ROCHE Daniel, REYTIER Daniel & al.
Reference : CHEVAL32620324
(2007)
ISBN : 9782913018037
Paris, Association pour l'académie d'art équestre de Versailles, 2007, 23,5 x 29,5, 399 pages sous percaline éditeur imprimée et jaquette illustrée. Iconographie noir & blanc et couleurs. "Les chevaux ont déserté nos villes, nos mines, nos campagnes et nos champs de bataille : ils étaient 3 000 000 dans la France des années 1930, mais ils ne sont plus que 350 000 aujourd'hui. Pourtant, des champs de courses aux espaces ouverts à la promenade, des compétitions aux jeux, pratiques et spectacles en tout genre, ils tiennent encore une place de choix dans nos activités, nos goûts, nos enchantements et notre imaginaire. La formation et l'évolution des cultures équestres ont créé entre l'homme et le cheval une infinité de liens, des plus simples aux plus sophistiqués, et un riche vocabulaire souligne cette relation particulière : chevalier, écuyer, cavalcadour, chevau-léger, centaure, créat, amazone, homme de cheval, sportsman, équitomane, cavalier, jockey, driveur, meneur, piqueur, gentleman-rider, lad, palefrenier, picador, postillon, gardian, turfiste... De la Camargue au Kentucky, de l'Angleterre à l'Italie, de la France à l'Espagne et au Mexique, de l'Europe à l'Orient, de la Renaissance aux Lumières, de la Cour de Versailles aux forêts polonaises et aux arènes madrilènes, du cirque londonien à l'hippodrome parisien, il est impossible ici de citer toutes les époques, tous les lieux et tous les termes abordés dans cet ouvrage abondamment illustré : alors A cheval !"
Très bon état.
ROCHE Daniel, REYTIER Daniel & al.
Reference : ARTTHEMMM121223
(2002)
ISBN : 9782913018020
Paris, Association pour l'académie d'art équestre de Versailles, 2002, 24 x 29,5, 400 pages sous percaline éditeur imprimée et jaquette illustrée. Iconographie couleurs. "Du XVe au XXe siècle, les hommes vont apprendre à utiliser autrement les chevaux pour faire la guerre - ensemble, toujours - et de cette nouvelle relation naissent une équitation spécifique, des besoins en chevaux adaptés à des usages multiples et précis, une recherche des modèles et une éducation particulière qui distingue les soldats et les chefs des troupes montées. Dans l'Europe entière, les conflits ont mobilisé hommes et chevaux, mais avec l'intrusion de l'artillerie sur le champ des batailles, dans le siège des places, le rôle des cavaleries a changé, comme a changé celui des chevaux affectés à des tâches de plus en plus spécialisées et de plus en plus nombreuses : la selle autant que la traction des canons et des chariots, le charroi autant que la charge. De la Renaissance à l'aube du XXe siècle, le renouvellement des cavaleries, l'utilisation tactique de l'arme équestre, l'adaptation des équipements, des montures, des élevages, vont se faire au rythme de l'évolution et de la diversité des réalités militaires et civiles. Se procurer des chevaux, former des cavaliers, dresser les bêtes, les mobiliser pour la bataille ne sont pas choses simples. Malheureusement, ces pratiques - et tout ce qui ressortit à l'économie de la guerre - ont moins retenu l'attention des historiens militaires que l'étude des conditions générales de l'organisation et de l'utilisation de l'arme équestre. Elles dictent pourtant des conditions nouvelles où les maladies, les accidents, les blessures, frappent les armées en campagne et pendant la paix, accroissant une demande que l'offre à peine à suivre. Le cheval peut alors symboliser dans l'art comme dans les spectacles, l'énergie et la force domptées, et finalement révéler - mais autrement - que la guerre n'est que la politique poursuivie avec d'autres moyens."
Très bon état.