(Parisiis), Oliva R. Stephani, 1558. In-8 de 1002 pp. 1 f.bl. (sign. a-z, aa-zz, A-R8), vélin dur, titre manuscrit sur le dos (reliure de l'époque).
Édition originale imprimée en caractères latins. Copieux dictionnaire établi et préfacé par Robert Estienne des expressions idiomatiques de l'hébreu biblique traduites en latin pour permettre au lecteur d’identifier un grand nombre de ces expressions dans l’Ancien Testament.Robert Estienne (1503-1559) Imprimeur-libraire, typographe, mais aussi figure importante de l’Humanisme et de la Réforme, joua un rôle majeur dans la publication d’ouvrages théologiques et linguistiques au XVIe siècle. Officiant à partir de 1526 à Paris, il fut nommé imprimeur royal pour l’hébreu et le latin, puis pour le grec. Se rapprochant des thèses de Calvin, il se réfugia à Genève en 1550, où il continua ses publications érudites jusqu’à sa mort en 1559 (Bibliothèque de Genève).Marque de l'imprimeur sur le titre où les mots "Thesauri linguae hebraicae altera pars" sont couverts d'une bande de papier « ce qui aura sans doute été fait sur la plupart des exemplaires » selon Renouard qui poursuit : « ce volume placé jusqu'ici au nom de Robert Ier, et comme fait à Genève, est certainement de Robert, son fils, et d'impression parisienne. Il est fait des mêmes éléments typographiques, qui chez Charles ont imprimé quelques volumes hébreux ». La mention imprimée "Genevae" partiellement effacée sur le titre est postérieure tandis que la partie tronquée du titre "Thesauri linguae hebraicae altera pars" fut recopiée à l'encre ancienne sur le premier contreplat. Pâles et larges mouillures passim, quelques petites moisissures sinon très bon exemplaire.Adams, S.1827 ; Renouard, p. 162, 1558, n°1 ; manque à Schreiber.
L'Edition d’art H. Piazza Paris, 1922. Grand In/8 broché, 199 pages + table des chapitres, illustrations de Robert Engels, bandeaux, lettrines historiées, illustrations in-texte en couleur
"Robert Engels est un artiste peintre, illustrateur, enseignant allemand, né le 9 mars 1866 à Solingen et mort le 24 mai 1926 à Munich. « L'archer », l'une des illustrations originales pour le Tristan et Iseult de Joseph Bédier (1900) : ce livre fut traduit dans le monde entier. À la mort de son père en 1885, renonçant à diriger son entreprise, Robert Engels entre à l'Académie des beaux-arts de Düsseldorf, puis, en 1890 part compléter sa formation en Belgique, en Angleterre et en France. En 1898, il s'installe à Munich, où il est employé comme graphiste au magazine Jugend. Fin 1901, il co-fonde avec Ernst Liebermann (1869-1960) une association destinée à défendre l'Art graphique et plus particulièrement le livre illustré. En 1910, il est nommé professeur au « KGS », l'école des arts appliqués de Munich, où Richard Riemerschmid exerce une grande influence. En 1912, il rejoint le Deutscher Werkbund. Ayant conservé des connexions avec Paris, il se lie avec l'éditeur Henri Piazza qui lui commande une lithographie pour L'Estampe moderne (avril 1898) et une cinquantaine de compositions pour illustrer la traduction de Joseph Bédier du roman de Tristan et Iseult (1900), ouvrage qui fut salué par la critique. En 1903, il contribua à une vaste histoire illustrée des dieux germaniques publiée à Leipzig chez Teubner, livrant des compositions en couleurs de style expressionniste."
Paris, Charles Roger, 1588. In-8 (10 x 15,5 cm) de 16 ff. (sign. A-B8), caractères romains et italiques, vélin souple, tranches dorées (reliure du XIXe siècle).
Tirage inconnu des bibliographies sorti des presses de l'imprimeur parisien Charles Roger avec sa marque typographique sur le titre, dont la collation est identique à l'édition parisienne sans date partagée par Guillaume Auvray et Gilles II Robinot actifs à la même époque (Renouard, Imprimeurs libraires parisiens I, p. 256, n°648).Attribué à Robert Ier Estienne qui fit paraître la première édition en 1526, La Manière de tourner en langue Françoise les Verbes fut réimprimée plusieurs fois avec succès dont une édition publiée en 1547 avec la mention « revue et corrigée en grande diligence » fut reprise en 1587 puis 1588 quand Robert II Estienne entre 1580 et 1588 réimprima l'ensemble des ouvrages pédagogiques de son aîné, livres scolaires destinés à l'apprentissage du latin et du français pour débutant dont une première collective avait paru en 1545 sous le titre Les Declinaisons des noms et verbes que doibvent scavoir entierement par cueur les enfants, ausquelz on veult bailler entrée à la langue latine. « Robert Estienne (1503?-1559) célèbre imprimeur et éditeur parisien puis genevois, est également connu comme lexicographe et grammairien. Son grand dictionnaire latin, le Thesaurus linguae latinae de 1543 l'occupera pendant quinze ans. Comme son ami Budé, il milite pour la restauration des études classiques et veut aider les adolescents à passer aisément du français au latin et réciproquement. Soucieux d'aider les jeunes gens dans leurs études, il publie de nombreux ouvrages pédagogiques pour l'apprentissage de la langue française dont la Grammaire Françoise de 1557 est un bon exemple. L'année suivante, elle sera traduite en latin par son fils Henri pour servir aux étrangers désireux d'apprendre le français. » (Colette Demaizière). « Opuscule peu commun de l’un des illustres imprimeurs érudits de la famille Estienne » (Gumuchian). Traces de salissures sur le vélin.Brunet, II, 1072 ; Renouard, Estienne, 25:7 (éd. 1526), 177:1 (Déclinaisons) ; Schreiber, 84 (Déclinaisons) ; Gumuchian, 5203 ; Buisson, Répertoire des ouvrages pédagogiques du XVIe siècle, 1886, p. 259 (éd. de R. Estienne, 1535).
A Paris, De L'Imprimerie de C. Lambin, 1661. In-4 de (12)-112 pp., 1 portrait, maroquin rouge, dos orné à nerfs, double filets doré d'encadrement sur les plats, encadrement d'un double filet doré au centre, fleurons dorés aux angles (reliure de l'époque).
Édition originale complète du portrait gravé par Larmessin de la Grande Mademoiselle, Anne-Marie-Louise d'Orléans, duchesse de Montpensier, à qui cet ouvrage est dédié.Robert de Berquen, célèbre joaillier parisien d'origine flamande, est considéré comme le descendant de Lodewijk van Berquen natif de Bruges, l'inventeur de la taille du diamant. Robert de Berquen propose une étude de la nature, des couleurs, des vertus et du prix des pierres précieuses et des perles (diamants, émeraudes, hyacinthes, améthystes, aigues-marines, turquoises, etc.).A la fin du volume, on trouve les Vers tirez de Ronsard à la louange de l'Or.Bel exemplaire en reliure de l'époque ; quelques épidermures sur les plats. Tampon ex-libris ancien Bourdelet, Avocat au Parlement ; ex-libris A. Barthélémy.Brunet VI, 4780 ; Graesse I, 348 ; Ferguson II, 295 ; Sinkankas, 592 ; Sabin, 4957.
A Paris, chez Augustin Courbé, 1661. 2 parties en 1 vol. in-folio de (20)-348 pp. ; (4)-370-(44) pp., veau brun, dos orné à nerfs, tranches jaspées (reliure de l'époque).
Édition posthume, augmentée d'une seconde partie inédite. L'édition originale a paru en 1649.On lit dans le Privilège du roy (1661) : « Notre bien aimé Jacques Saint Clair de Roselin nous a fait remontrer avoir la suite de l'Histoire des Troubles de la Grande Bretagne, écrite et corrigée par le défunt sieur Mentet de Salmonet, laquelle suite il desire faire imprimer avec la premiere partie de ladite Histoire. » Robert de Mentet de Salmonet (parfois orthographié Mentheit, 1603?-1660?), gentilhomme écossais, était attaché à la maison du cardinal de Retz à l'époque où ce dernier n'est encore que coadjuteur de Paris - l'ouvrage est dédié A Monseigneur l'Archevesque de Corinthe, coadjuteur en l'Archevesché de Paris. Au commencement de la Fronde, Mentet fut chargé de rédiger et imprimer l'histoire récente des révolutions d'Angleterre afin de dégager une marche à suivre dans les troubles parisiens qui s'annonçaient (Tome I, depuis l'année 1633 jusques à l'année 1646 ; tome II, depuis l'année 1646 jusques à l'année 1649). Mentet est l'auteur à la même époque (1652) d'une célèbre mazarinade proche de son Histoire des troubles, Remontrance très humble au sérénissime prince Charles II, roi de la Grande Bretagne, sur la conjoncture présente des affaires de Sa Majesté. Relié à la suite : [RIORDAN DE MUSCRY (D.)]. Relation des véritables causes et des conjonctures favorables qui ont contribué au restablissement du roy de la Grand' Bretagne. Paris, A. Courbé, 1661. In-folio de (4)-46 pp. Édition originale. Exemplaire à grandes marges, orné du portrait de l'auteur en frontispice gravé par Lochon d'après Mignard ; titre imprimé en rouge et noir pour chaque partie, orné d'une large vignette (marque typographique) ; petite note manuscrite à l'encre du temps sur la garde supérieure.Large et pâle mouillure feuillets BBb, coiffes, caissons de tête et de pied manquants, mors partiellement fendus, coins usés. Michel Francisque, Les Écossais en France et les Français en Écosse (1862), II, p. 300.
A Paris, chez Pierre-Guillaume Simon, 1757. In-4 de XLII-610-(2)-28 pp., veau brun, dos lisse orné, triple filet doré sur les plats, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Édition originale de ces pièces recueillies par A. F. Le Breton.Exemplaire complet de la table publiée séparément : Table des matières, contenues dans le procès de Robert-François Damiens. (2)-24 pp.Bel exemplaire.
Paris, Thielman Kerver pour Jean Petit, 1507. In-8 (179 x 115 mm) de (16) ff. de table, CCCXII ff. (sign. a8, aa8, b-z8, A-R8), veau brun estampé à froid, tranches dorées ciselées de petits oeilletons (reliure de l'époque) ; dos à quatre nerfs entièrement refait à l'imitation en demi-veau brun moderne.
Édition établie et publiée par Josse Bade une première fois en 1500 de l'histoire de France de Robert Gaguin dont l'originale avait paru en 1495. Disciple et successeur de Guillaume Fichet - l'introducteur de l'imprimerie en France et le restaurateur des études classiques -, Robert Gaguin (1434-1501) considéré comme le plus grand humaniste parisien de la fin du quinzième siècle, avait pris la tête d'un cercle accueillant de jeunes humanistes étrangers tels que Pic de la Mirandole, Erasme, etc. Louis XI et Charles VIII le chargèrent d'importantes missions diplomatiques en Allemagne, en Italie, en Angleterre et en Espagne. « Le principal ouvrage de Gaguin est le Compendium de origine et gestis Francorum. Dès le règne de Louis XI, l'auteur cherchait à se faire charger par le roi d'écrire une histoire officielle de la nation française, en latin classique ; ces démarches restèrent inutiles et Gaguin paraît avoir composé son ouvrage de lui-même, entre 1483 et 1495. Il en fit paraître quatre éditions de son vivant, en 1496, 1497 (deux éditions) et 1500 ; dans chacune d'elles le récit est un peu augmenté ; dans la dernière, il s'arrête à l'an 1499. Divisé d'abord en dix livres, l'ouvrage en compte onze dans le tirage de 1500, le dernier étant occupé par l'histoire de Charles VIII. Les neuf premiers livres (jusqu'à 1461) sont un abrégé des Grandes Chroniques de France, imprimées dès 1477, d'où l'auteur a supprimé quelques parties fabuleuses, l'histoire légendaire de Charlemagne par exemple. Les quelques folios relatifs aux règnes de Louis XI et de Charles VIII constituent une chronique intéressante ; l'auteur est peu favorable à Louis XI, sans montrer pour ce prince une aversion exagérée. » (Auguste Molinier, Sources, 4668).Belle et rare impression en lettres rondes sortie des presses de Thielman Kerver pour Jean Petit avec la grande marque typographique de celui-ci au verso de l’ultime feuillet, ornée d'initiales à fond criblé et d'un titre-frontispice gravé sur bois représentant saint Denis, saint Rémy et les armoiries des douze pairies de France.Provenance : Gabriel Chassebras († 1649, double ex-libris : manuscrit au bas du frontispice et gravé en regard) chevalier Seigneur de la grande maison Chippard, Le Breau, Narteuil et Boisselet, maître des requêtes et conseiller général à la cour des Monnaies, secrétaire du garde des Sceaux de France pendant la Régence de Marie de Médicis Michel de Marillac. Quelques pâles mouillures et petites déchirures passim.Brunet II, 1438 ; Moreau I, 73, p. 232 ; Pettegree, III, 71186.
Albin Michel 1982, fort in/8 relié avec jaquette en couleurs, 600 pages.
"« Une invitation à la lecture » c'est ainsi que Robert Sabatier définissait son ouvrage dans la préface du tome I, La Poésie du Moyen Age. « Je n'ai point, écrivait-il, sacrifié le rhétoriqueur au lyrique, l'artisan à l'inspiré. J'ai retenu toute manifestation créatrice... Le plus souvent possible, j'ai fait état du poétique de la prose elle même. » Et il ajoutait : « Ne m'interdisant ni la curiosité ni le pittoresque devenus tabous, j'ai invité les originaux, les oubliés, les dédaignés, les maudits sociaux comme les maudits de tout avenir. »Pourtant si proche de nous, le XXe siècle des poètes gardait encore des secrets que cette étude nous révèle.Parallèlement à ses romans, dont la série des Allumettes suédoises, Robert Sabatier, poète lui-même, des Fêtes solaires à L'Oiseau de demain, a toujours chéri la poésie. Il livre ici le fruit de nombreuses années de travail, de lectures passionnantes et exaltantes."
A Paris, chez Pierre-Guillaume Simon, 1757. In-4 de XLII-610-(2)-28 pp., veau brun, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Édition originale de ces pièces recueillies par A. F. Le Breton. Exemplaire complet de la table publiée séparément : Table des matières, contenues dans le procès de Robert-François Damiens. (2)-24 pp. Bon exemplaire. 1 coiffe et coins usés.
A Paris, chez Augustin Courbé, 1661. 2 parties en 1 vol. in-folio de (20)-348 pp. ; (4)-370-(45) pp. [RIORDAN DE MUSCRY (D.)]. Relation des véritables causes et des conjonctures favorables qui ont contribué au restablissement du roy de la Grand' Bretagne. Paris, A. Courbé, 1661. In-folio de (4)-45-(1) pp. Ensemble 1 vol. in-folio, basane brune, dos orné à nerfs (soleil surmonté du monogramme IHS répété entre les nerfs), roulette à froid d'encadrement sur les plats, soleil surmonté du monogramme IHS aux angles des deux plats, grand soleil surmonté du monogramme IHS au centre des plats, tranches dorées (reliure de l'époque).
Édition posthume, augmentée d'une seconde partie inédite. L'édition originale a paru en 1649. On lit dans le Privilège du roy (1661) : « Notre bien aimé Jacques Saint Clair de Roselin nous a fait remontrer avoir la suite de l'Histoire des Troubles de la Grande Bretagne, écrite et corrigée par le défunt sieur Mentet de Salmonet, laquelle suite il desire faire imprimer avec la premiere partie de ladite Histoire ». Robert de Mentet de Salmonet (parfois orthographié Mentheit, 1603?-1660?), gentilhomme écossais, était attaché à la maison du cardinal de Retz à l'époque où ce dernier n'est encore que coadjuteur de Paris - l'ouvrage est dédié A Monseigneur l'Archevesque de Corinthe, coadjuteur en l'Archevesché de Paris. Au commencement de la Fronde, Mentet fut chargé de rédiger et imprimer l'histoire récente des révolutions d'Angleterre afin de dégager une marche à suivre dans les troubles parisiens qui s'annonçaient (Tome I, depuis l'année 1633 jusques à l'année 1646 ; tome II, depuis l'année 1646 jusques à l'année 1649). Mentet est l'auteur à la même époque (1652) d'une célèbre mazarinade proche de son Histoire des troubles : Remontrance très humble au sérénissime prince Charles II, roi de la Grande Bretagne, sur la conjoncture présente des affaires de Sa Majesté.Portrait de l'auteur en frontispice gravé par Lochon d'après Mignard ; titre imprimé en rouge et noir pour chaque partie, orné d'une large vignette (marque typographique).Reliure de l'époque exécutée pour le collège des jésuites de Strasbourg, remise en prix à Franciscus Adrian Marinvillanus. Ex-libris manuscrit Veuve Houillon. Quelques restaurations (coins et mors). Michel Francisque, Les Écossais en France et les Français en Écosse (1862), II, p. 300.
Robert Berodot, 2018, in/4 broché, 329 pages, illustrations en couleurs et en noir. De l'Empereur Claude N° 1 de ce livre au N° 100 Robert Berodot...
Götheborg, , Sam. Norberg,, 1792. Petit in-8 de 60 pp., demi-basane à coins (reliure de l'époque).
Traduction en suédois des voyages de Norris dans le Dahomey, pays de Guinée occidentale. Robert Norris (décédé en 1791) était marchand d'esclaves. En février 1772, il visita la cour du Dahomey et fournit à ses lecteurs des détails curieux et horribles sur une exécution massive ayant lieu dans le cadre de diverses « coutumes » ou cérémonies royales. « En 1788, lorsque, grâce à l'action vigoureuse des partisans de l'abolition, un comité du conseil privé fut nommé pour enquêter sur la question des esclaves, Norris fut chargé de lui exposer les vues sur le commerce de Liverpool, une circonstance qui probablement a conduit à la publication. Son récit de la traite négrière est une défense de l’esclavage » (DNB). De plus, la traduction suédoise contient de nombreuses notes intéressantes de Samuel Ödman (1750-1829).Très bon exemplaire. Quelques rousseurs. Gay, 2881.
A Avignon, 1767. 2 Volumes in/4 reliure de temps en plein veau tacheté, dos à nerfs à caissons dorés et pièces de titres rouge, tranches rouges, Vol. 1 : 2 f., xxviij f., 472 p., vol. 2 : 1 f., 536 p. 1 f., bien complet de ses 73 planches dépliantes. 2 feuillets avec manque de papier dans l’angle inférieur droit sans manque de texte ; auréole claire sur la page de titre du seconde volume.
Smith (Robert), physicien (1686-1768), cousin et ami de Cotes, lui succéda dans sa chaire de physique à Cambridge, publia les oeuvres de ce savant et contribua comme lui à répandre les découvertes de Newton. Le présent titre fut publié la première fois en 1728 et fut longtemps l'ouvrage le plus complet sur cette matière.
Stock, 1954. fort volume In/8 broché, couverture remplié, 331 pages. Choix, traduction, notices par Robert Brasillach.
Mot Passant; Sports et régions, 2007, in/4 broché de 345 pages. Photographies en noir et blanc.
"Albert Demeyer et Robert Dumas retracent l'existence des hommes ou des femmes qui ont participé à l'implantation et au développement du basket-ball dans la région Rhône-Alpes. Le basket, né de la volonté d'un personnage religieux canadien, baignait dans un contexte de conviction et de propagande qui s'ajoutait à l'attrait naturel de ce divertissement. Les premiers germes de ce jeu ont traversé l'Atlantique lors d'échanges culturels et des événements de la première guerre mondiale. Des personnages (comme A. Tondeur...) découvrirent le basket, par hasard, dans le Nord-est de la France. Ils essaimèrent leur découverte dans d'autres régions où leur enthousiasme fit des émules notamment en Rhône-Alpes. Devant les premiers succès du jeu, les idéologies s'en emparèrent et des hommes ou femmes, dont la foi était différente, entrèrent en concurrence pour le propager. Les équipes dont les couleurs incarnaient d'abord le club (Lyon O.U, F.C. L., Ste Marie de la Guillotière, A.S. St Etienne, B. C. Montbrison, A.S. et Chorale de Roanne, J. L. Bourg, F.C. Grenoble, Annonay...), mais aussi les idées, le quartier, le village ou la ville, s'affrontaient sur des terrains de fortune avec une émulation tonique qui générait de multiples compétitions qu'il fallut regrouper, réglementer et hiérarchiser. Les vainqueurs étaient honorés et promus et atteignaient un statut de " vedette " (R. Busnel, Chavet, Dessemme, Vacheresse, Buffière, Grange, Gilles...). Les groupes s'unissaient autour de personnages divers et particuliers (M. Barbier, Gengembre, Ferret, Molinari, Rhodamel...), les équipes découvraient l'entraînement et ses techniciens (A. Tondeur, W. Fabrikant, J. Duplan, E. Brun, R. Busnel, A. Buffuère... ). Les joueurs découvraient la fraternité des équipes ou transhumaient pour rejoindre des compagnons ou des conditions plus attrayants ou encore fuir les horreurs d'une nouvelle guerre. Le professionnalisme montrait le bout du nez (F.C. Grenoble, Ste Marie Guillotière, C.R.O...). Les meilleurs représentèrent leur région, leur pays, et d'autres connurent des destinées inattendues (Latarjet, Fluttaz, Bertrand...). Cet ouvrage raconte, par des histoires simples, la vie de ces héros ordinaires ou extraordinaires qui ont fait et développé le basket dans notre région."
Pierre Cailler éditeur, Genève, 1949, in/8, broché, 396 pages. En frontispice la photographie de Brasillach Robert. Textes rassemblés et présentés par Marie-Madeleine Martin. En partie non coupé.
Editions Paris, Bievres - Pierre de Tartas, 1973. Petit in/4 (25 x 20 cm), 123 pages : éditées grâce à l'aimable autorisation de l'association Menorah ces pages de Meyer Waxman, préfacées par le Rabbin Elie Munk ; suivi de : "Ces prières d'Israël, traduites par le Rabbin Aron Schulman, sont précédées d'une introduction de Robert Sommer". Reliure éditeur pleine basane rouge à décor doré, doré sur tête, sous étui cartonné, illustrations originales en couleurs de Mane Katz.
Club Français du Livre, Collection Essai N° 23, 1961, reliure pleine toile de l'éditeur, 412 pages. Exemplaire numéroté. Avant-propos de Maurice Goudeket. Autobiographie tiré des oeuvres de Colette, par Robert Phels.
Cahiers de Pasqual Reyvolte n°1, Paris, 1961. Petit in/4 (25 x 19 cm) broché, couverture imprimée, 11 planches en noir et en couleurs contrecollées, 29 pages. de texte. Exemplaire numéroté (n°128). Cahiers de Pasqual Reyvolte présentés par Robert Ganzo.
Editions Pierre Cailler, Genève, s.d. In/12 carré, broché couverture illustrée rempliée, sous rhodoïd, illustrations en noir contrecollées, 78 pages.
Robert Morel éditeur, Forcalquier, Célébration N° 19, 1965. Petit In/12 carré, pleine toile violette, 54 pages.
Ouvrage écrit par l’auteur de “L’assassin à votre table” et “Un gourmand à Paris”.
Editions Denoël et Steele, 1936. Fort volume in/8, reliure en demi-chagrin rouge, dos à 4 nerfs, ornée d'une tête de mort, 697 pages - Dans la même reliure rare plaquette de Robert Denoël : Apologie de Mort à crédit, suivie de : Hommage à Émile Zola par Céline Louis Ferdinand aux Editions Denoël et Steele 1936, IN/8, 31 pages.
"L'Hommage à Zola de Céline (1933) est un texte étrange : plus que la reconnaissance du génie zolien, c’est ce qui sépare les deux écrivains qui est ici mis en scène. Zola (selon Céline) a réussi à témoigner de l’horreur de son temps, il ne pourrait qu’échouer maintenant, car la réalité est devenue impossible à écrire..."
Revue Robert Morel 12 numéros, format journal; 46 x 32,cm. Illustrations en noir, l'illustration centrale à double page. 1980 2 N° : Le Corbusier, numéros gratuit hors commerce ; Vincent Van Gogh, 22 juillet, 7 novembre - 1986 6 N° : 22 juillet : Pierre Chapo, 22 août : Lucien David, 22 septembre : Le Facteur Cheval, 22 octobre : Albert Dürer, 22 novembre : Nostradamus, 22 décembre : François d'Assise - 1987 4 N° : 22 janvier : André Richaud, 22 février : Michel Seuphor, 22 mars Testu, 22 mai : Louis Pons.
Rare collection complète et en bon état. Le N° 0 et 1 (Les plus rares de la série car parus six ans avant le N° 2) sont imprimés sur bon papier ; les suivant sur papier plus ordinaire.
Albin Michel 1977, fort in/8 broché, couverture en couleurs, 537 pages.
"Parallèlement à ses romans, dont la trilogie des Allumettes suédoises, Robert Sabatier a toujours chéri la poésie, lui consacrant essais et chroniques, étant lui-même, des Fêtes solaires à Icare et autres poèmes, un poète. Avec la première Histoire de la poésie française, il livre le fruit de nombreuses années de travail, de lectures passionnantes et exaltantes."
A Londres et se vend à Paris, Chez la Veuve Brunet, 1763. 3 vol. in-12 de (2)-XVI-312 pp. ; (2)-330 pp. ; (2)-318 pp., veau marbré, dos lisse orné, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge et havane, tranches rouges (reliure de l'époque).
Première édition française de The Life and Adventures of Peter Wilkins, a Cornish Man de Robert Paltock publié à Londres en 1750 et traduit par Philippe Florent de Puysieux.« C'est là un ouvrage important en ce que l'aventure y est présentée d'une façon très réaliste, moderne même, et que les événements, pour si extraordinaires qu'ils soient, apparaissent nécessaires, quotidiens, sans pour autant perdre de leur pouvoir d'émerveillement » (Versins).Restif de La Bretonne y a découvert une source d'inspiration pour sa Découverte Australe publié en 1781.6 figures gravées non signées dont 1 repliée.Hartig et Soboul, p. 57 ; Fortunati-Trousson, p. 354 (pour l'édition originale) ; Cohen-De Ricci, 830.