Amsterdam, 1775 ; in-12, basane fauve, dos orné, tranches rouges. (Reliure de l?époque)." 2 ff., 201 pp.Coiffes et coins leger.élimés.Taches jaunes en marge de qques feuillets,sinon bon exemplaire
Roman sous forme de lettres. Il n?y est question que de sentiments amoureux, un département que Madame Riccoboni, ancienne actrice du Théâtre italien, connaissait jusqu?au bout de son éventail. Ces lettres ?furent les premiers essais romanesques de l?auteur, et ces essai est un chef-d?oeuvre. Ce roman eut un grand succès et suffirait pour assurer à l?auteur une place distinguée parmi les romanciers du XVIIIe siècle.? dit Girault de St Fargeau. Bibl des romans., qui consacre une longue notice à ce livre, dans laquelle il insiste sur le fait que la Riccoboni ?ne s?érige point en moraliste, ne prêche pas, n?analyse point les passions avec subtilité, ne les gourmande point avec hauteur. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Paris, Par la Société des Libraires, Paris, Par la Société des Libraires1757 ; in-12, veau fauve marbré, dos à nerfs et ornements dorés, tranches rouges. (Reliure de l’époque) 164 pp.Édition à la date de l’originale. Deux éditions ont paru en 1757, l’une à l’adresse d’Amsterdam et celle-ci, donnée par les Libraires Associés de Paris. Mylne Martin 57.12C’est le premier des dix romans de madame Riccoboni. Avec ce livre, elle met au goût du jour le style épistolaire pratiqué en Angleterre par Richardson que l’abbé Prévost avait traduit avec beaucoup de succès. Ce premier roman est inspiré par une aventure personnelle de l’auteur. Persécutée par un mari violent et débauché, l’acteur Antoine François Riccoboni qu’elle avait épousé en 1734, elle l’avait quitté en 1755. “M. Boissonade a révélé cette particularité connue de peu de personnes, les lettres de Fanny Butler, données sous forme d’un roman, doivent leur origine à une liaison d’amour très réelle, et furent adressées à M. de Maillebois, dont elle était folle, et qui la quitta fort brusquement.” Gay II, 827.À la suite est relié un autre roman épistolaire de madame Riccoboni : Lettres de Milady Juliette Catesby à Milady Henriette Campley, son amie. Seconde édition. Amsterdam, 1759 ; 172 pages. Seconde édition publiée la même année que l’originale. Mylne Martin, 59.22 - Gay II, 827 : “Petit roman sentimental, bien écrit et devenu classique”. Coins inférieurs usés, sinon bel exemplaire.
Amsterdam, , Amsterdam, 1775 ; in-12, basane fauve, dos orné, tranches rouges. (Reliure de l’époque). 2 ff., 163 pp.Roman sous forme de lettres. Il n’y est question que de sentiments amoureux, un département que Madame Riccoboni, ancienne actrice du Théâtre italien, connaissait jusqu’au bout de son éventail. Ces lettres “furent les premiers essais romanesques de l’auteur, et ces essai est un chef-d’oeuvre. Ce roman eut un grand succès et suffirait pour assurer à l’auteur une place distinguée parmi les romanciers du XVIIIe siècle.” dit Girault de St Fargeau. Bibl des romans., qui consacre une longue notice à ce livre, dans laquelle il insiste sur le fait que la Riccoboni “ne s’érige point en moraliste, ne prêche pas, n’analyse point les passions avec subtilité, ne les gourmande point avec hauteur.”Cachet officiel de Rouen (XVIIIe) et signature Havas (XVIIIe) dans la marge inférieure de la page 1. Sans doute un visa de douane. Coiffes et coins élimés.