[], [], [1796]. In-8 de 8 pp. Édition originale. Tourneux, IV, 24950.Richer-Serisy au Directoire. Rouen, l'An VI, Floréal (1798). In-8 de (2)-48 pp. Édition originale. En faveur des victimes de la journée du 18 fructidor, mais qu'il dut renoncer à la mettre au jour. Tourneux, I, 4896. Richer-Sérizy aux auteurs et aux acteurs de la Révolution à ses partisans et à Bonaparte son continuateur. S.l.n.d. In-8 de 36 pp. Édition originale. Extrait de l'Accusateur public, n°33 et 34. Note manuscrite ancienne en tête Pièce non connue de Deschiens très rare. Tourneux, II, 10955.Éloge de Richer-Sérizy, rédacteur de l'Accusateur public de la Révolution française. Paris, janvier 1817. In-8 de (2)-53 pp. Édition originale. Introduction et Notice sur Richer-Serisy par Augustin d'Aulnois suivies d'un extrait des n° 29 et 30 de l'Accusateur Public. Les Conséquences immédiates annoncées au verso du titre (deuxième et troisième parties) furent publiées ultérieurement. Tourneux, II, 10957. 4 pièces reliées en 1 vol. in-8, cartonnage Bradel peigne, pièce de titre noire (reliure du XIXe siècle).
Recueil de pièces extraites ou publiées en marge de L'Accusateur public par l'écrivain et publiciste royaliste Richer-Serisy (1764-1803) incarcéré le 4 décembre 1793 comme suspect malgré son amitié avec Camille Desmoulins - libéré le 27 septembre 1794 quand il commença la rédaction de L'Accusateur public qui allait devenir un des organes les plus remarquables et les plus influents de la réaction contre-révolutionnaire.
Paris, Migneret, 1794-1799. 34 livraisons numérotées I-XII et XIV-XXXIV reliées en 1 vol. in-8, basane fauve, dos lisse orné, pièce de titre olive, tranches rouges (reliure de l'époque).
Collection complète. Le numéro 13 n'a pas paru. La dernière livraison (n°35) est brochée.Un des organes les plus remarquables et les plus influents de la réaction contre-révolutionnaire, entièrement rédigé par Richer-Sérisy (1764-1803), ami et collaborateur de Camille Desmoulins pour les divers journaux que celui-ci publia ; Richer-Serisy fut incarcéré quelques mois comme suspect et ce fut après sa libération qu'il se déchaîna contre les hommes et les choses de la Révolution en publiant l'Accusateur public. Il parut à intervalles indéterminés, souvent très distants. Les souscripteurs étaient prévenus dès le numéro un : « Le Rédacteur ne voulant point avilir les nobles fonctions de l'Historien en celles du cocher de diligence, qui pleine ou non, roule sa voiture au jour et à l'heure indiquée, ne s'astreindra pas à un travail périodique et obligé : les seuls Abonnés recevront, dans le cours de l'année, trente-six numéros plus ou moins longs, selon l'importance des matières et la liberté de la presse ». Dénoncé à la tribune et poursuivi comme l'un des auteurs de la journée sanglante du 13 vendémiaire, l'auteur dut suspendre sa publication après le n° 12, mais il la reprit quelques mois après par le n° 14. Les numéros 28, 31, 32 et 34 sont accompagnés de gravures : M. Necker, Le Congrès, Le club de Salm, Massacre des prêtres dans l'Eglise des Carmes.Relié avec, entre les livraisons 15 et 16 : Mémoire à consulter pour Richer Serisy Citoyen français & Rédacteur du Journal intitulé l'Accusateur public, appellant du jugement prononcé contre lui par le Jury spécial qui déclare qu'il y a lieu à accusation pour la conduite qu'il a tenue le 13 Vendémiaire. 8 pp.Très bon exemplaire. Épidermure sur le plat supérieur.La Bédoyère, 1567 ; Walter, p. 35 ; Hatin, 243.
Richer-Serizy L'Accusateur public 12 livraisons numérotées de I à XII 1 volume relié in-8, pleine peau (20.5 x 13 cm) L'Accusateur public a commencé à paraître après la révolution du 9 thermidor. Beffroy indique que "de tous les journaux que la restitution faite au français de la liberté de la presse avait fait éclore, c'était sans contredit, le mieux raisonné, le plus énergique, le plus imposant, le plus chaud et le mieux écrit (Beffroy, Dictionnaire béologique, 1801). Les numéros ne sont pas datés mais le journal a débuté en 1795 et bien que la publication ait été très irrégulière, les 12 premiers numéros sont parus en 1795. Richer Serizy dut suspendre la publication du journal après le numéro 12. Il fut accusé d'être l'un des auteurs de la journée sanglante du 13 vendémiaire et frappé de déportation. Rare ensemble des 12 premiers numéros de cette revue dans sa reliure de l'époque.
S.n., Paris 1800, 10x17,5cm, 2 volumes reliés.
Edition originale rare. Reliures en demi chagrin noir, dos lisses ornés de filets noirs, monogrammes dorés en queue du dos, petites traces de frottements sur les dos, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, deux coins émousés, tranches mouchetées, reliures de l'époque. Notices bibliographiques et historiques de Beauchesne sur les gardes blanches des volumes. - Photos sur www.Edition-originale.com -