P., Société Parisienne d'Edition, 1943, in-12, 237 pp, 16 pl. de photos hors texte, index des noms cités, broché, couv. ornée d'un petit portrait photo de Charles de Rochefort, bon état, envoi a.s. de Ch. de Rochefort
Mémoires de l'acteur et réalisateur Charles de Rochefort. Star du cinéma muet, il tourne en France, aux Etats-Unis et en Italie une trentaine de films en tant qu'acteur et une dizaine d'autres en tant que réalisateur. Comparse habituel de Max Linder, il joue aussi sous la direction d'Abel Gance, Léonce Perret et Victor Fleming. Son rôle le plus prestigieux est celui du pharaon Ramsès II dans la version muette des Dix Commandements réalisée par Cecil B. DeMille en 1923. Ses souvenirs, rédigés par Pierre Andrieu, évoquent le théâtre, la Grande Guerre, le cinéma, les Etats-Unis, la prohibition, Hollywood, etc. — Charles de Rochefort grandit à Oran, en Algérie française, où son père, le Marquis Paul Charles Dominique d’Authier de Rochefort, occupe le poste de directeur de la Compagnie Générale Transatlantique. Sa mère Camille est issue d'une illustre famille Corse. Adolescent, il fait du sport assidument et se forge un corps d’athlète. En 1905, il termine ses études à Paris où nait son attirance pour la scène. Charles de Rochefort se consacre rapidement exclusivement à sa nouvelle passion. Avec son charisme, son allure et son ardeur, il est très vite employé pour jouer des petits rôles au théâtre ou dans des revues de music-hall. Dès 1910, il fait ses premières apparitions pour le cinéma dans des petits films d’une ou deux bobines de Max Linder. Quand la Première Guerre Mondiale éclate, il s’engage aussitôt. En qualité de lieutenant, il participe à plusieurs campagnes et se bat à Verdun. Il est démobilisé en 1918. Charles de Rochefort est aussitôt engagé par Jean Durand pour être le partenaire de Jacqueline Forzane dans Impéria (1918), un sérial en costumes de douze épisodes produit par la Société des Cinéromans. Il travaille ensuite sous la direction de Gaston Roudès, Camille de Morlhon, Léonce Perret, et devient une vedette à part entière avec Le roi de Camargue (1921), adapté du roman de Jean Aicard par André Hugon. Ses qualités physiques sont mises à contribution dans des drames, des films d’aventure ou romanesques. Il tourne entre-autres, dans Gigolette (1921) d'Henri Pouctal, L’empereur des pauvres (1921) de René Leprince, L’arlésienne (1922) d'André Antoine, Le diamant noir (1922) d'André Hugon et La dame au ruban de velours (1923) de Giuseppe Guarino. Parallèlement, Charles de Rochefort commence une carrière américaine dans Sous le soleil d’Espagne (1922), une production de la Famous Players-Lasky tournée en Espagne par John S. Robertson. Sous le nom de Charles de Roche, il est la vedette d’une demi-douzaine de films à Hollywood, parmi lesquels La flétrissure (1923) de George Fitzmaurice avec Pola Negri, et surtout Les dix commandements (1923) de Cecil B. DeMille, dans le rôle de Ramsès II. De retour en France, il passe à la réalisation et dirige sept films dans les années 1930. En 1936, il prend la direction du Théâtre Albert 1er et le renomme Théâtre Charles-de-Rochefort. Pour sa première pièce il présente Allo, Police-secours, une œuvre policière dont il est l’auteur. Le succès le pousse à monter de nombreuses pièces du même genre, assurant souvent lui-même la mise en scène. Mobilisé et blessé au cours de la Seconde Guerre mondiale, c’est son épouse, la comédienne Mary Grant, qui reprend la direction du théâtre, poste qu’elle occupera jusqu’en 1972. En 1943, l’acteur publie ses mémoires sous le titre "Le film de mes souvenirs : Secrets de vedettes". Malade, il s’éloigne du métier à la fin des années 1940. Il décède à Paris, le 31 janvier 1952. (notrecinema.com)
P., Librairie Anti-Cléricale, s.d. (1880-1881), 3 vol. in-4°, 334, 339 et 532 pp, nombreuses illustrations dans le texte, reliures demi-chagrin carmin, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres et caissons dorés (rel. de l'époque), qqs rousseurs, bon état. Exemplaire bien relié
Réédition au format in-4° (16 x 26,7 cm) des 75 numéros de “La Lanterne” publiés sous le second Empire. Le premier volume indique en surtitre : “La Propagande républicaine”. — Etincelant polémiste et républicain ardent, Henri de Rochefort-Luçay (1831-1913) débuta comme journaliste au “Charivari” puis au “Figaro” avant de lancer “La Lanterne” en mai 1868. Le journal à la couverture vermillon, dans un format de conspirateur, tient dans la paume de la main, L'intransigeance du ton fit rapidement monter le tirage à plus de 100.000 exemplaires, imposant bientôt son unique rédacteur comme l'écrivain le plus populaire de France. L'incipit de ce "Mémorial des malpropretés de l'Empire" est resté fameux : "La France contient, dit l'Almanach impérial, trente-six millions de sujets, sans compter les sujets de mécontentement." Rochefort s'attira assez vite les foudres du gouvernement impérial : le onzième numéro fut saisi ainsi que le douzième (18 août 1868). Il fut condamné à treize mois de prison et 10.000 francs d'amende. Le chemin de l'exil s'imposait. Il quitta Paris et se réfugia à Bruxelles chez les Hugo. Pour mieux déjouer la vigilance des douanes, les brochures frappées d'interdit étaient parfois expédiées parmi des colis de bustes en plâtre de Napoléon III : "Le venin impérial porte en lui-même son contre-poison !" Sous la Commune, il livra une lutte ardente contre le gouvernement de Versailles. Condamné à la déportation en Nouvelle-Calédonie, sa spectaculaire évasion du bateau-prison fit les gros titres de la presse européenne. “La Lanterne” poursuivit le combat jusqu'en 1876, à Londres comme à Genève. Prince du pamphlet, Henri Rochefort éblouit par le tranchant du style, la fulgurance des traits, le brio de ses exécutions capitales : "Monsieur Mérimée, que toute la presse avait enterré ces jours-ci, est en pleine convalescence. Il n'est donc pas mort, mais il est sénateur, ce qui revient absolument au même."
( Fantastique - Illustration ) - P.-J.Stahl (P.-J.Hetzel) - Auguste Barbier - Alfred de Musset - Gustave Droz - Frédéric Soulié - Théophile Lavallée - Léon Gozlan - Laurent-Jan - Henri Rochefort - Auguste Villemot - Honoré de Balzac - Bertall - Champin - Clerget - Gavarni - Grandville.
Reference : 24299
(1989)
Paris, Jules Hetzel, Libraire-Editeur, 18 rue Jacob, 1868. Fort 1n-4 cartonnage éditeur, plein maroquin marron, qui contient les 2 premières parties de l'œuvre, soit de livraisons de 232 et 196 pages au format 28 x 6 x 99 cm. Couvertures muettes. Dos rond à 5 nerfs ( un peu frottés ), avec titre et fleurons dorés. Plats avec coins légèrement frottés. Intérieur très frais sans pratiquement de rousseurs. Le Diable à Paris est une sorte de panthéon littéraire et artistique à la gloire de la capitale. Imaginé par l’éditeur talentueux, Pierre-Jules Hetzel, il rassemble les contributions des plus célèbres écrivains et illustrateurs du temps. Satan s’ennuie et confie à un diable ordinaire et paresseux la mission d’être son ambassadeur à Paris et de lui écrire chaque semaine pour lui rendre compte de la vie dans la capitale. L’ambassadeur improvisé sollicite les écrivains et les illustrateurs de l’époque pour chroniquer à sa place la vie parisienne. Dans cette édition de 1868 on trouve des textes de P.-J.Stahl (P.-J.Hetzel), Auguste Barbier, Alfred de Musset, Gustave Droz, Frédéric Soulié, Théophile Lavallée, Léon Gozlan, Laurent-Jan, Henri Rochefort, Auguste Villemot, Honoré de Balzac, Les illustrations in et hors texte sont de Bertall, Champin, Clerget, Gavarni, Grandville. Tables des textes, des illustrations et des hors-texte. Superbe état général, proche du parfait. Nouvelle édition en partie originale, augmentée de nombreux dessins inédits. Rare, surtout dans un tel état de fraicheur.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres
Ramsay, 1980, in-8°, 407 pp, repères chronologiques, broché, couv. illustrée par Manet (« L'évasion de Rochefort »), bon état
Edition allégée des Mémoires de Victor Henri Marquis de Rochefort-Lucay (1831-1913), l'homme de la Lanterne, publiés en 1896 chez l'éditeur Paul Dupont à Paris (5 volumes in-12, soit plus de 1850 pages). L'éditeur a surtout sacrifié la dernière partie, celle consacrée au Boulangisme, et à nombre de personnages ou d'affaires des débuts de la Troisième République.
René Debresse éditeur / Les Cahiers de l'école de Rochefort - Cahier n° 5 de la troisième série de Mai 1942. Feuille in-8 au format 16 x 25 cm, rempliée pour former une plaquette de 8 pages. Bords insolés, avec petites fentes au pliures. Poèmes de Noël Arnaud. Rarissime édition originale en très bel état général. Publication extrêmement fragile.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres
P., G. Charpentier ; Librairie Moderne, s.d. (1880) et 1887, 2 vol. in-12, 376 et 318 pp, mention de 2e mille sur la page de titre de “La Mal'aria”, réunion de 2 romans reliés ensemble en un volume demi-basane verte, dos lisse avec titres et triples filets dorés (rel. de l'époque), bon état
"Rochefort lui-même, quel que soit le jugement que l'on porte sur ses prestations de journaliste dans la Lanterne et l'Intransigeant, ne peut en aucun cas être considéré comme un romancier supérieur à Ernest Daudet. Lorsqu'il revint à Paris en 1880, il attira immédiatement l'attention sur lui et sur le nouveau journal L'Intransigeant par le roman “Mademoiselle de Bismarck”, publié en feuilleton dans ce journal, un récit ordinaire dans lequel il ne s'agissait nullement, comme on le supposait généralement, de la fille du chancelier allemand, et qui n'intriguait que par ce titre. Depuis, il a poursuivi dans ses livres la réhabilitation de la Commune, comme dans “Le Palefrenier”, où l'on trouve quelques passages d'un naturalisme inutile, ou décrit la vie des exilés en Nouvelle-Calédonie, comme dans “L'Evadé, roman canaque”." (H. J. Heller, Zeitschrift für neufranzösische Sprache und Literatur, 1888)
P., Victor-Havard, 1886, 2 vol. in-12, 331 et 329 pp, réunion de 2 ouvrages reliés ensemble en un volume demi-basane verte, dos lisse avec titres et triples filets dorés (rel. de l'époque), bon état. Edition originale pour “Farces amères”
Les Signes du temps sont la troisième série des “Français de la décadence”. "Farces amères est un intéressant recueil d'articles que Rochefort a publiés sous le pseudonyme de Grimsel dans le “Gil Blas”, il contient entre autres une section sur le Théâtre français." (H. J. Heller, Zeitschrift für neufranzösische Sprache und Literatur, 1888)
P., Jules Rouff, 1881, in-12, 355 pp, reliure demi-chagrin carmin, dos à 4 nerfs pointillés soulignés de doubles filets dorés, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), qqs pâles rousseurs éparses, coupes frottées, bon état
Du fait de sa participation active à la Commune, l’auteur fut déporté en Nouvelle-Calédonie. Il parvint à s’échapper à bord d’un bateau anglais. Il relate ici sson incroyable périple qui le conduit jusqu'en Australie, aux îles Fidji, à Honolulu et en Amérique, d'où il regagne l'Europe. — "Bien que n'ayant pas pris part à la Commune, [l'auteur] fut arrêté en mai 1871 et condamné à la déportation [...] Il arrive en Calédonie le 8 décembre 1873 et est envoyé à la presqu'ile Ducos. Il s'en échappe grâce à l'organisation de son ami Achille Ballière [...] le 20 mars 1874. En 1880, il rentre en France à la faveur de l'amnistie, fonde “L'Intransigeant” et mène les plus vigoureuses campagnes politiques..." (O'Reilly, 222-223) — "L’amnistie acquise, l’arrivée de Rochefort à Paris, le 14 juillet 1880, déchaîna une manifestation quasi révolutionnaire. Il fonda “L’Intransigeant” et fut élu député de Paris en 1885 ; il se rallia par la suite eu boulangisme et fut violemment antidreyfusard et antisémite." (Michel Cordillot, Maitron-en-ligne)
P., Knapen et Fils, 1778, in-8°, xxxii-324-[1] f. (errata) pp, reliure plein veau marbré, dos à 5 nerfs guillochés et caissons ornés, titres dorés, coupes filetées, tranches rouges (rel. de l'époque), bon état
Edition originale de cet ouvrage qui réfute les idées émises par le baron d'Holbach dans son «Système de la nature» et prône le bonheur comme objectif de toute éducation. Guillaume Dubois de Rochefort, né en 1731 à Lyon et mort le 25 juillet 1788 à Paris, est un helléniste français. Après avoir fait ses études à Paris, il obtient en 1750, à dix-neuf ans, la place de receveur général des fermes à Sète. Il s'y occupe bien moins de sa fortune que de littérature : après l’anglais et l’italien, il s’applique a l’étude de la langue grecque et se passionne tellement pour Homère qu’il entreprend de le traduire en vers. En 1762 il résigne son emploi et vient s’établir à Paris. En 1767, il entre à l’Académie des inscriptions et belles-lettres...
Clamecy, Imprimerie Laballery, Editions de Larquier, 1984. In-4°, broché, couverture illustrée, 527 pp.
Ouvrage recensant la descendance complète des quatre principaux personnages qui participèrent à l'expédition du vaisseau "la Victoire" durant la guerre d'indépendance américaine : Charles-François de Broglie, les frères Guy et François Augustin du Boismartin et Jean de Kalb. Index des noms. Exemplaire justifié à la main. État de neuf.
PUF, 1961, gr. in-8°, 363 pp, 8 pl. de photos hors texte, 22 cartes et croquis, broché, couv. illustrée, état correct
Ed. Monnier et Cie, 1885, in-12, 375 pp, qqs rousseurs, reliure toile noire de bibliothèque, dos détaché. Edition originale
HENRI ROCHEFORT: Lettre manuscrite signée à un Romancier. PRISON / ROMAN / REVUE "LA GRANDE MARSEILLAISE". 1870. Autographe signé. Il informe l'auteur d'un roman qu'il espère le faire paraître dans la revue "la grande Marseillaise" où il écrit lui-même, mais l'état de ses yeux, abîmés par son séjour en prison, ne lui a pas permis de le lire en entier. Tout dépend des évènements. HENRI ROCHEFORT. Victor Henri de Rochefort-Luçay, né le 30 janvier 1831 à Paris et mort le 30 juin 1913 à Aix-les-Bains, mieux connu sous le nom d'Henri Rochefort, est un journaliste, auteur de théâtre et homme politique français. Il est déporté à Nouméa (Nouvelle-Calédonie) en 1873, avec Louise Michel, et s'en évade l'année suivante. Boulangiste, il est condamné une seconde fois à la déportation, en 1889, par contumace, ayant suivi le gal Boulanger dans son exil. Grand polémiste dans les pages de ses journaux (La Lanterne, La grande Marseillaise, L'Intransigeant), il défend des options politiques radicales voire extrémistes (anticlérical, nationaliste, favorable à la Commune, boulangiste, socialiste et antidreyfusard). Son engagement lui vaut le surnom de « l'homme aux vingt duels et trente procès », ainsi que des condamnations, notamment au bagne de Nouméa dont, fait unique, il parvient à s'échapper en 1874. Ce qui inspira en 1880 une peinture d'ÉDOUARD MANET intitulée "l'évasion de Rochefort", où l'on voit ce dernier en pleine mer, dans une barque. Bon
L.A.S. (208 x 133) 1 p., s.l.n.d., à "Mon cher Philibert". Froissée.
Lettre de remerciement au journaliste Philibert AUDEBRAND (1815-1906) pour son article : "() je ne pouvais pas espérer un article aussi charmant et aussi sympathique. Vous êtes un ange et un vrai ami. Les dernières lignes m'ont particulièrement touché. Je n'ai pas besoin de vous dire pourquoi, d'autant plus qu'il y avait du courage à dire ce que vous dites. Merci donc deux mille fois et tout à vous. Henri Rochefort". Journaliste et homme politique français, ROCHEFORT est déporté à Nouméa (Nouvelle-Calé-donie) en 1873, avec Louise Michel, et s'en évade l'année suivante. Boulangiste, il est condamné une 2nde fois à la déportation, en 1889, par contumace, ayant suivi le gal Boulanger dans son exil. On joint 1 photographie originale (140 x 102), portrait de H. Rochefort, avec en-dessous un bas de lettre signée "à vous, Henri Rochefort", tous 2 contrecollés sur carton fort (220 x 130) (coin inf. du support cassé.) ainsi qu'1 carte de visite "Henri de Rochefort".
Frankfurt: Wilhelm Serlin, 1668. 12mo (140 x 85 mm). In contemporary full calf with four raised bands and gilt lettering and ornamentation to spine. Small paper label pasted on to top of spine indicating the inventory number in a estate library. A few worm holes to boards. Closely trimmed, a few leaves with slight loss of text to upper margin. Leaf pp. 389/390 with repair in margin, with loss of text, otherwise a nice copy. (20), 31, (3), 430, (14)" (12), 514 pp. + frontispiece and 45 plates (as called for by Sabin).
Rare first German edition, here with the often lacking second part (“the second, which is generally lacking” – Sabin) of this early and important work on the Antilles Islands describing the customs and manner of the inhabitants - ""The work is an important and valuable contribution to our knowledge of the Antilles... "" (Sabin 72321). Rochefort's book was written for the principal purpose of convincing other Huguenots to emigrate to the Caribbean. It described the islands and the natives in glowing terms, to make the Antilles seem a desirable destination for Protestants living in a France that didn't want them and barely tolerated them. The first part of the text, beautifully illustrated with copperplates, showcases the flora of the New World, including pineapple, indigo, ginger, cocoa, coconut, palm trees, and tobacco. Additionally, depictions of various fish, birds, animals, and traditional costumes are also included. Notably, it includes a chapter on the Apalachee Indians of the southwestern United States and a Carib language glossary by Raymond Breton. “Charles de Rochefort, a French Huguenot minister and missionary, was born in 1605 and died in 1683. He spent at least a decade in the Caribbean, from 1636 to the mid- 1640s, on Tobago and what we now call St. Kitts, before returning to take up a post as minister at a Huguenot Church in Rotterdam, a position that he held the rest of his life. In 1658, a book was published in Rotterdam, called Histoire naturelle et morale des iles Antilles de l'Amerique. The only name mentioned in the preface was “M. de Rochefort”. For a long time, this was suspected to be either Cesar de Rochefort or the comte de Rochefort. But in 1992, a scholar convincingly demonstrated that the author was Charles de Rochefort, the Huguenot minister of Rotterdam. The missionary purpose notwithstanding, Rochefort was very good at describing the flora and fauna of the Antilles, especially the plants. And he provided attractive engravings of many of the tropical plants he described. We show several of those illustrations here. You will notice that Rochefort, unlike Piso, liked to depict natives interacting with the plants, which makes his engravings even more attractive, from an ethnological point of view.” (Linda Hall) This German translation is based on the second edition of the original French edition. Sabin 72321
HENRI ROCHEFORT / PAUL DE CASSAGNAC : 2 Lettres Manuscrites signées concernant une sortie au Théâtre envoyées à Monsieur (La Hargne ?), Un directeur de Théâtre. Chemise de papier avec les 2 lettres montées. Bon état. *Lettre manuscrite d'Henri Rochefort avec l'entête tampon du journal politique "l'intransigeant" dont il était le rédacteur en chef en parallèle de la revue pamphlétaire "la lanterne". Paris, le 8 Mars 1889. "Je vous serais vivement obligé s'il vous était possible de me faire faveur ce soir la gracieuseté d'une loge de quatre places. Votre tout dévoué. HENRI ROCHEFORT." *Lettre manuscrite de Paul de Cassagnac avec l'entête du ministère de l'intérieur, cabinet du ministre. Non daté, mais probablement l'année 1889. "Monsieur La Hargne, Pourrez-vous me donner une deuxième loge pour ce soir? J'en ai un grand besoin (.....?...). Paul De Cassagnac. PS: Si vous n'avez pas de deuxième place en fauteuil de me (.. prévenir..?)". PAUL DE CASSAGNAC. Paul Adolphe Marie Prosper Granier de Cassagnac (1842-1904), dit Paul de Cassagnac, est un journaliste politique, un député bonapartiste d'extrême droite et un duelliste français. Ennemi implacable de la République, il est l'inventeur du surnom péjoratif La Gueuse désignant la République, surnom repris plus tard par les royalistes de l'Action française. HENRI ROCHEFORT. Victor Henri de Rochefort-Luçay, né le 30 janvier 1831 à Paris et mort le 30 juin 1913 à Aix-les-Bains, mieux connu sous le nom d'Henri Rochefort, est un journaliste, auteur de théâtre et homme politique français. Il est déporté à Nouméa (Nouvelle-Calédonie) en 1873, avec Louise Michel, et s'en évade l'année suivante. Boulangiste, il est condamné une seconde fois à la déportation, en 1889, par contumace, ayant suivi le gal Boulanger dans son exil. Grand polémiste dans les pages de ses journaux (La Lanterne, La Marseillaise, L'Intransigeant), il défend des options politiques radicales voire extrémistes (anticlérical, nationaliste, favorable à la Commune, boulangiste, socialiste et antidreyfusard). Son engagement lui vaut le surnom de « l'homme aux vingt duels et trente procès », ainsi que des condamnations, notamment au bagne de Nouméa dont, fait unique, il parvient à s'échapper en 1874. Bon
[NANTES] L. CRUCY FRÈRES [CONSTRUCTION NAVALE] - HENRI POUSSIELGUE FONDÉ DE POUVOIR A ROCHEFORT-SUR-MER
Reference : 26330
(1803)
Chantenay 1803 RECAPITULATION DE FACTURE ORIGINALE d'1 page manuscrite à l'encre brune, format :18 x 23 cm, sur papier velin crème, ligné et filigrané, RÉCAPITULATION DE LA FACTURE DE LA GABARRE : "LA TOINETTE", CAPITAINE BURTIN ALLANT A ROCHEFORT A LA CONSIGNATION DE MR H.J. POUSSIELGUE, AVEC CHARGEMENT DE BOIS DE MARINE POUR LE COMPTE DE MR L. CRUCY FRÈRES, AU CHANTIER DE LA PIPERIE (CHANTENAY), LE 2 THERMIDOR AN 11 (21 JUILLET 1803), Récapitulation de Facture émise au Chantier de la Piperie(Chantenay) CRUCY FRÈRES.
FOURNITURE pour le Chantier Naval DE ROCHEFORT, AUX FRÈRES CRUCY, Les Crucy signent leur premier contrat pour Rochefort le 4 août 1802 pour les coques de 3 vaisseaux de 74 au prix de 640 000 francs lunité. Ils ont à leur disposition le chantier de chenal de la Cloche au « magasin brûlé ». Leur fondé de pouvoir est dabord la société Guérin Aîné et Cie, puis Henry Poussielgue, frère de leur associé Etienne Poussielgue .......... en trés bon état (very good condition). en trés bon état
A Rochefort, , A Rochefort, le 14 avril 1781 ; MANUSCRIT in-folio en ff. 20 pages et 2 ff. servant de couverture.Samuel Guisan, célèbre ingénieur agricole né à Avenches (Vaud) et mort à St.-Eustache (Antilles), avait commencé sa carrière comme régisseur d’une sucrerie au Surinam. Lorsque en 1777 Malouet vint visiter la colonie hollandaise, il réussit à l’engager au service du gouvernement français pour la gestion économique de la Guyane. Les travaux de Guisan furent considérables : assèchement des marais de Cayenne, construction de canaux, creusement du canal de Kaw, exploration des marais entre Kaw et l’Appouague, installation de colons agricoles, moulins de canne à sucre. Rappelé en France en 1780, Guisan fut récompensé de ses services par la Croix de Saint-Louis, le roi le chargea d’examiner les marais de Rochefort, afin d’en proposer un plan de dessèchement. Les travaux achevés, Guisan retourna à Cayenne d’où il fut chassé pendant la Révolution. Ce manuscrit signé par Guisan donne l’état détaillé des dépenses et devis pour ces grands travaux, pour un total de 429892 livres.
Phone number : 03 86 50 05 22
[BRETAGNE - PLUHERLIN] Messire Jean Anne Vincent LARLAN DE KERCADIO, Chevalier, Mousquetaire, Seigneur Comte de ROCHEFORT, Marquis de la Dobrays, Seigneur de Questembert, etc. et des Châtellenies de MALESTROIT et autres lieux + GUÉRIN NOTAIRE
Reference : 26295
(1755)
PLUHERLIN 1755 un document ORIGINAL manuscrit de 4 pages à l'encre brune sur velin parcheminé, format : 27,6 centimètres de haut par 20,8 centimètres de large, cachet noir de généralité : Bretagne 20 sols en tête, signé Guérin notaire du Comte de Rochefort, Chateau de Rochefort paroisse de Pluherlin, le 19 Mars 1755,
RARE DOCUMENT ...... en bon état (good condition).
(1854) Rochefort lui rappelle sa promesse …de venir poser pour votre portrait photographique. (…) quoique laffaire ait un peu changé de face. Un jeune sculpteur, M. Félix Roubaud (…) vient dêtre chargé dexécuter au Louvre les figures colossales de la Philosophie et de la poésie, a entrepris pour le Salon prochain une galerie des bustes des célébrités littéraires contemporaines… Pour mener à bien cette œuvre, il aurait besoin …du concours obligeant de ceux qui la composeront… Les confrères contactés ont tous donné leur accord pour quelques séances, étant entendu que …les bustes seront demi-nature ; dabord moulés en plâtre puis coulés en bronze… et que chacun des participants en recevra un exemplaire. …Nous savons trop bien tout ce quun tel dérangement a de désagréable. Nous nen persistons pas moins à vous supplier de vouloir bien nous accorder quelques heures. Cette galerie ne peut offrir dintérêt quautant quelle sera consciencieuse et complète… Il espère donc quil acceptera de participer prochainement à une séance, indique ladresse de latelier et attend un mot de réponse.François Félix Roubaud, dit Roubaud laîné (1824-1876) est un sculpteur français qui sera chargé de nombreuses commandes publiques, aussi bien pour la ville de Lyon quà Paris. Il réalisa également de nombreux portraits, bustes et médaillons.
Portrait photographique original d’Henri Rochefort montrant le polémiste assis dans son jardin, son chat sur les genoux. 9 x 11,5 cm hors marge, tirage d’époque avec envoi autographe dans la marge blanche : « à Madame Dashwood / souvenir de / Henri Rochefort / 1912 » Beau cliché, en bel état.
New-York, Imprimerie du Messager franco-américain, 1874. In-16 broché de 35 pp., couverture imprimée.
Édition originale de toute rareté, publiée dans l'exil. Bel exemplaire acheminé par la poste en France avec cette mention manuscrite : « M. Ziegler 52 rue du Rhône Sous double enveloppe ». Cachet à froid de la Bibliothèque Émile Bergerat.Henri Rochefort est un des personnages les plus originaux, les plus vigoureux de la seconde moitié du XIXe siècle. Collaborateur du Charivari, du Nain Jaune, il est surtout célèbre par La Lanterne, fondée en 1868. Mais là ne se limite pas son inlassable activité de polémiste. Il fonde en 1869 La Marseillaise, est le rédacteur en chef du Mot d'ordre à sa création, en février 1871. Arrêté par les Versaillais, il est condamné par le tribunal militaire à la déportation à vie. Moins d'un an après sa déportation à la Nouvelle-Calédonie, il s'évade dans nuit du 20 juin 1874 et rejoint les États-Unis.« Ayant débarqué incognito à San Francisco pour tromper la meute de journalistes qui l’attendait, Henri Rochefort fut bientôt repéré, suivi à la trace et harcelé durant toute la durée du voyage en chemin de fer qui l’emmenait à New York (7 jours). Il accepta finalement de donner une interview exclusive au New York Herald, qui fut publiée simultanément en français et en anglais le 31 mai 1874, jour de son arrivée à New York, et qui s’arracha aussi bien à Paris (la police ayant tardé à réagir) qu’à New York. Le ton en était plutôt modéré : « La Commune a été, comme les pouvoirs nés d’une insurrection, un gouvernement de fait » ; eût-elle su faire preuve d’un plus grand esprit de conciliation, « la démocratie n’aurait pas perdu 35 000 de ses meilleurs soldats, massacrés au nom de la République ». Outre avoir fait rire les Parisiens aux dépens du gouvernement, le principal résultat de la publication de ce texte fut d’amener la presse américaine et une partie de l’opinion publique à reconsidérer les événements de la Commune. Fêté par les socialistes franco-américains, Rochefort donna début juin une conférence à l’Académie de musique à New York sous la présidence de John Swinton qui fit salle comble. Le bénéfice de cette soirée, soit 722 dollars 25, fut consacré à soulager la détresse des déportés de Nouvelle-Calédonie. Cette conférence marqua aussi le point de départ d’une souscription nationale au bénéfice des communards déportés et emprisonnés. Le texte en fut aussitôt publié à New York par l’imprimerie du Messager Franco-Américain, ainsi qu’en Angleterre et à Genève » (M. Cordillot).Michel Cordillot, La Sociale en Amérique. Dictionnaire biographique du mouvement social francophone aux États-Unis (1848-1922), p. 373 ; Le Quillec, p. 520 ; manque au Catalogue la Commune de Paris de J.J. Magis, , et à Del Bo (Istituto Giacomo Feltrinelli)
1868 Paris, La Lanterne, 1868. Petit in-12, pagination discontinue 485+62+ feuillet manuscrit indiquant la saisie+ 62p.; incomplet du numero 11 samedi 8 août 1868 saisi,et avec le suivant imprimé à Imp. Wittmann 1868, Bruxelles. Revue d'un célèbre journaliste qui pris position en faveur de la Commune puis qui devint nationaliste et boulangiste. Un exemplaire rare en bon état.
Ce journal pamphletaire a largement contribué à la chute du second empire.Victor Hugo disait de l'auteur: "Rochefort, l'archer fier, le hardi Sagittaire/ dont la flêche est au flanc de l'empire abattu." Journal fondé par Henri Rochefort (1831-1913, ayant connu plusieurs séries :première série 1868-1869 [77 n°], deuxième série 1874-1876 [84 n°], titre repris en 1877. Les autorités impériales poursuivirent la Lanterne dès le n°11 (saisi pour outrage à la personne de l'Empereur et de l'Impératrice). Réfugié à Bruxelles, où il rencontra Victor Hugo (qui l'hébergea un temps), Rochefort continua la publication et assura une diffusion clandestine en France.
Paris Grasset 1963 1 vol. Broché in-12, broché, 244 pp. Édition originale de ce roman satirique sur l'étouffement d'une femme dans un mariage bourgeois avec un jeune cadre. "Il y a là, outre cette écriture ciselée qui est la marque de Rochefort, une pertinence et une vigueur peu communes, et dans son appréciation des désirs consuméristes et dans son observation du couple. La modernité de Christiane Rochefort est à l'évidence beaucoup plus charpentée, plus révoltée, plus brutale que celle de Perec qui publiera Les Choses (1965) deux ans après Les Stances." (Eric Dussert, Cachées par la forêt, p. 450). L'écrivaine féministe Christiane Rochefort (1917-1998) a construit une littérature de résistance qui dénonce le poids du patriarcat, l'inceste, l'urbanisation outrancière, la société de consommation... Un des 175 exemplaires numérotés sur vélin pur fil, seul tirage en grand papier. En parfait état.