N° 1. 1er janvier 1920. Bon état.
Paris (36, rue Pigalle, puis 39, Chaussée d'Antin). Directeur (et unique rédacteur) : [Marcel] Azaïs. 58 numéros ont paru en 58 livraisons de janvier 1920 à octobre 1924. Peu courant. (Admussen, 90) - " Nous sommes quelques-uns à qui la mort de Marcel Azaïs a donné un coup en plein cur. Il est mort [à l'âge de 36 ans] le 12 septembre 1924, d'un accident banal et stupide comme un fait divers, foudroyé par un moteur électrique. [] Sa petite revue portait pour titre : " Essais Critiques ". Elle paraissait le premier [et parfois le 15] de chaque mois, avec une charmante irrégularité pendant le temps des vacances. Nous avouons avoir le cur serré à la pensée que nous ne la recevrons plus. C'était une fête. C'est la seule publication dont nous pouvons dire que nous n'avons jamais sauté une ligne. On ne fermait jamais le mince cahier sans être enrichi d'une idée forte et neuve, d'un point de vue original et pénétrant. Combien y a-t-il de publications, même très grosses, dont on puisse dire autant ? [] Il avait en tout sept cents lecteurs et il ne cherchait point à en avoir davantage. Il n'avait jamais pensé que le nombre eût une valeur en soi. " Préface de Lucien Dubech au " Chemin des Gardies " (Nouvelle Librairie Nationale, 1924), recueil posthume dans lequel une grande partie des articles de Marcel Azaïs a été recueillie. Marcel Azaïs était aussi critique de musique à l'" Action Française ".
N° 2. 15 janvier 1920. Bon état.
Paris (36, rue Pigalle, puis 39, Chaussée d'Antin). Directeur (et unique rédacteur) : [Marcel] Azaïs. 58 numéros ont paru en 58 livraisons de janvier 1920 à octobre 1924. Peu courant. (Admussen, 90) - " Nous sommes quelques-uns à qui la mort de Marcel Azaïs a donné un coup en plein cur. Il est mort [à l'âge de 36 ans] le 12 septembre 1924, d'un accident banal et stupide comme un fait divers, foudroyé par un moteur électrique. [] Sa petite revue portait pour titre : " Essais Critiques ". Elle paraissait le premier [et parfois le 15] de chaque mois, avec une charmante irrégularité pendant le temps des vacances. Nous avouons avoir le cur serré à la pensée que nous ne la recevrons plus. C'était une fête. C'est la seule publication dont nous pouvons dire que nous n'avons jamais sauté une ligne. On ne fermait jamais le mince cahier sans être enrichi d'une idée forte et neuve, d'un point de vue original et pénétrant. Combien y a-t-il de publications, même très grosses, dont on puisse dire autant ? [] Il avait en tout sept cents lecteurs et il ne cherchait point à en avoir davantage. Il n'avait jamais pensé que le nombre eût une valeur en soi. " Préface de Lucien Dubech au " Chemin des Gardies " (Nouvelle Librairie Nationale, 1924), recueil posthume dans lequel une grande partie des articles de Marcel Azaïs a été recueillie. Marcel Azaïs était aussi critique de musique à l'" Action Française ".
N° 3. 1er février 1920. Bon état.
Paris (36, rue Pigalle, puis 39, Chaussée d'Antin). Directeur (et unique rédacteur) : [Marcel] Azaïs. 58 numéros ont paru en 58 livraisons de janvier 1920 à octobre 1924. Peu courant. (Admussen, 90) - " Nous sommes quelques-uns à qui la mort de Marcel Azaïs a donné un coup en plein cur. Il est mort [à l'âge de 36 ans] le 12 septembre 1924, d'un accident banal et stupide comme un fait divers, foudroyé par un moteur électrique. [] Sa petite revue portait pour titre : " Essais Critiques ". Elle paraissait le premier [et parfois le 15] de chaque mois, avec une charmante irrégularité pendant le temps des vacances. Nous avouons avoir le cur serré à la pensée que nous ne la recevrons plus. C'était une fête. C'est la seule publication dont nous pouvons dire que nous n'avons jamais sauté une ligne. On ne fermait jamais le mince cahier sans être enrichi d'une idée forte et neuve, d'un point de vue original et pénétrant. Combien y a-t-il de publications, même très grosses, dont on puisse dire autant ? [] Il avait en tout sept cents lecteurs et il ne cherchait point à en avoir davantage. Il n'avait jamais pensé que le nombre eût une valeur en soi. " Préface de Lucien Dubech au " Chemin des Gardies " (Nouvelle Librairie Nationale, 1924), recueil posthume dans lequel une grande partie des articles de Marcel Azaïs a été recueillie. Marcel Azaïs était aussi critique de musique à l'" Action Française ".
N° 22. 15 mai 1921. Bon état.
Paris (36, rue Pigalle, puis 39, Chaussée d'Antin). Directeur (et unique rédacteur) : [Marcel] Azaïs. 58 numéros ont paru en 58 livraisons de janvier 1920 à octobre 1924. Peu courant. (Admussen, 90) - " Nous sommes quelques-uns à qui la mort de Marcel Azaïs a donné un coup en plein cur. Il est mort [à l'âge de 36 ans] le 12 septembre 1924, d'un accident banal et stupide comme un fait divers, foudroyé par un moteur électrique. [] Sa petite revue portait pour titre : " Essais Critiques ". Elle paraissait le premier [et parfois le 15] de chaque mois, avec une charmante irrégularité pendant le temps des vacances. Nous avouons avoir le cur serré à la pensée que nous ne la recevrons plus. C'était une fête. C'est la seule publication dont nous pouvons dire que nous n'avons jamais sauté une ligne. On ne fermait jamais le mince cahier sans être enrichi d'une idée forte et neuve, d'un point de vue original et pénétrant. Combien y a-t-il de publications, même très grosses, dont on puisse dire autant ? [] Il avait en tout sept cents lecteurs et il ne cherchait point à en avoir davantage. Il n'avait jamais pensé que le nombre eût une valeur en soi. " Préface de Lucien Dubech au " Chemin des Gardies " (Nouvelle Librairie Nationale, 1924), recueil posthume dans lequel une grande partie des articles de Marcel Azaïs a été recueillie. Marcel Azaïs était aussi critique de musique à l'" Action Française ".