Sans Lieu, ni Date ( Circa 1760 ) 1723 in 12 (18,5x12) 1 volume reliure à la bradel cartonnée moderne, dos lisse titré en long, pièce de titre de cuir marron, 282 pages, non rogné, petite restauration ancienne dans la marge inférieure du premier feuillet. Marquis Jean-Pierre-François Ripert de Monclar, 1711-1773, Procureur Général du Roi au Parlement de Provence. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Couverture rigide
S.l., 1763 Fort volume in-8, 548-[4] pp., typographie en petit corps, basane brune, dos à nerfs, tranches mouchetées de rouge (reliure de l'époque). Mors fendus, coins abîmés.
Deuxième édition. - Moins connu que celui de La Chalotais, ce rapport du très janséniste Jean-Pierre-François de Ripert-Monclar (1711-1773), procureur général au Parlement de Provence, est aussi plus argumenté par rapport tant au régalisme ambiant qu'aux principes des "maximes de l'Eglise gallicane", dont le milieu parlementaire s'était fait le jaloux défenseur.Relié avec : Plaidoyer de M. de Ripert de Monclar, procureur général du Roi au Parlement de Provence, dans l'affaire des soi-disans Jésuites. S.l.n.d. [1763], 271 pp. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Compagnie de Jésus] Ripert de Monclar, Jean-Pierre-François de
Reference : 104482
(1763)
S.n.l. 1763 In-16 17 x 10 cm. Reliure de l’époque veau havane raciné, dos lisse orné de fers dorés, pièce de titre maroquin grenat, 548 pp. Exemplaire en bon état. Notes manuscrites postérieure sur la première page de garde.
Plaidoyer de M. de Ripert de Monclar (1711-1773), procureur général du roi au parlement de Provence, dans l'affaire des soi-disant Jésuites (4 janvier 1763.) Bon état d’occasion
S.l., s.n., 1763 ; in-12. 546pp. Veau brun marbré, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge. Trous de vers au dos et à la charnière du plat sup. Coiffe inférieure légèrement frottée. Intérieur très frais.
La doctrine des Jésuites avait été attaquée dés le début du XVIIIe siècle. A l'occasion d'un procès en 1760 "les jésuites ne sont plus simplement accusés, derrière leur faux zèle supposé pour la religion, de nourrir en réalité des ambitions politiques auprès des princes et daspirer à la monarchie pour leur propre compte. Ce sont leurs propres règles religieuses qui sont désormais considérées comme de véritables constitutions étatiques..." contraires aux lois du royaume. En juillet 1761 "Joly de Fleury, avocat du roi, publie le premier Compte-rendu des constitutions des jésuites. Son but est clairement de réformer un institut dont lexistence même est selon lui illégale". La même année Louis Adrien Le Paige publie son Histoire de la naissance et des progrès de la Compagnie de Jésus où il développe sa critique politique des constitutions. "Cest Ripert de Montclar, procureur général du Roi au Parlement de Provence, qui développe le plus longuement la théorie de la Nation jésuitique : « Il nest pas dÉtat mieux constitué que la Nation jésuitique. » La Société ne se contente pas de former un « État séparé dont les intérêts sont contraires à lintérêt général », en profondeur, « elle lutte dans un État contre lÉtat même». Ses opinions erronées sur le parricide, le tyrannicide, lhomicide et le droit de déposer les rois ne découlent pas dun zèle mal entendu pour les papes, pour les peuples, pour la religion ou pour lhumanité en général, « cest lintérêt national de la Société qui exige quelle ait les moyens pour attaquer et se défendre». Voilà lessence de ce que Ripert de Montclar nomme le « jésuitisme », première occurrence du néologisme". Ripert de Montclar formule un topos promis à une immense postérité au XIXe siècle, celui « des forces invisibles de lEmpire jésuitique ». (Catherine MAIRE, Des comptes-rendus des constitutions jésuites à la Constitution civile du clergé. In : Les antijésuites. Discours, figures et lieux de lantijésuitisme à lépoque moderne. Presses Universitaires de Rennes, 2010, pp. 401-427).
S.l., 1762 in-8, 307-[3]-316 pp., vélin rigide, dos à nerfs (reliure de l'époque). Plats un peu salis.
Moins connu que celui de La Chalotais, ce rapport du très janséniste Jean-Pierre-François de Ripert-Monclar (1711-1773), procureur général au Parlement de Provence, est aussi plus argumenté par rapport tant au régalisme ambiant qu'aux principes des "maximes de l'Eglise gallicane", dont le milieu parlementaire s'était fait le jaloux défenseur. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., s.é., 1763. Un vol. in-12 (168 x 97 mm) de 1f. bl., 548 pp., 2 ff. n.fol. et 1 f. bl. Reliure de l'époque de plein veau moucheté havane, filet à froid encadrant les plats, dos à nerfs orné de filets à froid, caissons et caissons d'encadrement en pointillés dorés, larges fleurons dorés, pièces de titre de maroquin cerise et ébène, titre doré, palette dorée en tête et queue, jeu de filets dorés sur les coupes, toutes tranches mouchetées.
Edition originale de ce virulent mémoire qui permit la condamnation de la Compagnie de Jésus au banissement. ''Chargé de rendre compte de ce qui est renfermé dans le vaste Recueil des Constitutions des Jésuites et de les comparer avec les Lois du royaume, j'ai tâché de remplir ici ce devoir avec la plus scrupuleuse exactitude.'' Reliure légèrement desquamée et présentant en outre de petits frottements épars. Très rares rousseurs dans le texte. Nonobstant, belle condition.
1762 (1762). 3 ouvrages en 1 volume in-12, pleine basane marbrée, double encadrement à froid sur les plats, dos à nerfs orné, pièce de titre de maroquin rouge.271 pp. ; (1) p. bl.
Relié à la suite :- CARADEUC de la CHALOTAIS. Louis-René. Essai d’éducation nationale ou plan d’études pour la jeunesse. 1763. (2) ff. ; 152 pp. ; (1) f. ; (1) f. bl. Magistrat breton et fervent opposant aux jésuites, l’auteur propose un programme d’enseignement qui se substituerait au leur. - ROUSSEAU. Jean-Jacques. A M. d’Alembert sur son article Genève et particulièrement sur le projet d’établir un théâtre de comédie en cette ville. Amsterdam. Marc Michel Rey. 1759. 232 pp. Ouvrage paru un an après l'édition originale, et qui est une réponse à l'article "Genève" de l'Encyclopédie, dans lequel d'Alembert demandait l'établissement d'un théâtre à Genève où, depuis Calvin, les représentations étaient interdites.Manques aux coiffes, reliure frottée.
1763. In-12, 548-(4) pp., reliure de l'époque plein veau, dos orné, tranches rouges.
Agréable exemplaire. * Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
CHEZ L'AUTEUR. 1763. In-16. Relié plein cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 548 pages. Reliure plein Vélin. Tranches rouges. Pièce de titre. Titre et caissons dorés sur le dos à 5 nerfs.. . . . Classification Dewey : 230-Christianisme. Théologie chrétienne
Classification Dewey : 230-Christianisme. Théologie chrétienne