Robert Bernier, journaliste, L.A.S., Paris, 2 juillet 1887, 1pœ in-8 (27 lignes). En-tête de la Chronique Moderne dont il est directeur. Il remercie longuement Scholl pour son article dans Le Matin. Leur chronique est encore jeune et ils sont honorés de la bienveillance de Scholl. Il lui demande aussi s'il accepterait d'écrire quelques pages, sans qu'il ne puisse « offrir une compensation suffisante ». [112]