Marseille, Antoine Ricard, s.d. (1815) in-12, 4 pp., en feuille, première couverture salie.
La discussion parlementaire était engagée, mais la loi bannissant tous les membres de la famille Bonaparte du territoire français ne sera votée que le 1er janvier 1816. Elle sera confirmée par celle du 10 avril 1832, et abolie seulement le 14 octobre 1848."Les membres d'une famille qui a causé tant de maux à la France, ont quitté son territoire, ils ne s'attendent pas qu'il leur soit jamais permis d'y rentrer, et la loi doit établir des peines pour le cas où quelqu'un d'eux oserait y reparaître". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Procès, Procédures - Emmanuel-Armand de Vignerot du Plessis-Richelieu, duc d'Aiguillon]
Reference : 108207
Sans mention d'Editeur, 1770, 1 volume in-8 de 245x185x35 mm environ, 1f.blanc, faux-titre, titre, 407 pages, 5ff. (table), 1f.b, demi basane mouchetée fauve avec coins en parchemin crème, titre doré sur dos lisse. Relation du procès intenté au Duc d'Aiguillon par le Parlement de Rennes et le Procureur La Choletais. Rousseurs et pages brunies, petits frottement sur le cuir et le cartonnage.
Emmanuel-Armand de Vignerot du Plessis-Richelieu, duc d'Aiguillon, pair de France (1740), comte d'Agénois et de Condomois puis duc d'Agénois et duc d'Aiguillon, est un militaire et homme d'État français né à Paris le 31 juillet 1720 et mort à Paris le 1er septembre 1788.Maréchal de camp, commandant en chef de Bretagne, il s'y rend impopulaire par sa lutte contre La Chalotais et le Parlement de Bretagne. Il est rappelé à la cour. Plus tard secrétaire d'État des Affaires étrangères pendant trois ans et momentanément secrétaire d'État de la Guerre à la fin du règne de Louis XV, il est disgracié sous Louis XVI. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Emmanuel-Armand de VIGNEROT DU PLESSIS-RICHELIEU DUC D'AIGUILLON, Commandant en chef en Bretagne
Reference : 21271
(1765)
Nantes 1765 une lettre, d'une page, sur papier velin ligné, manuscrite à l'encre brune, format : 18,2 x 24,2 cm, lettre autographe manuscrite du Duc d'Aiguillon signée , fait à nantes, le 28 Mars 1765,
Emmanuel-Armand de Vignerot du Plessis-Richelieu, duc d'Aiguillon, pair de France (1740), comte d'Agénois et de Condomois puis duc d'Agénois et duc d'Aiguillon, est un militaire et homme d'État français né à Paris le 31 juillet 1720 et mort à Paris le 1er septembre 1788. Maréchal de camp, commandant en chef de Bretagne, il s'y rend impopulaire par sa lutte contre La Chalotais et le Parlement de Bretagne. Il est rappelé à la cour. ......... L'historiographie du XIXe siècle ne l'épargne pas, stigmatisant son arrivisme. Mais les historiens modernes en font des portraits plus nuancés : « intelligent, perspicace, ayant une grande puissance de travail et une vive faculté d'assimilation, il était autoritaire, ambitieux, avec un penchant à la duplicité (moi je dirais la fausseté, l'hypocrisie) que les circonstances développèrent. ».........TEXTE DE LA LETTRE : " Nantes, le 28 Mars 1765....Je ne puis qu'applaudir, Messieurs, au choix que votre Communauté a fait, et je vous renvoye en conséquence la délibération qu'elle a prise le 23 de ce mois avec mon approbation....Personne ne vous honore, Messieurs, plus véritablement que moy....(signé) DUC D'AIGUILLON ...", ...LETTRE TROUVEE DANS LES PAPIERS DE JOSEPH BELLIOTTE, SIEUR DE LA VILLE-ALAIN MAIRE DE GUERANDE EN 1765........curiosité quand on pense que ce courrier a été écrit en pleine affaire Caradeuc - La Chalotais...... Beau DOCUMENT....................RARETE.....en trés bon état (very good condition), en trés bon état
Emmanuel-Armand de VIGNEROT DU PLESSIS-RICHELIEU DUC D'AIGUILLON, Commandant en chef en Bretagne
Reference : 23539
(1768)
guérande 1768 une lettre manuscrite à l'encre brune sur papier velin ligné et filigrané "à la couronne royale", format : 22,5 cm de haut par 17,8 cm de large, fait à Rennes, le 4 janvier 1768,
Emmanuel-Armand de Vignerot du Plessis-Richelieu, duc d'Aiguillon, pair de France (1740), comte d'Agénois et de Condomois puis duc d'Agénois et duc d'Aiguillon, est un militaire et homme d'État français né à Paris le 31 juillet 1720 et mort à Paris le 1er septembre 1788. Maréchal de camp, commandant en chef de Bretagne, il s'y rend impopulaire par sa lutte contre La Chalotais et le Parlement de Bretagne. Il est rappelé à la cour. ......... L'historiographie du XIXe siècle ne l'épargne pas, stigmatisant son arrivisme. Mais les historiens modernes en font des portraits plus nuancés : « intelligent, perspicace, ayant une grande puissance de travail et une vive faculté d'assimilation, il était autoritaire, ambitieux, avec un penchant à la duplicité (moi je dirais la fausseté, l'hypocrisie) que les circonstances développèrent. ».........comme disait mon père : trop mielleux pour être honnete.....Duplicité que l'on peut remarquer en lisant cette lettre : " Rennes, le 4 Janvier 1768....On ne peut être plus sensible que je ne le suis, Monsieur, aux Sentiments que vous voulez bien me témoigner au Nom de votre Communauté. Je vous prie d'être auprès d'elle l'interprètre de ma reconnaissance et du désir que j'ai de contribuer à Son Bonheur en tout ce qui pourra dependre de moy...Personne ne vous honore , Monsieur, plus véritablement et plus parfaitement que Moy....(signé) Le Duc D'Aiguillon...", ...LETTRE TROUVEE DANS LES PAPIERS DE JOSEPH BELLIOTTE, SIEUR DE LA VILLE-ALAIN MAIRE DE GUERANDE EN 1768........RARE....en trés bon état (very good condition). en trés bon état
DU PLESSIS DE RICHELIEU Emmanuel Armand de Vignerot & MIRABEAU Honoré Gabriel Riquetti Comte de
Reference : 32925
(1790)
Bureau de la collection historique des Mémoires relatifs au règne de Louis XV., Paris 1790, in-8 (12,5x21)cm, (8) 15-392p., relié.
Edition originale. Publication posthume de Soulavie. Reliure en pleine basane d'époque. Dos lisse orné de doubles filets dorés, pièces de titres, coiffes elimées, mors frottés, nombreuses épidermures, coins émoussés. Emmanuel Armand de Vignerot du Plessis de Richelieu, duc d'Aiguillon, fut nommé gouverneur de Bretagne en 1753 ; jusqu'en 1770, il fut en guerre ouverte avec le Parlement de Bretagne, nommé par le roi dans une région état qui désirait avant tout conserver ses privilèges. Louis XV dut intervenir plusieurs fois en accord avec le duc d'Aiguillon. Les mémoires font état des nombreuses intrigues à la cour pour perdre le duc d'Aiguillon. Un dernier mémoire concerne les projet d'embellissement de Louis XV, à Nantes et à Paris. - Photos sur www.Edition-originale.com -
AIGUILLON (Emmanuel-Armand de VIGNEROT du PLESSIS-RICHELIEU, Duc d').
Reference : 4157
A Paris, chez F. Buisson, Libraire et à Lyon, chez les Frères Bruyset, Imprimeurs-Libraires, 1792. In-8°, demi-chagrin bordeaux à la Bradel, non rogné (reliure moderne). 392 pp.
Mémoires posthumes parus pour la première en 1790, rédigés par Mirabeau et publiés par Jean-Louis Giraud-Soulavie. Le livre onzième est consacré à des projets d'embellissement de Paris. (Barbier, 3, 219).Le duc d'Aiguillon (1720-1788), fut gouverneur de Bretagne de 1753 à 1768 et fit face à la fronde du Parlement emmené par La Chalotais.Il fut ensuite nommé par Louis XV, secrétaire d'État aux Affaires étrangères de 1771 à 1774, et fut l'un des membres du triumvirat formé avec le chancelier Maupeou et l'abbé Terray. Louis XVI les renvoya à son avènement, Légers frottements en pied du dos.Sobre mais élégante reliure postérieure, signée d'un monogramme sur la page de garde.