Couverture rigide Amsterdam, chez Herman Uytwerf, 1728. 3 tomes en 2 volumes in-8 (19 x 12,5 cm), reliure plein veau marbré, dos à 5 nerfs orné de fleurons dorés, pièce de titre rouge, filet d'encadrement sur les plats, filet doré sur les coupes, tranches marbrées, quelques nerfs frottés, quelques frottements marginaux sur les plats, premier plat du second volume insolé en tête, signet du second volume détaché. Volume 1 : (un essai sur la théorie de la peinture) 28 pages non chiffrées (contenant pages de titre, préface et tables), 216 pages, 3 feuillets dépliants ; (un essai sur l'art de critiquer, un discours sur la science d'un connaisseur) 4 pages non chiffrées (pages de titre), 238 pages ; Volume 2 : 6 pages non chiffrées (incluant la page de titre avec vignette gravée), LXXII pages, (description de divers fameux desseins, bas-reliefs, &c, qui se trouvent en Italie), 753 pages, brunissures sur les 100 premières pages de cette partie, bandeaux, culs de lampe. Cet ouvrage réunit les écrits théoriques de Jonathan Richardson (1667-1745), et de son fils Jonathan Richardson (1694-1771) publiés à Londres de 1715 à 1725. Notre édition, la version traduite en français par Antoine Rutgers et Lambert Ten Kate, fut publiée à Amsterdam en 1728 et supervisée par Richardson. Ces écrits esthétiques sont les premiers du genre publiés, en Angleterre, avant Hogarth (Analyse de la beauté - 1753) et les Discours de Reynolds (1769-1792). Ils participent à la formation du goût pour la peinture, au moment du passage d'une peinture décorative à une peinture expressive qui prend en compte la subjectivité du spectateur. Ils traitent du statut de l'artiste et de la fonction de l'art, bien avant la formation de la Royal Academy en 1768. Ces essais, à valeur éducative, visaient un public nouveau issu des classes moyennes, en quête d'identité culturelle et apparu dans l'Angleterre des Lumières avec l'avènement de la nouvelle monarchie parlementaire. Bon exemplaire de cette édition originale de la traduction française.
Bon
, Random House, 1996 Hardcover, 500 pages, ENG, 260 x 215 x 40 mm, dustjacket, book is in very good condition, illustrated in b/w. ISBN 9780394559186.
In the second volume of his definitive biography of Pablo Picasso, John Richardson draws on the same combination of lively writing, critical astuteness, exhaustive research and personal experience that made a bestseller out of the first volume and vividly re-creates the artist's life and work during the crucial decade of 1907-1917--a period during which Picasso and Georges Braque invented cubism and to that extent engendered modernism. Thanks to his friendship with Picasso and his family, mistresses, friends, dealers and other associates, Richardson has had unique access to untapped sources and unpublished material. By harnessing biography to art history, he has managed to crack the code of cubism more successfully than any of his predecessors. And by bringing fresh light to bear on the artist's too often sensationalized private life, he has succeeded in coming up with a totally new view of this paradoxical man and of his paradoxical work. Never before has Picasso's prodigious technique, his incisive vision and, not least, his sardonic humor been analyzed with such clarity. Richardson reveals that the young Picasso saw himself in the Baudelairean role of "the painter of modern life"--a role that stipulated the brothel as the noblest subject for a modern artist. Hence his great innovative painting Les Demoiselles d'Avignon, with which this book opens. As well as portraying Picasso as a revolutionary, the author analyzes the more compassionate side of his genius. The misogynist of posthumous legend turns out to have been surprisingly vulnerable--more often sinned against than sinning. Heartbroken at the death of his mistress Eva, the artist tried desperately to find a wife. Richardson recounts the untold story of how his two great loves of 1915-1917 successively turned him down; and how these disappointments, as well as his horror at the outbreak of World War I and the wounds it inflicted on his closest friends, Braque and Apollinaire, shadowed his painting and drove him off to Rome--back to the ancient world. For Picasso, art would always have a magic function. As Richardson reveals, the artist saw himself as a shaman who could use his art to cast spells, both good and bad, and play all manner of ingenious and sardonic games. This greatest of modern artists knew better than anyone how to outrage us, also how to fascinate, puzzle and disturb us. Above all, he makes us perceive reality afresh by re-energizing our minds as well as our eyes.
S.n., à Amsterdam 1777, 8 tomes en 4 Vol. in 12 (16,5x9,5), relié.
Nouvelle édition.Traduit par l'abbé Prévost, avec son introduction. Reliure en plein veau glacé marbré, dos à nerfs ornés. Un accroc à un mors en coiffe. "Richardson était l'inventeur de la tragédie bourgeoise [...] Il a inventé ce roman où l'art consiste à négliger tous les préceptes de l'art, où l'accumulation de détails étrangers à l'action, où la répétition des mêmes scènes et des mêmes sentiments, produisent plus d'effet que la précision, le goût, la justesse et l'ordre n'en ont jamais produit". AUGUSTIN FILON, Histoire de la littérature anglaise : depuis ses origines jusqu'à nos jours, Paris, Hachette, 1883.L'abbé Prévost ne s'est pas contenté de traduire le roman de Richardson, il l'a arrangé et remanié ; la fin ne lui plaisant pas, il l'a vraisemblablement réécrite, et c'est cette version qui circula dans toute l'Europe et fit la notoriété de Richardson, alors que l'original composait 28 volumes que Prévost a réduit à 8, retranchant systématiquement la verbosité et les longueurs caractéristiques de Richardson. NB : Cet ouvrage est disponible à la librairie sur demande sous 48 heures. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., à Amsterdam 1770, in-12 (9,5x17cm), (4) xij, 175pp. ; (4) 208pp. et (2) 196pp. ; (4) 180pp. et (4) 196pp. ; (4) 229pp. et (4) 192pp. ; (4) 254pp., 8 tomes reliés en 4 volumes.
Nouvelle édition. Traduction de l'Abbé Prevost, avec son introduction sur la traduction. Reliures en plein veau porphyre glacé. Dos lisses ornés à la grotesque. Pièces de titre en maroquin rouge, et de tomaison en maroquin beige. Coiffe de tête du volume 4 arasée, avec manque au mors en tête. 9 coins émoussés. Ensemble frotté. Estafilade sur le plat supérieur du tome 1. Manque le faux-titre du tome III. Bon exemplaire. "Richardson était l'inventeur de la tragédie bourgeoise [...] Il a inventé ce roman où l'art consiste à négliger tous les préceptes de l'art, où l'accumulation de détails étrangers à l'action, où la répétition des mêmes scènes et des mêmes sentiments, produisent plus d'effet que la précision, le goût, la justesse et l'ordre n'en ont jamais produit". AUGUSTIN FILON, Histoire de la littérature anglaise : depuis ses origines jusqu'à nos jours, Paris, Hachette, 1883. L'abbé Prévost ne s'est pas contenté de traduire le roman de Richardson, il l'a arrangé et remanié ; la fin ne lui plaisant pas, il l'a vraisemblablement réécrite, et c'est cette version qui circula dans toute l'Europe et fit la notoriété de Richardson, alors que l'original composait 28 volumes que Prévost a réduit à 8, retranchant systématiquement la verbosité et les longueurs caractéristiques de Richardson. ? - Photos sur www.Edition-originale.com -
Traduit de l'Anglois de Richardson par l'Abbé Prévost. 8 tomes reliés en 4 volumes.A Amsterdam, Aux dépens de la Compagnie 1771.Reliure plein veau de l'époque. Dos à nerfs orné et doré avec pièces de titre. Tranches rouges. Coins émoussés. Quelques épidermures. Coiffes frottées. Pas de rousseur. Quelques légères mouillures marginales sur une vingtaine de feuillets au T8. Format in-12° (17x10).Richardson (1689-1761) avait cinquante ans lorsque, à la demande de plusieurs libraires, il se mit à écrire un recueil de lettres morales. A mesure qu’il poussait son travail, il en résulta Paméla ou la Vertu récompensée (Londres, 1740). Le succès énorme de cet ouvrage fit instantanément de Richardson un des écrivains les plus connus et admirés de son époque. Il a influencé des écrivains tels que Jane Austen, Goethe, Jean-Jacques Rousseau ou Choderlos de Laclos.
1766 Paris, Libraires Associés,1766. Nouvelle édition.:13 tomes reliés en 6 volumes in12 plein veau raciné,dos lisses ornés,.avec 24 gravures ht d'apres Eisen par Duflos,xxxij+244,222,224,207,188,184,232, 232, 223,220,300,192,216 p.,
edition complete,manques aux dos de 4 volumes ,sinon correct,quelques gravures avant la lettre,
Auto-production 2010. Premier CD du groupe Macrodots, avec dédicace de Cathy Richardson au verso de la couverture. Dédicace obtenue en 2012 au concert du mythique groupe Jefferson Starship (avec les membres fondateurs Paul Kantner, Marty Balin et David Freiberg) alors que Cathy Richardson en était la chanteuse principale, depuis 2008. Etat de neuf. Provient de ma collection personnelle. Billet du concert joint.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres
<span>From 1950 to 1962, John Richardson lived near Picasso in France and was a friend of the artist. With a view to writing a biography, the acclaimed art historian kept a diary of their meetings. After Picasso's death, his widow Jacqueline collaborated in the preparation of this work, giving Richardson access to Picasso's studio and papers. <br><br>Volume one of this extraordinary biography establishes the complexity of Picasso's Spanish roots; his aversion to his native Malaga and his passion for Barcelona and Catalan "modernisme". Richardson introduces new material on the artist's early training in religious art; re-examines old legends to provide fresh insights into the artistic failures of Picasso's father as an impetus to his sons's triumphs; and includes portraits of Apollinaire, Max Jacob and Gertrude Stein, who made up "The Picasso Gang" in Paris during the "Blue" and "Rose" periods.</span> Paris, 1991 Editions du Chêne. 548 p., illustré, relié toile. 21 x 26
Occasion
, Brepols - Harvey Miller, 2015 Hardback, IV+388 p., 122 b/w ill. + 22 colour ill., 220 x 280 mm, 2015 Languages: English. ISBN 9782503555584.
The relationship between early modern Italy and its medieval past has become the object of new interest and debate in art history. To a certain extent, other fields of scholarship, such as history, history of literature, and history of philosophy, have remained alien to the discussion. Yet, the emergence of the humanities as autonomous disciplines in the nineteenth century was predicated on the arduous and sophisticated scrutiny and re-thinking of the ?divides? in the history of western Europe and their hermeneutical validity. Articulating the division between ancient / medieval and medieval / Renaissance has been particularly important in this discourse. At present, although the interpretation of the medieval / Renaissance divide no longer rests on the oversimplifying binomial of continuity / discontinuity, the identification and assessment of what historically constitutes a break, a transition, a regression, or a novelty are still topics of contention and ambivalence. Remembering the Middle Ages in Early Modern Italy approaches these important interpretive issues through the fresh lens of case studies carried out by scholars from the diverse fields of history of art and architecture, history of literature, and philosophy. In these essays, the notion of ?remembrance? is examined and inflected in multiple ways: as memory and survival, as a process of distance and clarification, and as nostalgia, repudiation, and revival. Remembering the Middle Ages also offers an updated survey on the ways in which the medieval / Renaissance divide was originally constructed in the fifteenth and sixteenth centuries and subsequently interpreted from Jacob Burckhardt?s The Civilization of the Renaissance in Italy (1860) to the present day. Lorenzo Pericolo is Associate Professor of History of Art at the University of Warwick. He is the author of Caravaggio and Pictorial Narrative: Dislocating the Istoria in Early Modern Painting (2011). With the Center for Advanced Studies in the Visual Arts (Washington DC), he is preparing the critical edition of the life of Guido Reni by Carlo Cesare Malvasia. Jessica N. Richardson is Wissenschaftliche Assistentin at the Kunsthistorisches Institut in Florenz ?Max-Planck-Institut (Florence) in the Department of Gerhard Wolf. She was Research Associate at the Center for the Advanced Study in the Visual Arts (Washington DC) then Amherson Fellow at Villa I Tatti (Florence). She is currently working on a book on the creation and treatment of medieval miraculous images in Bologna between the fourteenth and the seventeenth centuries. Table of Contents Introduction ? Jessica N. Richardson Antiquitas and the Medium Aevum: The Ancient / Medieval Divide and Italian Humanism ? Frederic Clark Vasari in Practice, or How to Build a Tomb and Make it Work ? C. Jean Campbell Shifting Identities: Jacopo Campora?s De Immortalitate Anime from Manuscript to Print ? Eugenio Refini Leon Battista Alberti: ?Philology? of Forms and Time in Sant?Andrea, Mantua ? Arturo Calzona Did Siena Have a Renaissance? ? Jane Tylus Persistence and Polychronicity in Roman Churches ? Dale Kinney Pulci?s Morgante and the End of a Medieval World ? David Quint Incorporating the Middle Ages: Lazzaro Bastiani, the Bellini, and the ?Greek? and ?German? Architecture of Medieval Venice ? Lorenzo Pericolo Dante and Petrarch in Giovan Battista Gelli?s Lectures at the Florentine Academy ? Federica Pich Medieval Column Crosses in Early Modern Bologna ?Jessica N. Richardson Serving Christ: The Assumption Procession in Sixteenth-Century Rome ? Kirstin Noreen Changing Historical Perspectives? Giovan Pietro Bellori and the Middle Ages in Rome ? Elisabeth Oy-Marra Visual Evidence and Periodization in Giulio Mancini?s Observations on Early Christian and Medieval Art in Rome ? Frances Gage Epilogue: The Shifting Boundaries of the Middle Ages: From Die Kultur der Renaissance in Italien (1860) to Anachronic Renaissance (2010) ? Lorenzo Pericolo
Chez Nourse, à Londres 1751 - 1762, In-12 (10x17,2cm), 7 volumes reliés.
Édition originale de la traduction française de l'abbé Prévost réunie avec le rare supplément parue en 1762 et qui contient l'Éloge de Richardson en originale de Diderot. L'illustration comprend 21 jolies figures dont les 13 premières par Eisen et les 8 dernières par Pasquier. Chaque tome contient deux parties avec des pages de titre particulières, sauf pour le volume de supplément qui contient lui, outre l'essai de Diderot, les parties de l'uvre qui avaient été retranchées par Prévost. La première édition anglaise complète date de 1748. Reliures en plein veau brun marbré d'époque. Dos lisses élégamment ornés. Pièces de titre en maroquin rouge et de tomaisons en maroquin havane (seul le tome VII de supplément paru en 1761, en reliure uniforme possède une pièce de tomaison en maroquin noir). Triple filet d'encadrement sur les plats. Un accroc (travail de vers) en tête du tome I. Une bordure basse dénudée au tome 1. Un petit manque en tête du tome II. Coiffe de queue du tome V en partie manquante avec le mors supérieur fendu en queue et léger manque de cuir. Mors inférieur du tome VI ouvert en tête, idem pour le tome VII. La plupart des coins sont émoussés. Malgré des défauts, bel exemplaire dans une reliure de qualité. Clarisse Harlove est le deuxième grand roman publié par l'auteur après l'immense succès de Paméla ; c'est à nouveau un roman sentimental dont l'héroïne vertueuse se voit contrainte par sa famille d'épouser un homme noble, laid et obèse, contre son gré. Elle s'enfuira avec le dénommé Lovelace, le type même du libertin élégant, scélérat et fourbe, qui désire la contraindre corps et âme, l'entraînant dans une déchéance sociale et morale, mais ce sera sans compter les qualités vertueuses de Clarisse. Si le roman, du point de vue moderne pèche par sentimentalisme et longueur, il n'en demeure pas moins que la construction de l'intrigue, les rebondissements dramatiques et la psychologie marqueront durablement la littérature européenne. Diderot le clamera dans son Éloge de Richardson, et de nombreux auteurs s'en réclameront ou subiront son influence : Rousseau, Jane Austen, Choderlos de Laclos... L'uvre connaîtra un immense succès, et même si en raison de sa longueur, le roman est peu lu aujourd'hui, il demeure l'un des livres les plus emblématiques de la littérature du XVIIIe. On notera que l'essai de Diderot, outre l'éloge qui est fait de Richardson, est un véritable plaidoyer pour une nouvelle littérature, réaliste, sa thèse rejoignant celle qu'il a écrite pour le théâtre. - Photos sur www.Edition-originale.com -
2 volumes. Lausanne, François Grasset & Comp. 1773. Petit in-8°. 516 p., 492 p. Cartonnage papier marbré, pièce de titre et tomaison vertes.
Contrefaçon de la première édition en français, parue en 1772 à Amsterdam chez D. J. Changuion; elle a peut-être été coproduite en collaboration avec le libraire parisien Le Jay; dans le "Nouveau journal helvétique" de septembre 1773, François Grasset annonce ce livre sous la rubrique: "A Paris, chez Lejai, et à Lausanne chez F. Grasset et Compagnie". Traduction de: "The history of sir William Harrington", par Thomas Hull d'après Halkett & Laing; attribué aussi à Anna Meades d'après le catalogue de la Britisch Library et à Samuel Richardson. - Dos frottés, ex libris.
9,5 x 17 Amsterdam 1770 Huit tomes reliés en quatre volumes, s.n., reliure plein veau fauve raciné de l'époque, dos à cinq nerfs ornés de fleurons et de palmettes dorés, pièces de titre lavalière, titres et tomaisons dorés, filets dorés sur les coupes, gardes à la coquille, tranches rouges, signets de soie verte, vignettes de titre, [4]-xij-192 pp. ; [4]-228 pp. et [4]-215 pp. ; [4]-196 pp. et [4]-213 pp. ; 1 f. bl., 254 pp. et [4]-226 pp. ; 1 f.bl., [4]-284 pp. Traduit par l'abbé Prévost avec sa célèbre introduction, qui établit une relation entre le travail du traducteur et celui du sculpteur, et qui légitime ainsi les coupes drastiques qu'a faites Prévost dans le texte de Richardson. La première traduction était parue en 1755 et 1758. Les romans de Richardson, loués par Diderot, inspirants pour Rousseau, ont connu un véritable engouement. Les traductions de l'abbé Prévost y participèrent largement. Bonne reliure avec quelques frottements, mors fendu en queue du volume IV, marques d'usure sur les coupes des volumes I et III, absence de pages de faux titre et de titre à l'intérieur du volume III en ouverture du sixième tome, contre-gardes blanches plus ou moins roussies, intérieur frais. Bon ensemble.(Bbis5) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST
, Uitgeverij 't Nijvere Lezerke, 2024 paperback, 175 pages 20.3x12.8cm Text in English. ISBN 9789073280175.
The Antwerp railway station, which opened in 1905, is one of the world's majestic eclectic public buildings. Even with its impressive canopy, however, it is more than purely an architectural masterpiece. And thus the U.S.-born writer Alexandra Richardson, who lives in London, set about weaving a tale centred around both real and fictional individuals who played their special roles in the creative process of erecting this iconic edifice. From the forgotten years leading up to the all-shadowing Great War, the author etches a picture of those times through her various story lines. We now know more fully why a railway cathedral rose in this city along the Scheldt, at the end of a lofty ?walkway of city tracks.? More importantly, though, why that railway hub immediately became a turning point for human fortunes.////// Wie door de verschillende etages van station Antwerpen doolt, heeft kans er groepjes studenten tegen te komen. Gewapend met camera, pen of tekenblok bestuderen ze het bouwwerk, leggen details vast en laten zich inspireren. Het kan gaan om studenten architectuur, uit vakgroepen als kunstgeschiedenis of de historie van stedebouw,. Maar ook om leerlingen van foto- of tekenopleidingen. Het station van Antwerpen is dan ook een van de interessantste die de wereld rijk is. Het eclectische bouwwerk, dat in 1905 met zijn imposante overkapping in gebruik ging, is echter meer dan een architectonisch meesterwerk. De in Londen wonende in de Verenigde Staten geboren schrijfster Alexandra Richardson, bekend van Passionate Patron: The Life of Alexander Hardcastle and the Greek Temples of Agrigento Archeological lives (Archaeopress 2009) dook daarom in archieven mede in de menselijke achtergronden van het ontstaan van het iconische bouwwerk. Aan de hand van fictieve en werkelijke bij het ontstaan van het station betrokken personages, zette ze een heldere saga op. Daarmee haalt de schrijfster ook een tijdsbeeld terug van de behoorlijk in vergetelheid geraakte periode voorafgaand aan de alles overschaduwende Eerste Wereldoorlog. Hierdoor weten we nu beter hoe het komt dat aan het eind van een hooggelegen loper aan stadssporen in de Scheldestad zo'n kathedraal verrees. Maar belangrijker is waarom dat spoorwegknooppunt al meteen een draaischijf voor menselijke lotgevallen werd.
New Cavendish Books (1 janvier 1999)
Relié, jaquette illustrée, nombreuses illustrations, très bon état.
Portrait de l'auteur gravé par Duponchel et 21 jolies gravures en taille douce. Augmentée de l'éloge de Richardson, des lettres posthumes & du testament de Clarisse. Ce roman épistolaire a été publié en 1713, bien avant les œuvres plus célèbres de Richardson telles que "Pamela" et "Clarissa". L'histoire tourne autour de Miss Clarisse Harlove, une jeune femme anglaise, et de sa correspondance avec Milord Longgrave, avec qui elle partage ses expériences, ses réflexions et ses émotions. "Lettres angloises" présente des thèmes similaires à ceux que l'on retrouve dans les romans ultérieurs de Richardson, tels que les conflits entre la vertu et le vice, la place des femmes dans la société et les questions morales et sociales de l'époque. Complet en 11 volumes petit in12, 13x17, reliés pleine basane époque, accrocs, bien solides, frais toutes tranches dorées, 380, 305, 354, 323, 341, 348, 346, 371, 384, 405, 380pp. A Londres, 1784 ref/24/7
1766 Paris, Les Libraires Associés, 1766, 13 tomes en 6 volumes in-12, de (8)-XXXII-244 pp.-(4)-222 pp. ; (4)-224 pp.- (4)-207 pp. ; (4)-188 pp. - (4)-184 pp. ; (4)-232 pp. - (4)-232 pp. ; (4)-223 pp.- (4)220 pp. ; (4)-300 pp.- (4)-216 pp., reliure de la 1re moitié du XIXe siècle, de demi-veau bleu nuit, dos lisses ornés d'encadrements de double-filets dorés, tranches jaspées, bon exemplaire.
Edition bien complète en 13 volumes, illustrée d'un portrait gravé de Richardson en frontispice et de 20 figures hors-texte gravées d'après Eisen. Traduction par l'abbé Prévost d'Exiles.
Paris, Boulé, 1846, in-8°, 544 p. / 591 p., çà et là quelques très légères rousseurs, avec signet, jolies reliures en demi-maroquin olive, dos richement doré à la plaque (entrelacs floraux), pièce de titre en papier cuir noir, quelques légers frottements sur le plat supérieur du tome 2, tranches jaspées, assez bon exemplaire, bel ensemble.
Edition française du chef-d'oeuvre (1745) du grand romancier anglais Samuel Richardson, qui eut, par l'intermédiaire de l'auteur de «Manon Lescaut», une profonde influence sur les lettres en France et sur le développement du roman dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Notre exemplaire est agrémenté d'un joli ensemble de reliures. Quérard LFC VI/180 (mentionne cette édition en 1845); Hoefer NBG XLII/193. Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Nouvelle édition augmentée de l’éloge de Richardson, des lettres posthumes et du testament de Clarisse10 tomes sur 13 en 4 volumes(sur 5)in 12 plein cuir fauve raciné à nerfs,titre,tomaison,fers dorés,roulette dorée sur coupes.Un portrait gravé de Richardson,13 gravures hors-texte,certaines de EISEN,d’autres non signées.Complet des faux-titre et titre;tranches jaspées,Chez les Libraires associés 1766.1 coiffe réparée,une manquante,quelques coins émoussés, épidermures,Volume 1 très bon état. Ensemble correct.
Mercure de France 1965 Mercure de France, Coll. Domaine Anglais, 1965, 266 p., broché, exemplaire non justifié sur Arches, environ 20x14cm, un petit accroc sur le bas du dos, bon état pour le reste et intérieur bien propre, pages non coupées (jamais lu).
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Amsterdam, Herman Uytwerf, 1728. 3 Volumes, COMPLET. In-8 - 13x19,5cm. Reliure en plein veau marbré havane, dos à 5 nerfs orné de caissons et fleurons dorés, filet à froid en encadrement des plats, dentelle dorée sur les coupes, tranches rouges. 14ff, 211pp, 1ff, 238pp; 1ff, LXXII, 12ff, 322pp, 1ff, (pagination continue) 759pp. Deux ex-libris dont un gravé : Van Vaenewyck et Bibliothèque de Henri Tardivi. Page de titre en rouge et noir et ornée d'une belle vignette gravée. Édition originale de la traduction revue par les Richardson et les collectionneurs A. Rutgers et L.H. Ten Kate. Divisée en 3 tomes (le premier en 2 parties) contenant un Essai sur la théorie de la peinture, un Essai sur l'art de critiquer en peinture et une Description des plus fameux tableaux, dessins, sculptures qui se trouvent en Italie (texte original revu et augmenté, précédé d'un Discours sur le Beau idéal par Ten Kate). Peintre de portrait et collectionneur, Richardson père (1665-1745) et son fils étaient de grands spécialistes de la peinture italienne et c'est sur base des notes prises par le fils lors d'un voyage en Italie qu'ils publièrent en 1722 leur Description, le père ayant déjà publié ses deux Essais en 1715 et 1719.
Mors des premiers plats des 3 volumes fendillés (mais plats toujours solidement attachés), quelques défauts mineurs, sinon bel et rare exemplaire, bien complet. Clients Livre Rare Book : Les frais postaux indiqués sont ceux pour la France métropolitaine et la Corse, pour les autres destinations, merci de contacter la librairie pour connaître le montant des frais d'expédition, merci de votre compréhension. Livre Rare Book Customers : The shipping fees indicated are only for France, if you want international shipping please contact us before placing your order, thank you for your understanding.
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Illustration "Illustration en couleurs (env. 16 x 21 cm) de Agnes Richardson, titrée ""Do Take Us to the Pond!"" (famille de canetons devant une petite fille) ; bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
A Amsterdam, 1763, 8 volumes de 100x175 mm environ, xij-175-218 à 473 (tomes I et II pagination continue), 460 pages (tomes III et IV pagination continue), 234, 275, 260 et 331 pages (erreurs de pagination : les pages 252-251 et 249-250 du tome VII sont doubles et reliées dans le tome VIII entre les pages 2 et 3, et 267 au lieu de 7), reliés plein veau fauve marbré, dos à nerfs portant titres et tomaisons dorés sur pièces en maroquin bordeaux et pièces de tomaisons fauves brunes ou verte en fonction des volumes, ornés de caissons à fleurons dorés, coupes dorées, gardes marbrées, tranches rouges. Ex-libris sur le premier contreplat de chaque volume. Quelques rousseurs et pages brunies, petite galerie de ver dans la marge interne du tome VII, 2 coiffes légèrement ébréchées, des coins un peu émoussés, frottements sur les coupes, coiffes et mors, infimes manques de cuir sur 2 pièces de tomaisons, sinon bon état.
Samuel Richardson est un écrivain anglais, né le 19 août 1689 dans le comté de Derby et mort le 4 juillet 1761 à Londres.Antoine François Prévost, dit dExiles, plus connu sous son titre ecclésiastique dabbé Prévost, est un romancier, historien, journaliste, traducteur et homme d'Église français, né le 1er avril 1697 à Hesdin (dans le Pas-de-Calais actuel) et mort le 25 novembre 1763 à Courteuil. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
1802 basane racinée, pieces rouges et vertes. 14 vol. in-16, 14 frontispices, P. Lemarchand An X (1802),
Ed. sur papier velin, figures avant la lettre.
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
Paris, Boulé, Editeur , puis Publications du Journal L'Estafette, 1846 ; 2 volumes in-8°, demi-basane blonde, dos lisse orné de filets dorés er fleurons à froid, titre doré sur étiquette noire; 544pp.; 591pp.
Manque de cuir aux coiffes, dos un peu brunis, coins et coupes frottés; rares piqûres , déchirure au dernier feuillet du Tome 2, hors le texte et avec infime manque de papier; la marge supérieure des pages 457/458 du tome second a été rognée trop court , le titre courant est en partie amputé, de même pour la page 586 où il manque le titre courant, mais dans les deux cas le texte est bien complet . ( GrMD)