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Rapport fait à la Société impériale zoologique d'acclimatation. sur le haras de M. F. de Lesseps, Président de la Compagnie du canal maritime de Suez, membre de la Société. Au nom d'une commission composée de MM. le docteur Auzoux, le prince Marc de Beauveau, Leblanc, le général Morris, le marquis de Roccagiovine, le marquis Séguier, le marquis de Selve, et Richard (du Cantal), rapporteur. Extrait du Bulletin de la Société impériale zoologique d'acclimatation (avril 1860)
Paris, Au siège la société, 1860 in-8, 16 pp., broché sous couverture verte imprimée.
Unique édition, très peu commune.Ferdinand de Lesseps avait, entre autres activités plus connues, établi un haras dans la propriété de sa belle-mère à Lachenaie (Indre), à partir de deux étalons et une jument arabes qui lui avaient été offerts.Le rapporteur, Antoine Richard (dit Richard du Cantal, 1802-1891) était vétérinaire militaire qui s'était reconverti dans l'agronomie après une expérience politique malheureuse pendant la Deuxième République.Un seul exemplaire au CCF (BnF). Mennessier de La Lance II, 423. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Rapport fait le 23 mars 1849 à l'Assemblée nationale constituante,. au nom de ses Comités de l'agriculture et de la guerre réunis pour étudier la production du cheval au point de vue des besoins de l'armée. Suivi du rapport fait à l'Académie des sciences de Paris, sur le même sujet, le 16 avril 1849.
Paris, L. Hachette, J. Dumaine, 1874; in-12, XII pp., XXIV pp., 166 pp., broché.
Il y aurait une édition séparée publiée dès 1849, mais elle ne figure pas dans les dépôts publics. Le texte en revanche en avait été inséré dans la cinquième édition de l'Etude du cheval de service et de guerre.Le rapporteur, Antoine Richard (dit Richard du Cantal, 1802-1891) était vétérinaire militaire qui s'était reconverti dans l'agronomie après une expérience politique malheureuse pendant la Deuxième République.Edition non signalée par Mennessier de La Lance II, 424 (qui ne donne que celle de 1886). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Rapport fait le 23 mars 1849 à l'Assemblée nationale constituante,. au nom de ses Comités de l'agriculture et de la guerre réunis pour étudier la production du cheval au point de vue des besoins de l'armée. Suivi du rapport fait à l'Académie des sciences de Paris, sur le même sujet, le 16 avril 1849.
Paris, L. Hachette, Librairie de la Maison Rustique, 1886; in-12, LVI-198 pp., broché. Couverture défraîchie, dos fendu avec manques de papier. Rousseurs.
Troisième édition.Le rapporteur, Antoine Richard (dit Richard du Cantal, 1802-1891) était vétérinaire militaire qui s'était reconverti dans l'agronomie après une expérience politique malheureuse pendant la Deuxième République.Mennessier de La Lance II, 424. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Principes généraux sur l'amélioration des races de chevaux et autres animaux domestiques. à l'usage des écoles d'agriculture et de l'armée. Extrait du Traité de la conformation du cheval suivant les lois de la physiologie et de la mécanique (...).
Paris, au comptoir des Imprimeurs-unis, 1850 in-8, [4] ff. n. ch., pp. 401-534, broché sous couverture imprimée. Rousseurs.
Publication séparée de la quatrième partie (haras, courses et perfectionnement) du livre sur la Conformation du cheval (originellement paru en 1847).Antoine Richard (dit Richard du Cantal, 1802-1891) était vétérinaire militaire qui s'était reconverti dans l'agronomie après une expérience politique malheureuse pendant la Deuxième République.Envoi.Menessier de La Lance II, 422. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Rapport fait à l'Assemblée Nationale Constituante le 21 août 1848 au nom de son comité d'Agriculture et de crédit foncier sur le projet de décret relatif à l'organisation de l'enseignement de l'agriculture en France.
Paris, Hachette, Maison Rustique, 1885. in-12, XIVpp.-148pp.-4ff. d'annonces. Broché.
Né à Pierrefort (Cantal) en 1802, mort à Paris en 1891, Antoine Richard s'enrôla, comme volontaire, au 1er cuirassiers de la garde, fut détaché comme élève militaire à l'École d'Alfort, et se fit recevoir médecin vétérinaire au 1er d'artillerie (1828). En garnison à Strasbourg, il suivit les cours de la faculté de médecine de cette ville et prit le grade de docteur. Puis il se rendit en Algérie, en revint pour enseigner à Grignon l'économie rurale, et fonda en Auvergne une école d'agriculture (1838). Nommé professeur d'histoire naturelle à l'École royale des haras (1840), puis directeur (1844) de cet établissement, il publia, en 1845, les Annales des haras et de l'agriculture, revue mensuelle, et, peu de temps après, un remarquable ouvrage sur la Conformation du cheval (1847). Mais ses doctrines scientifiques et ses tendances démocratiques l'avaient rendu suspect au pouvoir : M. Richard, qui était affilié depuis 1832 à la Société républicaine des Droits de l'homme, fut destitué en 1847. Il se jeta alors sans réserve dans le mouvement réformiste, et fut envoyé à Saint-Flour, après la Révolution de février, comme sous-commissaire du gouvernement provisoire. Élu, le 23 avril 1848, représentant du Cantal à l'Assemblée constituante, il prit place dans les rangs de la gauche modérée. Réélu, en 1849, représentant du Cantal à l'Assemblée législative, il fut rendu à la vie privée par le coup d'État du 2 décembre 1851, et se consacra pendant toute la durée de l'Empire à des études d'agronomie. Fondateur, avec Geoffroy-Saint-Hilaire, en 1854, de la Société zoologique d'acclimatation, il fit, en 1869, dans toute la France, des conférences de vulgarisation scientifique qui furent très goûtées du public. Outre un grand nombre d'articles spéciaux insérés dans Le Siècle, on doit à Richard : Principes généraux sur l'amélioration des races de chevaux et autres animaux domestiques (1850); Dictionnaire raisonné d'agriculture et d'économie du bétail (1854); Etude du cheval de service et de guerre (1874), etc. (Source : Dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889 (A.Robert et G.Cougny)). - Brochage fragile, dos endommagé.
