Escrite par un Greffier de l'Hostel de ville de Paris.Imprimée sur le vray Original - 1620 - 396 pages et 20 feuillets (Table des matières). Portraict du Roy Louys XI. Ex-libris de Nicolas Joseph Foucault.Reliure plein veau havane de l'époque. Dos à nerfs orné et doré. Armes dorées de Nicolas Joseph Foucault au centre des plats. Tranches rouges. Roulette dorée sur les coupes. Quelques légers frottements sur les plats. Pas de rousseur. Bon état. Format in-12°(16x10).Jean de Roye (1425-1495) est un juriste et administrateur français, auteur présumé d'une chronique du règne de Louis XI connue sous le nom traditionnel de Chronique scandaleuse.La Chronique de Jean de Roye (1425-1495) embrasse tout le règne le Louis XI. Source de premier ordre pour l'histoire de Paris en particulier, elle a été reproduite en partie dans les Grandes Chroniques de France et par Antoine Vérard dans la Chronique Martiniane.
ADOLPHE DELAHAYS. 1858. In-8. Relié. Etat passable, Coins frottés, Dos frotté, Quelques rousseurs. 510 + 32 pages - Ecritures dorées sur le dos. . . . Classification Dewey : 843.01-Nouvelles
"Nouvelle édition revue sur l'édition originale, avec des notes et une introduction de P. L. Jacob, bibliophile - Collection "" Bibliothèque Gauloise "" Classification Dewey : 843.01-Nouvelles"
[Hooghe] - COLLECTIF ? (attribuées au roi LOUIS XI ??) - A. de La SALE ?
Reference : AMO-3621
(1786)
Suivent les cent nouvelles, contenant les Cent Histoires Nouveaux, qui sont moult plaisans à raconter, en toutes bonnes compagnies ; par manière de joyeuseté. Nouvelle édition, ornée de cent figures en taille-douce et d'un frontispice. A Cologne, chez Pierre Gaillard, 1786 4 tome en 2 volumes grand in-12 (18 x 11,5 cm) de (4)-144, (4)-V-196, (4)-158 et (4)-157-(4) pages, avec 100 figures hors-texte à l'eau-forte d'après Romain de Hooghe tirées à part (seul le frontispice est signé de Romain de Hooghe et gravé par G. vander Gouwen). Les figures ne sont pas comprises dans la pagination et portent toutes une légende de quelques lignes au bas et le numéro de la nouvelle imprimé en haut. Reliure ancienne demi-veau marron tacheté à l'acide, pièces de titre rouges et pièces de tomaison noires, plats de papier raciné, tranches mouchetées. Reliures typiques des années 1820. Reliure très bien conservées, restées fraîches. Intérieur très frais. Cette édition de 1786 présentes des gravures en beau tirage, bien net et bien encré. Les figures mesurent environ 85 x 75 mm. Il ne faut pas croire les bibliographes qui donnent les figures de cette édition de 1786 pour médiocres, sans doute alors n'ont-ils même pas pris la peine de les regarder, obsédés sans doute qu'ils étaient par l'édition de 1701 (également donnée à l'adresse de Pierre Gaillard à Cologne avec ces mêmes figures de Romain de Hooghe alors en premier tirage). Si l'édition de 1701 fait l'unanimité dans le cénacle bibliophilique, c'est avec plaisir et conviction que je défendrai ce nouveau tirage tout aussi joli et imprimé sur beau papier. Il est vraisemblable que ce tirage de 1786 a été fait sur les cuivres originaux de 1701, probablement retouchés pour certains par Bernard Picart (remise en état après tirage de 1701, 1732 et 1736). Les illustrations, souvent truculentes ou triviales, sont à l'images de celles du Décaméron de Boccace et des Contes et des Fables de La Fontaine. Les Cent Nouvelles nouvelles, dites du roi Louis XI, sont un recueil de contes, composés de 1456 à 1461 à la cour du duc de Bourgogne Philippe le Bon, pendant le séjour que fit au château de Genappe le dauphin Louis, fils de Charles VII. Pour distraire les ennuis de l'exil du dauphin, chaque seigneur à son tour faisait un joyeux récit ; dans l'édition publiée en 1486 par Antoine Vérard, les Nouvelles portent les noms de ceux qui les contèrent, et celles qui sont attribuées à Monseigneur, sans autre désignation, appartiennent, dit l'éditeur, au dauphin lui-même. Un secrétaire, ajoute la tradition, recueillit et rédigea ces histoires qui égayaient la cour de Bourgogne s'accorde, en effet, à reconnaître aux Cent nouvelles nouvelles un auteur unique, qui recueillit sans doute ses matériaux dans les réunions de Genappe, mais qui donna au livre sa forme et son style. Cet auteur aurait été pour certains Antoine de La Sale, à qui l'on doit encore Les quinze joyes du mariage et l'Histoire du petit Jehan de Saintré. Il demeurait à Genappe, et son nom figure dans le recueil même, où se trouvent d'ailleurs les formes de pensée et de style particulières à ses autres ouvrages. Pour d'autres, tels l'historien Pierre Champion, la paternté de l'ouvrage revient à Philippe de Loan et Philippe Pot mais c'est à ce dernier qu'il propose en définitive de reconnaître la paternité complète du recueil. Les diseurs se mettent en scène, utilisant leurs souvenirs, leurs expériences ou leurs lectures ; ils pillent, sans le dire, le Décaméron de Boccace (traduit en français par Laurent de Premierfait), les nouvelles humanistes du Pogge (Poggio Bracciolini), les fabliaux français ou la Disciplina Clericalis de Pierre Alphonse. Le rédacteur déplace les anecdotes qu'il emprunte à des livres : elles se déroulent surtout dans les Flandres et en France, en Bourgogne, parfois à l'étranger (Angleterre, Allemagne, Italie, Provence, Lorraine, Espagne). Le titre de ces nouvelles ne manque pas de piquant : Le Baiser interdit, L’Amer Festin du compagnon qui aimait trop les femmes, Le Déshabillage de la femme infidèle, La Corne du diable, Le Festin du moine, La Femme incorrigible, La Femme du franc-buveur, Le Jeune Mari et le petit âne, Les Amants imprévoyants, etc. Références : Cohen, 361 (pour le premier tirage). Provenance : de la bibliothèque de Robert de Billy avec son ex libris gravé ; de la bibliothèque F. M. Caye avec son ex libris. Bel exemplaire de ce très joli ouvrage illustré par Romain de Hooghe.
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JEAN DE BONNOT. 1995. In-8. Relié plein cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 472 pages. Frontispice en noir et blanc. Quelques planches en noir et blanc. Tranche en tête dorée. Un signet. Contre-plats jaspés. Page ex-libris vierge. Illustrations incrustées dorées sur les plats et le dos.. . . . Classification Dewey : 929.2-Histoire des familles célèbres
TIRAGE SPECIAL, EXEMPLAIRE DE TETE SIGNE DE L'EDITEUR. TIRAGE SPECIAL DE 7000 EXEMPLAIRES : LE PRESENT VOLUME PORTE LE N°6634. Classification Dewey : 929.2-Histoire des familles célèbres
LA CHAIZE (le Père François d’Aix) jésuite, confesseur de Louis XIV pendant plus d’une trentaine d’années (1624-1709)Il a donné son nom au cimetière du Père-Lachaise à Paris, sur l’emplacement de jardins ayant appartenu aux jésuites et où le Père Lachaise séjournait fréquemment. Il fut un artisan actif des négociations entre le roi et le pape, Innocent XI, au moment de l’affaire de « la Régale ».
Reference : 24BC22
Très intéressante lettre relative à l’organisation cléricale des provinces conquises en Flandre. « J’ai entretenu Monsieur de Louvois touchant le partage que le Roy désiroit de vos provinces, et S. Mté a ensuite agrée qu’elles demeurassent au mesme estat qu’elles sont, avec cette différence… que la Gallo-Belgique soit de l’Assistance de France. Si bien que ce changement n’ayant rien qui paroisse au dehors toutes choses s’accommoderont doucement à la satisfaction de deux Provinces… ».