La Nouvelle Revue Critique La Nouvelle Revue Critique N° 173-174 mars 1966, In-8 broché, 198 pages. Bon état.
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Paris, Les editions de la nouvelle critique, 1962; in-8, 154 pp., broché. N°140 reuve mensuelle novembre 1962.
N°140 reuve mensuelle novembre 1962.
Paris, La nouvelle critique, 1963; in-8, 160 pp., br. Broché en bon état.
Broché en bon état.
Paris, La nouvelle critique, 1963; in-8, 254 pp., br. Broché revue mensuelle n°145/146.
Broché revue mensuelle n°145/146.
Paris, la Nouvelle Critique, s.d. (vers 1970) ; in-folio, 318 pp., broché. Colloque de Cluny II. Très bon état.
(S4B3) Le numéro :
Nous avons les numéros : Spécial Avignon 70, 85 (juin-juillet 1975), 92 (mars 1976), 95 (juin 1976), 96 (septembre 1976), 110 (janvier 1978).
1 vol in-4 - 1971 - broché - 166 pages
bon état
N° 167 - juin 1965 - petit in-8 broché - revue illustrée. Hors texte - 124 pages
bon état
N° 154 - avril 1964 - in-8 broché - 156 pages
bon état
PAULHAN (Jean) Ecrivain, critique et éditeur français, animateur de la Nouvelle Revue française (1884-1968)
Reference : 147C26
Il souhaite rencontrer le peintre afin d’obtenir des informations qui lui permettront d’écrire pour la NRF, « un bref essai sur la peinture informelle » et également consulter ses « catalogues et préfaces d’avant 1940 ». Un déjeuner prévu avec Dominique Aury, « que vous connaissez, je crois » (qui fut la maitresse de J.P. dès la fin de la guerre, célèbre pour son roman sadomasochiste « Histoire d’O »), l’amène à lui proposer un changement dans le déjeuner prévu. : « Voulez-vous nous accepter tous les deux, ou le mieux ne serait-il pas que ce soit nous qui vous emmenions déjeuner dans le quartier... »
L’ensemble des 3 lettres
PAULHAN (Jean) écrivain, critique et éditeur français, animateur de la Nouvelle Revue française (1884-1968)
Reference : 148C26
On joint la lettre signée de Gaston Gallimard en réponse à Daniel Dreuil, (1 p. in-8, datée du 30 mai 1949), lui indiquant qu’il n’avait pas retenu ses écrits pour une future édition. « Nous ne pouvons malheureusement songer à les retenir, car notre programme est établi d’une manière très stricte, et nous devons nous limiter aux engagements que nous avons déjà contractés… ». Après avoir lu les deux ouvrages reçus « L’homme de couleur » et le « Garçon précoce », Paulhan lui assure qu’il va les remettre à Gaston Gallimard, « sans lui dire combien j’en aime le ton et l’allure. (Pourtant je voudrais reprocher à votre pièce un peu de convention (à l’envers) - votre récit certaines influences qui le rendent à la fois plaisant et un peu irritant… ». Sur ce dernier point selon son terme « irritant », il s’explique. « votre roman est plus curieux. J’en aime beaucoup les dernières scènes (la chance, etc.) mais le style et le ton m’en paraissent encore un peu trop vulgaires, avec trop de laisser aller. ».