15 juillet 1763, par le Président ROLLAND, suivi de la « Description du tableau ». Les pages liminaires (« Typus Religionis », Histoire du tableau, [notice sur] le président Rolland) et les dernières (Appendice [ traductions en français], Conclusion et Bibliographie), sont de J. MURGEY de TUPIGNY. PRÉCISIONS SUR L’AUTEUR : né Jacques-Pierre MEURGEY (Paris, 1891-1973), diplômé de l’École des Chartes en 1924, spécialiste reconnu en sigillographie et en généalogie, à l’époque directeur-adjoint des Archives Nationales ; il sera Commandeur de la Légion d’Honneur en 1961 ; par ailleurs, Chevalier de l’Ordre souverain de Malte [NOTE4]. Accessoirement adoubé dans l’Ordre Francisquin, dans les années 40 : dans la liste alphabétique, il est inscrit entre le docteur Ménétrel et François Mitterrand. Son patronyme devient MEURGEY de TUPIGNY [NOTE 5] par décret du 22/12/1954 ; parfois qualifié de « baron » (NOTE6], comme cela figure, par anticipation, sur deux modèles de son ex-libris, l’un daté de 1947, dessinés par Robert LOUIS, artiste auquel on doit les séries de timbres-poste relatifs aux provinces et villes de France. Par ailleurs, les Archives parisiennes nous apprennent que ses bisaïeux étaient « négociants » ; une de ses tantes avait épousé le fils de Félix Potin , épicier, fondateur de la célèbre enseigne éponyme. Dans son arbre généalogique, il y a donc plus d’épiceries de quartier que de quartiers de noblesse. Et pourtant, dans son volumineux « Armorial de la Généralité de Paris » (Mâcon, 4 vol.,1965-1967), J. M.de T. écrit dans sa préface : « Comme on le croit souvent à tort, et non plus que la particule devant le nom, les armoiries ne sont preuves de noblesse » (Georges Cerbelaud-Salagnac, dans son commentaire sur l’Armorial , in www.erudit.org).
BILLOM COMMUNAUTÉ... TYPUS REVISIONIS...On peut voir à Billom (Puy- de- Dôme), dans la Mairie, une copie du tableau. Une petite plaquette informative, éditée par « Billom Communauté » (de communes), quelques pages illustrées en quadrichromie, dans la série « Focus », est mise à la disposition des visiteurs. Disponible sur Internet (https://billomcommunaute.fr), sous-titrée (Google) « Un guide explicatif dédié au « Typuse ( sic !) Religionis ». Cela commence bien. J’ai pu relever une vingtaine de fautes, imprécisions, omissions, etc. dont voici un aperçu : - sur la date : « dernières années du XVI° siècle », contredit quelques lignes plus loin par cette phrase d’une lourdeur exceptionnelle : « Cependant, on ne peut pas non plus affirmer que ce ne soit pas Ravaillac » [1610] (en bon français, deux négations qui se suivent, relatives à un même objet égalent … une affirmation). Il en résulte que ce sont bien les régicides Clément et Ravaillac qui sont accueillis sur le vaisseau… Éventuellement, le cas échéant, si, sur cette échelle - et à côté-, ce ne sont point des régicides et leurs maîtres à penser, qui donc sont ces personnages ? Décidément, ce tableau est incontestablement « mystérieux », - ce fragment étonnant, le plus important de ce texte : « La lecture du tableau faite en 1763 par le président Rolland est erronée car elle est anecdotique, le sens général du tableau n’a pas été compris ». Anecdotique, la scène la plus importante du tableau ? En son centre, le navire ; sur le pont, au mitan de celui-ci, Loyola exhibe ostensiblement le sceau des Jésuites « IHS » ; toujours au centre de l’image, l’échelle recevant ces personnages … En revanche, le Pape est relégué, en contrebas, dans une barque, attelée à l’arrière du navire. Le Pape montera donc après assassins et complices. Ce tableau n’est pas, paraît-il, un tableau d’église, mais un objet « didactique », aujourd’hui on dirait « pédagogique », dont le but était d’inculquer à ces chers petits les bases de la Religion catholique romaine : cette vision de la Papauté est certainement…anecdotique. - L‘auteur – anonyme - de la plaquette a eu, malgré tout, une intuition géniale, quoique … anecdotique, au sujet de Jacques Clément et de François Ravaillac escaladant une échelle, accueillis à bras ouverts par le jésuite Varade ; « Peut-être le peintre s’est-il amusé (…) ». Allégoriquement, peut-être voulait-il simplement nous « mener en bateau » ? [NOTE7] - ce tableau , empli de figures, d’images, accompagnées, de bulles (censuré par le Vatican), de nombreux cartouches, dans sa version gravée à l’eau-forte, le « Typus Religionis » est, au même titre que la Tapisserie de Bayeux, un ancêtre de la B.D. En fin de compte, ce « travail » anonyme [NOTE 8] me paraît être de la bouillie (pardon, de la mauvaise potée auvergnate) pour touristes. À ce TYPUS REVISIONIS, il ne manque que l’Imprimatur. Avec un pape jésuite, tous les espoirs sont permis. IN FINE, je citerai un auteur , sortant certes de l’ordinaire, qui porte un jugement impartial sur le rôle des Jésuites dans les affaires de régicides : « Si les Jésuites ont été innocents des crimes de Jacques Clément, de Barrière, de Châtel et de Ravaillac ; s’ils ne furent pour rien dans les nombreuses conjurations ourdies contre la vie d’Élisabeth et de Jacques d’Angleterre, des princes de Nassau et de tant d’autres, il faut avouer qu’ il est bien étrange de rencontrer toujours dans ces faits quelque Jésuite confident du coupable. On se demande naturellement comment ces confesseurs, si habiles à s’emparer de l’esprit de leurs pénitents, n’ont jamais pu réussir à empêcher ces attentats dont ils avaient connaissance », tome I, 4. de l’ Histoire des Jésuites composée sur documents authentiques en partie inédits. Paris, Huet, 1858-1859, 3 vol. et Paris, A. Sagnier, 1870 (2° édition). [BNF, 305534**]. Il s’agit de René-François GUETTÉE [Blois, 1816- Ehnen ( Luxembourg], 1892], prêtre catholique de tendance gallicane voire janséniste, qui n’aimait pas les ultramontains : il se convertit à l’orthodoxie (1861), version russe, ultra Vistula , et se fera désormais appeler Wladimir ; marié civilement, ce prêtre hétérodoxe, embrassa l’orthodoxie et , sur un plan différent, sera « hétéro ».// [NOTE 1] Dans la « Bibliographie » [p. (45)], d’une part, sont citées deux gravures différentes du tableau, annoncées avec les « légendes en français » (sic)… Dans la première, jointe à la plaquette (1783), toutes les légendes sont en latin. D’autre part, est mentionnée « La Galère jésuitique » datée de 1826, avec « une estampe différente (…), avec les légendes en français », Paris, L’Huillier, 1826 (BNF, 36345639); il existe, une deuxième édition, parue la même année (BNF, 36345640). Par ailleurs un « Précis de l’histoire des jésuites (…),par Gabriel-Jean CHARVILHAC, accompagné d’une estampe du tableau trouvé (etc.…), paru à Paris, dès 1820, chez le même L’Huillier, montre une gravure qui semble identique à celle de 1826 [BNF 36345591, avec planche et (30226122), sans mention de planche ; photos visibles sur Bibliorare. com et LRB] [NOTE 2] Barthélémy-Gabriel ROLLAND, président du Parlement de Paris, premier comte de CHAMBAUDOIN par érection de la seigneurie en comté (par lettres patentes de Louis XV de janvier 1770, était seigneur d’Allainville, Annemont, Ardouville, Aubreuil, ERCEVILLE, Fontferrière, Gloriette, Judinville, La Muette, Trémeville, et Samois. Cette liste de fiefs, longue comme le bras, malgré l’acte de salubrité publique effectué trente ans auparavant, ne contribua certes pas à lui sauver la vie : il fut guillotiné le 20 avril 1794. [NOTE 3] « imposante peinture sur bois » (sic !), commentaire sur un concert (07/17/2009) dans l’hôtel de Soubise (« concertonet.com », longtemps « dissimulée derrière[sic!] une cimaise » . [NOTE 4] « l’ordre dit de Malte sous-entend noblesse, on y entre pour paraître noble sans l’être le moins du monde et ceci, en France tout particulièrement », l’admission dans cet ordre est devenue « principalement le refuge de la fausse noblesse » ou encore « en 1957, qui est noble va à l’ANF [Association d’entraide de la Noblesse Française], qui voudrait l’être va à Malte » (in Philippe du Puy de Clinchamps, Paris, P.U.F., « Que sais-je ? », La Noblesse, 1959 et La Chevalerie, 1966). [NOTE 5] de Tupigny, famille picarde éteinte depuis très belle lurette (fin du XVII° siècle); absente à l’ANF. [NOTE 6] rien sur son apparition (sur la toile, que des répétitions serviles, ce qui est bien dommage pour un « noble »). [NOTE 7] « mener en bateau », synonyme de «amuser» (CNRTL ). [NOTE 8] anonyme, néanmoins avec la caution morale de l’historien Bernard DOMPNIER (cité en exergue) , qui, entre autres, est « membre du Comité pontifical des sciences historiques (Vatican), membre de l’Accademia Ambrosiana, consultore storico auprès de la Congrégation romaine des Causes des saints » (« chec.uca.fr »). Espérons que la rédaction de ce torchon a été faite à son insu. Sinon… Cette fiche est un extrait d'un texte plus important, avec références bibliographiques, justificatifs et autres commentaires. DISPONIBLE en PDF sur simple demande.
Albin Michel, Cahiers Romain Rolland, n° 9, 1957, 169 pages.. In-8 broché, frontispice et planches hors-texte, index. Préface de Jean Cassou. Edition originale du texte français que Rolland traduira ensuite en latin. Un des 76 exemplaires numérotés sur vélin de Renage, seul tirage en grand papier. A l'état de neuf, non coupé.
EDITION ORIGINALE SUR GRAND PAPIER
La première lui demande une copie des lettres que Romain ROLLAND lui a adressées, et la seconde le remercie pour leur envoi. Signées de son épouse Marie Romain Rolland. On y joint une jolie photographie de Romain ROLLAND âgé, non datée.
ALBIN MICHEL. 1952. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 327+ 375+ 243+ 392 pages- TOME 3: dos légèrement fâné- TOME 4: dos légèrement tâché. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
CAHIER 1. CHOIX DE LETTRES A MALWIDA VON MEYSENBUG- Avant Propos de Edouard Monod Herzen / CAHIER 2. CORRESPONDANCE ENTRE LOUIS GILLET ET ROMAIN ROLLAND CHOIX DE LETTRES- Préface de Paul Claudel / CAHIER 3. RICHARD STRAUSS ET ROMAIN ROLLAND- CORRESPONDANCE FRANGMENTS DE JOURNAL- Avant Propos de Gustave Samazeuilh / CAHIER 4. LE CLOITRE DE LA RUE D ULM- JOURNAL DE ROMAIN ROLLAND A L ECOLE NORMALE 1886-1889- Suivi de QUELQUES LETTRES A SA MERE et de CREDO QUIA VERUM- Avant Propos de André George Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
( Romain ROLLAND ) Eugène PIROU, Photographe au 5 Boulevard St-Germain à PARIS
Reference : 11169
Photographie originale montée sur carton d'un format 190x140mm, tirage argentique d'un format 140x100mm, nom du photographe estampé a froid en marge inférieure du cliché, exemplaire en bon état.Mention manuscrite au dos " vers 1885 ", Romain Rolland était alors étudiant au Lycée Louis-Le-Grand à Paris.
Photographie ayant servi d'illustration à l'article " Le Marquis de Breuilpont et le message des Grands Compositeurs " par Romain Rolland paru dans le numéro 25 ( année 1979 ) de la revue " Cahiers des Amis de Guérande ", elle fût probablement donnée par Madame Romain Rolland au rédacteur en chef de la revue Pierre de La Condamine ...