Rochefort, 1967. 16 x 24, 23 pp., 1 illustration, broché, très bon état.
monographie N° 14.
Paris, Editions Trévise, 1970. 16 x 22, 333 pp., quelques illustrations, broché, bon état.
La Chapelle Montligeon, Imprimerie de Montligeon, 1983. 17 x 21, 32 pp., nombreuses illustrations en N/B, broché, bon état.
photos de J.-Y. Le Guével.
Neuchâtel, Editions Ides et Calendes, 1996. 12 x 17, 205 pp., broché, non coupé, couverture à Rabats, très bon état.
1868 in12. 1868. Broché. Poids : 70 gr
Etat Passable Couvertures en état moyen salies avec un manque de papier. Intérieurs satisfaisants un peu jaunis
1868 in12. 1868. Broché. Poids : 70 gr
Etat Passable Couvertures en état moyen salies avec un manque de papier. Intérieurs satisfaisants un peu jaunis
1868 in12. 1868. Broché. Poids : 70 gr
Etat Passable Couvertures en état moyen salies avec un manque de papier. Intérieurs satisfaisants un peu jaunis
1868 in12. 1868. Broché. Poids : 70 gr
Etat Passable Couvertures en état moyen salies avec un manque de papier. Intérieurs satisfaisants un peu jaunis
Bruxelles, Imprimerie E. Wittmann, 1868. 10 x 15, 59 pp., broché, bon état (rousseurs).
Bruxelles, Imprimerie E. Wittmann, 1868. 10 x 15, 61 pp., broché, état moyen (dos recollé au moyen d'1 bande de papier, rousseurs).
Bruxelles, Imprimerie E. Wittmann, 1868. 10 x 15, 61 pp., broché, état moyen (dos recollé au moyen d'1 bande de papier, rousseurs).
Bruxelles, Imprimerie E. Wittmann, 1868. 10 x 15, 61 pp., broché, état moyen (dos recollé au moyen d'1 bande de papier, rousseurs).
Bruxelles, Imprimerie E. Wittmann, 1868. 10 x 15, 63 pp., broché, état moyen (dos recollé au moyen d'1 bande de papier, rousseurs).
Bruxelles, Imprimerie E. Wittmann, 1868. 10 x 15, 63 pp., broché, état moyen (dos recollé au moyen d'1 bande de papier, rousseurs).
Bruxelles, Imprimerie E. Wittmann, 1868. 10 x 15, 57 pp., broché, état moyen (dos recollé au moyen d'1 bande de papier, rousseurs).
Bruxelles, Imprimerie E. Wittmann, 1868. 10 x 15, 61 pp., broché, état moyen (dos recollé au moyen d'1 bande de papier, rousseurs).
Bruxelles, Imprimerie E. Wittmann, 1868. 10 x 15, 61 pp., broché, état moyen (dos recollé au moyen d'1 bande de papier, rousseurs).
Bruxelles, Imprimerie E. Wittmann, 1868. 10 x 15, 61 pp., broché, état moyen (dos recollé au moyen d'1 bande de papier, rousseurs).
Paris, Plon, 1946 12 x 20, 244 pp., broché, non coupé, très bon état
1 des 2350 Ex. Num. sur papier surfine Johannot
Paris, Librairie Arthème Fayard, 1962. 14 x 19, 158 pp., broché, bon état.
HENRI ROCHEFORT: Lettre manuscrite signée à un Romancier. PRISON / ROMAN / REVUE "LA GRANDE MARSEILLAISE". 1870. Autographe signé. Il informe l'auteur d'un roman qu'il espère le faire paraître dans la revue "la grande Marseillaise" où il écrit lui-même, mais l'état de ses yeux, abîmés par son séjour en prison, ne lui a pas permis de le lire en entier. Tout dépend des évènements. HENRI ROCHEFORT. Victor Henri de Rochefort-Luçay, né le 30 janvier 1831 à Paris et mort le 30 juin 1913 à Aix-les-Bains, mieux connu sous le nom d'Henri Rochefort, est un journaliste, auteur de théâtre et homme politique français. Il est déporté à Nouméa (Nouvelle-Calédonie) en 1873, avec Louise Michel, et s'en évade l'année suivante. Boulangiste, il est condamné une seconde fois à la déportation, en 1889, par contumace, ayant suivi le gal Boulanger dans son exil. Grand polémiste dans les pages de ses journaux (La Lanterne, La grande Marseillaise, L'Intransigeant), il défend des options politiques radicales voire extrémistes (anticlérical, nationaliste, favorable à la Commune, boulangiste, socialiste et antidreyfusard). Son engagement lui vaut le surnom de « l'homme aux vingt duels et trente procès », ainsi que des condamnations, notamment au bagne de Nouméa dont, fait unique, il parvient à s'échapper en 1874. Ce qui inspira en 1880 une peinture d'ÉDOUARD MANET intitulée "l'évasion de Rochefort", où l'on voit ce dernier en pleine mer, dans une barque. Bon
L.A.S. (208 x 133) 1 p., s.l.n.d., à "Mon cher Philibert". Froissée.
Lettre de remerciement au journaliste Philibert AUDEBRAND (1815-1906) pour son article : "() je ne pouvais pas espérer un article aussi charmant et aussi sympathique. Vous êtes un ange et un vrai ami. Les dernières lignes m'ont particulièrement touché. Je n'ai pas besoin de vous dire pourquoi, d'autant plus qu'il y avait du courage à dire ce que vous dites. Merci donc deux mille fois et tout à vous. Henri Rochefort". Journaliste et homme politique français, ROCHEFORT est déporté à Nouméa (Nouvelle-Calé-donie) en 1873, avec Louise Michel, et s'en évade l'année suivante. Boulangiste, il est condamné une 2nde fois à la déportation, en 1889, par contumace, ayant suivi le gal Boulanger dans son exil. On joint 1 photographie originale (140 x 102), portrait de H. Rochefort, avec en-dessous un bas de lettre signée "à vous, Henri Rochefort", tous 2 contrecollés sur carton fort (220 x 130) (coin inf. du support cassé.) ainsi qu'1 carte de visite "Henri de Rochefort".
P., Société Parisienne d'Edition, 1943, in-12, 237 pp, 16 pl. de photos hors texte, index des noms cités, broché, couv. ornée d'un petit portrait photo de Charles de Rochefort, bon état, envoi a.s. de Ch. de Rochefort
Mémoires de l'acteur et réalisateur Charles de Rochefort. Star du cinéma muet, il tourne en France, aux Etats-Unis et en Italie une trentaine de films en tant qu'acteur et une dizaine d'autres en tant que réalisateur. Comparse habituel de Max Linder, il joue aussi sous la direction d'Abel Gance, Léonce Perret et Victor Fleming. Son rôle le plus prestigieux est celui du pharaon Ramsès II dans la version muette des Dix Commandements réalisée par Cecil B. DeMille en 1923. Ses souvenirs, rédigés par Pierre Andrieu, évoquent le théâtre, la Grande Guerre, le cinéma, les Etats-Unis, la prohibition, Hollywood, etc. — Charles de Rochefort grandit à Oran, en Algérie française, où son père, le Marquis Paul Charles Dominique d’Authier de Rochefort, occupe le poste de directeur de la Compagnie Générale Transatlantique. Sa mère Camille est issue d'une illustre famille Corse. Adolescent, il fait du sport assidument et se forge un corps d’athlète. En 1905, il termine ses études à Paris où nait son attirance pour la scène. Charles de Rochefort se consacre rapidement exclusivement à sa nouvelle passion. Avec son charisme, son allure et son ardeur, il est très vite employé pour jouer des petits rôles au théâtre ou dans des revues de music-hall. Dès 1910, il fait ses premières apparitions pour le cinéma dans des petits films d’une ou deux bobines de Max Linder. Quand la Première Guerre Mondiale éclate, il s’engage aussitôt. En qualité de lieutenant, il participe à plusieurs campagnes et se bat à Verdun. Il est démobilisé en 1918. Charles de Rochefort est aussitôt engagé par Jean Durand pour être le partenaire de Jacqueline Forzane dans Impéria (1918), un sérial en costumes de douze épisodes produit par la Société des Cinéromans. Il travaille ensuite sous la direction de Gaston Roudès, Camille de Morlhon, Léonce Perret, et devient une vedette à part entière avec Le roi de Camargue (1921), adapté du roman de Jean Aicard par André Hugon. Ses qualités physiques sont mises à contribution dans des drames, des films d’aventure ou romanesques. Il tourne entre-autres, dans Gigolette (1921) d'Henri Pouctal, L’empereur des pauvres (1921) de René Leprince, L’arlésienne (1922) d'André Antoine, Le diamant noir (1922) d'André Hugon et La dame au ruban de velours (1923) de Giuseppe Guarino. Parallèlement, Charles de Rochefort commence une carrière américaine dans Sous le soleil d’Espagne (1922), une production de la Famous Players-Lasky tournée en Espagne par John S. Robertson. Sous le nom de Charles de Roche, il est la vedette d’une demi-douzaine de films à Hollywood, parmi lesquels La flétrissure (1923) de George Fitzmaurice avec Pola Negri, et surtout Les dix commandements (1923) de Cecil B. DeMille, dans le rôle de Ramsès II. De retour en France, il passe à la réalisation et dirige sept films dans les années 1930. En 1936, il prend la direction du Théâtre Albert 1er et le renomme Théâtre Charles-de-Rochefort. Pour sa première pièce il présente Allo, Police-secours, une œuvre policière dont il est l’auteur. Le succès le pousse à monter de nombreuses pièces du même genre, assurant souvent lui-même la mise en scène. Mobilisé et blessé au cours de la Seconde Guerre mondiale, c’est son épouse, la comédienne Mary Grant, qui reprend la direction du théâtre, poste qu’elle occupera jusqu’en 1972. En 1943, l’acteur publie ses mémoires sous le titre "Le film de mes souvenirs : Secrets de vedettes". Malade, il s’éloigne du métier à la fin des années 1940. Il décède à Paris, le 31 janvier 1952. (notrecinema.com)
Frankfurt: Wilhelm Serlin, 1668. 12mo (140 x 85 mm). In contemporary full calf with four raised bands and gilt lettering and ornamentation to spine. Small paper label pasted on to top of spine indicating the inventory number in a estate library. A few worm holes to boards. Closely trimmed, a few leaves with slight loss of text to upper margin. Leaf pp. 389/390 with repair in margin, with loss of text, otherwise a nice copy. (20), 31, (3), 430, (14)" (12), 514 pp. + frontispiece and 45 plates (as called for by Sabin).
Rare first German edition, here with the often lacking second part (“the second, which is generally lacking” – Sabin) of this early and important work on the Antilles Islands describing the customs and manner of the inhabitants - ""The work is an important and valuable contribution to our knowledge of the Antilles... "" (Sabin 72321). Rochefort's book was written for the principal purpose of convincing other Huguenots to emigrate to the Caribbean. It described the islands and the natives in glowing terms, to make the Antilles seem a desirable destination for Protestants living in a France that didn't want them and barely tolerated them. The first part of the text, beautifully illustrated with copperplates, showcases the flora of the New World, including pineapple, indigo, ginger, cocoa, coconut, palm trees, and tobacco. Additionally, depictions of various fish, birds, animals, and traditional costumes are also included. Notably, it includes a chapter on the Apalachee Indians of the southwestern United States and a Carib language glossary by Raymond Breton. “Charles de Rochefort, a French Huguenot minister and missionary, was born in 1605 and died in 1683. He spent at least a decade in the Caribbean, from 1636 to the mid- 1640s, on Tobago and what we now call St. Kitts, before returning to take up a post as minister at a Huguenot Church in Rotterdam, a position that he held the rest of his life. In 1658, a book was published in Rotterdam, called Histoire naturelle et morale des iles Antilles de l'Amerique. The only name mentioned in the preface was “M. de Rochefort”. For a long time, this was suspected to be either Cesar de Rochefort or the comte de Rochefort. But in 1992, a scholar convincingly demonstrated that the author was Charles de Rochefort, the Huguenot minister of Rotterdam. The missionary purpose notwithstanding, Rochefort was very good at describing the flora and fauna of the Antilles, especially the plants. And he provided attractive engravings of many of the tropical plants he described. We show several of those illustrations here. You will notice that Rochefort, unlike Piso, liked to depict natives interacting with the plants, which makes his engravings even more attractive, from an ethnological point of view.” (Linda Hall) This German translation is based on the second edition of the original French edition. Sabin 72321